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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 00:02

 

 

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Introduction à cette parution,

par Chantal Dupille


 

Qu'est devenue la France ? Qu'est devenue la Patrie des Droits Humains ? Un humoriste qui se moque de tout même des Juifs, même de Valls, est traîné en Justice, chassé de son Théâtre, sa famille reçoit des menaces de mort, etc. Où va-t-on ? Mais ça ne s'arrête pas là ! Un Candidat aux Européennes est interdit de médias et de fiche Wikipedia en France, ostracisé, diffamé,  parce qu'il plaide pour la sortie de l'UE ! Ainsi, on peut parler de changer l'Europe (alors qu'elle ne pourra jamais changer car il faut l'unanimité des pays la composant), mais surtout pas de sortir de l'Europe ! Ou les vrais débats sont interdits, ou ils sont truqués comme sur C dans l'Air ou sur France24. Nous devenons la honte de l'Europe ! Et dans le monde entier, on se moque de nous, de nos dirigeants ("Flanby", Fabius "Le Ministre des Affaires Etrangères d'Israël", etc), de nos médias devenus pire que les berlusconiens (parce qu'orchestrés par des sayanim), de notre brillante diplomatie gaullienne devenue supplétive des basses besognes d'USraël en s'appuyant sur les pires terroristes, de notre refus de laisser se poser sur notre sol l'avion en perdition du Président socialiste Moralès, ou encore de notre bellicisme outrancier, stupide, dangereux, vis-à-vis de la Syrie, de la Russie, etc.


 

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Mini dossier sur une France à la dérive.... et qui, orchestrée par des fanatiques agents d'USraël (de Sarkozy à Hollande en passant par BHL, Fabius, Kouchner, Valls..), risque un jour de payer très cher ses choix fous si une guerre mondiale éclate. Ainsi, la Russie visée ne nous pardonnera pas notre acharnement à la perdre (1) : Et elle possède les armes les plus redoutables de la planète, même des sous-marins furtifs (invisibles, se promenant face aux Etats-Unis !), et elle menace de réduire en cendres radioactives l'Amérique si elle est attaquée (2)...

 

Il est temps de réagir !

 

Chantal Dupille

 

(1) Comment la Russie nous voit :

www.prorussia.tv/Journal-hebdomadaire-21-avril-2014_v876.html
21 avr. 2014 - Bienvenue pour cette nouvelle édition du journal télévisé de ProRussia.tv. Ce rendez-vous hebdomadaire en français vous présente les ...
www.prorussia.tv/Journal-hebdomadaire-28-avril-2014-Edition-speciale-...
Il y a 3 jours - Journal hebdomadaire – 28 avril 2014 / Édition spéciale consacrée au 2e Colloque Franco-Russe ... Journal hebdomadaire21 avril 2014.

 

 

(2) La Russie est capable de réduire les USA en "cendre radioactive".

 

 

 

 

 

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Dieudonné

Dieudonné


La France est en pleine dramaturgie ! J’ai ouï-dire, de la bouche de ceux qui ne sont jamais allés voir Dieudonné sur scène, que, l’humoriste faisait de ses spectacles, des attaques contre les juifs. Un mensonge mille fois répété mais, qui ne passe plus/pas. Oui, avec des associations comme l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), c’est plutôt l’inverse qui se produit.  Nous sommes, en France, en plein délire. J’avoue que là, on atteint même le fond comme avec la quenelle. Est-ce fait exprès pour favoriser la montée de l’antisémitisme ? Parce que, à cette allure, tous les humoristes devront montrer patte blanche avant de monter sur scène. Il y a un recul évident de la liberté d’expression en France et ces gens-là y contribuent. Ce sont des pompiers pyromanes ces mamamouchis. Ils deviennent de vrais dangers pour la République, contrairement à ce qu’ils affirment urbi et orbi. Accrochez-vous.


Au delà du côté comique des nouvelles actions médiatiques de l’UEFJ, on se demande bien qui peut leur donner le droit de censurer ou de demander de censurer à tout va, une seule et unique personne. Oui, l’UEJF a assigné ce mardi Dieudonné pour demander à la justice d’ordonner à l’humoriste de talent, de retirer une vidéo vue plus de deux millions de fois sur YouTube. En attendant la décision du juge des référés, qui interviendra le 6 juin prochain, l’UEJF aurait obtenu le retrait de la vidéo (en dessous) à titre conservatoire. Cette cabale devient insupportable et surtout, elle est contre-productive. Il est vrai que, plus c’est gros plus ça passe mais là, ils ne peuvent tromper personne. Après, les mêmes vont jouer les vierges effarouchées quand l’humoriste leur répondra à sa façon. On ne peut éternellement se positionner en victime des attaques d’un homme alors alors qu’on oeuvre à sa mort sociale. Dans quel monde vivons-nous ?

 

En gardien autoproclamé du temple de la rectitude morale, plus prosaïquement de la  liberté d’expression, l’UEJF, dont on se demande bien quel est son pouvoir, veut faire la loi, se substituer même à celle-ci. Alors que ce sont nos impôts qui financent ce machin, il dit  craindre de «nouveaux propos racistes ou antisémites» dans  le prochain spectacle de Dieudonné, qui sera joué dès le 26 juin prochain au théâtre de la Main d’Or, si l’humoriste n’est pas expulsé par la justice à la demande des propriétaires des lieux le 27 mai prochain. Mais la suite est plus cocasse. Il ne reste plus que cette association croqueuse de diamants n’aille sur les planches pour faire son show. L’excès ne peut provoquer que les excès. Personne n’est dupe et comprend que cet acharnement abscons est probablement dû à la couleur de peau de l’humoriste… 


Ce n’est surtout pas une blague, accrochez-vous ! C’est un fait sans précédent, semblable à la censure et/ou interdiction à-priori, avec la violation flagrante des institutions étatiques comme le fit l’actuel premier ministre Manuel Valls, avec le Conseil d’Etat. En effet, l’UEJF demande que lui soit communiqué le texte du nouveau spectacle de Dieudonné intitulé «Incitation à la haine». Au nom de quoi ? En tant que qui ? Mandaté par qui ? Demain, n’exigeront-ils pas que la police se substitue aux vigiles et demande des papiers à tous les fans de l’humoriste qui viennent voir son spectacle ? Franchement, cet acte relève de la dictature la plus abjecte qui soit. Toujours dans le sarcasme, l’humoriste leur a répondu sur ce ton, un tantinet provocateur et toujours mâtiné de son humour corrosif: «Ils auront un texte qui sera peut-être pas tout à fait le texte définitif (…) jusqu’au soir de la première il peut y avoir des surprises». Une façon de les renvoyer à leurs chères études. 


Ces clowns n’ont rien compris. Un spectacle peut évoluer. C’est comme la connaissance, il n’est pas figé, rien n’est mécanique et par conséquent, l’humoriste, qui déclare que ce nouveau spectacle est co-écrit avec plusieurs plumes peut leur envoyer un texte complètement loufoque, aux antipodes de son prochain spectacle. Bien sûr, pas par peur, le courage de l’homme ne peut se démentir, mais pour se moquer de ces humoristes du dimanche. Franchement, mais où sont donc les juifs de France pour dire NON à ces gens qui parlent en leur nom et font monter l’antisémitisme ? Je n’arrive vraiment pas à comprendre ce silence assourdissant. Comment peut-on laisser sévir ce genre d’arnaqueurs ? Je n’arrive pas à comprendre cette lâcheté face à l’argutie de ces gens qui fragilisent encore un peu plus la communauté juive de France, surtout, avec des combats de pacotille…


Publié par : http://allainjules.com/

 

DIEUDONNE. Pour qui se prend l’UEFJ ou le pompier pyromane de l’antisémitisme ?

 

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Sur ce blog,

 

 

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Elections européennes :

 

Censure si l'on demande la sortie de l'Europe !

SCANDALE désinformation, censure en France : Le CSA saisi de manquements


Les troublantes censures d'un candidat gênant car il propose de sortir de l'UE

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De l'humour aux persécutions, des Dragonnades au déni de Nantes

 

 

 

 

 

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Par Diana Johnstone
La Bonne et la Mauvaise Haine
Remarques sur un livre qui risque d’attirer la haine des bien-pensants : La République des Censeurs, de Jean Bricmont (L’Herne).
29 avril 2014

La censure en France ? Il y en a si peu. Seulement contre les mauvaises pensées. Donc si vous êtes contre la censure, vous êtes forcément pour les mauvaises pensées, n’est-ce pas ?

 

Il y a quelques quarante ans, au moment du scandale autour des déclarations de Robert Faurisson contestant l’existence des chambres à gaz, l’intelligentsia de gauche en France a souscrit à ce type de raisonnement en condamnant Noam Chomsky pour avoir soutenu le principe de la liberté d’expression en général et celle de Faurisson en particulier. Jean Bricmont, alors professeur de physique à l’université de Princeton aux Etats-Unis, y avait pris connaissance de l’importance de Chomsky dans la vie intellectuelle de notre époque. Traducteur et commentateur de l’œuvre de Chomsky, Bricmont fut scandalisé de voir le célèbre linguiste traité comme un paria en France. Ce petit livre est le produit de sa réflexion sur une attitude liberticide dans le domaine des idées qui pendant quatre décennies n’a cessé de peser sur la vie politique et intellectuelle en France.

 

Les lois actuelles de censure prennent la forme d’amendements à la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Curieusement, elles ne s’appliquent pas qu’à la presse et limitent plutôt que renforcent la liberté. Pour le premier, dit loi Pleven (1972), il s’agit de punir « l’incitation à la haine raciale ». Le deuxième, dit loi Gayssot (1990), inspiré par la difficulté qu’il y avait à faire taire Faurisson, punit toute contestation des crimes contre l’humanité condamnés au Tribunal de Nuremberg (1945-46) – en pratique, il s’agit de la contestation de l’utilisation de chambres de gaz homicides dans l’extermination des juifs pendant la Deuxième Guerre mondiale.

 

Se vantant d’être « la patrie des droits de l’homme », la France d’aujourd’hui s’estime protégée de la diffusion de mauvaises pensées par ses sentinelles de la bien pensance. Ce sont des associations, auto-promues à travers leurs propres statuts en combattantes contre le racisme, qui sont dotées par les lois Pleven et Gayssot du privilège de porter plainte contre les fauteurs de méchantes idées. Le plus zélé de ses anges gardiens s’appelle la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA), suivi du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP). Du seul fait de leurs bonnes intentions affichées, elles peuvent porter plainte contre tout individu qu’elles estiment responsables d’infraction à ces lois en demandant dommages et intérêts. Les victimes n’étant pas des individus mais des groupes identitaires qui pourraient se sentir lésés, ces associations peuvent aller au tribunal et demander de l’argent pour le tort que les hypothétiques (mais absentes) victimes authentiques auraient subi.

Ces associations ne cessent de dénoncer « la haine », mais leur tâche n’est pas de l’abolir, mais de cibler la mauvaise haine, de la dénoncer, et si possible de la faire payer.

 

Pourtant, le petit livre de Jean Bricmont montre, en donnant des exemples, que parmi toutes les « haines » propres à la condition humaine, celles qui sont poursuivies par les lois de la République manquent souvent d’envergure. A lire la loi, on imagine des démagogues appelant aux pogroms ou aux lynchages, mais ce gibier est rare, ou plutôt inexistant. Il ne s’agit jamais de faits de cette nature (car l’appel au meurtre est déjà criminel). Au palmarès de nos associations inquisitrices on trouve des plaisanteries de mauvais gout, des procès d’intention, des malentendus, des vendettas politiques et surtout l’exercice de « deux poids, deux mesures ». Beaucoup de poursuites tournent court, mais même acquittés, les accusés y ont perdu du temps, de l’argent et souvent un peu de leur bonne réputation.

 

La lutte contre « la haine » engendre sa propre haine : la haine contre tous ceux qui sont accusés de haine. On n’a qu’à suivre les mouvements de physionomie de notre nouveau premier ministre pour la voir en temps réel. Les censeurs de la République n’abolissent pas la haine, mais ils créent la distinction entre la bonne et la mauvaise haine.

 

Purifiée de la mauvaise haine, la France et les Français sont libres de haïr, d’abord, tous ceux qui sont accusés de haine, et par amalgame, tous ceux qui sont censés leur être proches, les gens de droite, promus en « fascistes » pour l’occasion, les souverainistes soupçonnés de « nationalisme » donc de la « haine des autres », tous ceux dont l’attitude équivoque risque de cacher des attitudes nationalistes, racistes, fascistes, « conspirationnistes »…

Si, comme Jean Bricmont, qui n’a jamais dit un mot contre les juifs, vous demandez qu’on définisse avec clarté le terme « antisémite » avant de l’utiliser pour porter des accusations, ou vous appelez à « libérer la parole » sur Israël, vous risquez de trouver sur votre bio de Wikipédia des épithètes diffamatoires qui ne feraient pas bonne impression si vous postulez à un emploi. Ce phénomène n’encourage pas le débat libre.

 

Dans les rares cas où l’on ose critiquer Jean Bricmont pour sa défense de la liberté d’expression au lieu de le traiter en crypto-Nazi, on a tendance à interpréter son argumentation comme une « défense du système américain », ce qui la réduit à une sorte de folklore : les Amérloques sont bizarres, ils laissent tout le monde dire n’importe quoi. (N’oublions pas qu’il ne s’agit ici ni de diffamation d’individus, ni d’appels à des actions illégales, qui sont réprimés de toute façon, mais d’opinions et d’idées générales.)

 

La liberté d’expression, comme Bricmont le montre, n’est aucunement une excentricité venant d’outre-Atlantique. En réalité, les Etats-Unis, dont les pères fondateurs étaient fort influencés par les Lumières, en particulier françaises, ont inscrit la liberté d’expression comme le premier des droits des citoyens dans la liste des amendements dite « the Bill of Rights » adoptée à leur Constitution en 1791, lui donnant ainsi une importance certaine : « Le Congrès ne fera aucune loi accordant une préférence à une religion ou en interdisant le libre exercice, restreignant la liberté d’expression, la liberté de la presse ou le droit des citoyens de se réunir pacifiquement et d’adresser à l’État des pétitions pour obtenir réparation de torts subis. »

 

La censure et la guerre


Pourtant, aux Etats-Unis comme ailleurs, ce principe a été violé, surtout en temps de guerre. Ce fut notamment le cas dans la persécution d’opposants à l’entrée des Etats-Unis dans la Première Guerre Mondiale, qu’il s’agisse de socialistes ou d’Américains d’origine allemande (ou les deux), où à l’occasion de grandes hystéries anti-communistes à l’issue des deux grandes guerres du vingtième siècle. Dans les années soixante, le principe de liberté d’expression a été réaffirmé par la Cour Suprême, et – contrairement à la France – bénéficie toujours du soutien des esprits critiques qui savent qu’ils seront les premières victimes de la censure. Mais dans les Etats-Unis bellicistes d’aujourd’hui, ce principe est menacé de nouveau.

 

Les juristes français sont presque unanimes à condamner la loi Gayssot, qui perdure pourtant. Baser la seule loi de censure punissant la contestation d’un fait historique sur le Tribunal de Nuremberg est curieux pour plusieurs raisons. Laissant de côté le problème d’un « tribunal des vainqueurs », ou du jugement rétroactif, les jugements de ce tribunal suivirent de peu les faits, précédant tout travail véritable d’historiens, comme on constate en lisant le livre de Bricmont. Mais ce n’est pas le seul paradoxe. Si la lettre du jugement de Nuremberg fut nécessairement rapide et incomplète, l’esprit en était clairement énoncé dans le jugement final 30 septembre 1946 : « Déclencher une guerre d’agression n’est pas seulement un crime international : c’est le crime international suprême ne différant des autres crimes de guerre que du fait qu’il les contient tous. »

 

L’esprit du jugement de Nuremberg est que le crime fondamental est le crime contre la paix. Les autres crimes, commis à l’intérieur de la guerre, les atrocités et tous les crimes contre l’humanité, en sont le produit et le résultat. Il est remarquable que le zèle de préserver « la mémoire » du mal à éviter, si fort en ce qui concerne certains crimes produits par la guerre, ou plutôt un seul de ces crimes, ne s’applique pas du tout à la mémoire de la leçon principale de Nuremberg : la condamnation du crime consistant à déclencher la guerre, considéré comme la source de tout le mal qui en découle.

 

Au contraire, on se focalise sur les crimes commis à l’intérieur des guerres, de façon, d’abord, à faire comme si la guerre pourrait être innocente, si on en faisait respecter les lois. Et ensuite, à faire comme si la guerre pouvait être nécessaire pour empêcher les crimes qui pourraient être commis par un hypothétique « nouvel Hitler ». Ainsi la lutte contre la mauvaise haine, la haine « raciste », est instrumentalisée pour attiser la bonne haine contre ceux que les médias et les dirigeants de l’Occident vertueux accusent d’être des dictateurs qui voudraient « massacrer leur propre peuple ». Innocente de la mauvaise haine, on était libre de haïr Milosevic, et ainsi de faire la guerre contre son pays, allié traditionnel de la France, qui n’avait ni attaqué ni menacé aucun membre de l’alliance qui a bombardé et dépecé la Serbie.

 

On était libre de haïr Kadhafi, jusqu’à se réjouir de l’assassinat barbare du vieux Bédouin qui avait enrichi beaucoup plus qu’il n’avait « tué » son peuple.

 

On est libre de haïr Bachar el Assad au point de donner une caution politique aux djihadistes fanatisés, y compris parmi la jeunesse française, qui partent pour participer dans la décapitation d’hérétiques.

 

Aujourd’hui cette « bonne haine » est en train de reproduire la haine d’il y a exactement un siècle, à l’époque dirigée contre l’Allemagne et le Kaiser, une haine de masse, orchestrée par l’Etat et les médias qui lui font écho, la haine de tout un pays, présenté en ennemi, et son dirigeant diabolisé. Dans tout l’Occident, et surtout aux Etats-Unis chef d’orchestre, la bonne haine vertueuse, celle qui précède et accompagne les grandes guerres, est dirigée aujourd’hui contre Vladimir Poutine et la Russie – qui par ailleurs ne nous ont rien fait de mal.

 

Il n’y a aucune loi contre « l’incitation à la haine » d’un pays tout entier ni de son dirigeant, même si cette haine-là est basée sur des mensonges et pourrait mener à une guerre catastrophique. Au contraire, la censure existant en France contribue à un conformisme propice à l’acceptation des haines officielles qui peuvent mener au pire.

 

Le petit livre de Jean Bricmont éclaire la réalité de la censure à la française, qui est minable dans son fonctionnement mais néfaste dans son esprit. Le lire est une invitation au réveil de l’esprit critique, qui en a vraiment besoin.

 

Diana Johnstone
29 avril 2014

 

 

Les corbeaux anonymes "anticonspis" et "antifas" sont les deux mamelles de la tartufferie intolérante :

 

 

 

(Michel Collon)

 

Le mirage FN - Faux antifas - Wikipedia,neutre ? - "Dictateurs" - Négationnisme

 

 

http://www.cercledesvolontaires.fr/2013/05/28/ils-sont-fous-ces-antifas-par-etienne-chouard/

 

De plus en plus dingue et confus : des prétendus « antifas » dénoncent , avec ce courage très anonyme des corbeaux professionnels, les personnalités et mouvements suivants :

- Frédéric Lordon
- ATTAC
- Le Monde diplomatique
- Alain Gresh
- les Économistes atterrés
- Thomas Coutrot
- René Balme
- Reopen911
- la CGT
- Le Front de Gauche…

 

Le texte « antifa » (enfin, soi-disant antifa) que je reproduis ci-dessous répond à un article (formidable) de Frédéric Lordon que j’avais signalé ici :

F. Lordon : « Conspirationnisme : la paille et la poutre » – Jean Quatremer voit des complots partout

 

Cet article « antifa » est un collier de perles de sottises (agrémentées de pépites de mensonges), un véritable objet d’étude de ce qu’on pourrait appeler ‘complotisme’, précisément — même si, pour ma part, je n’utilise jamais ce mot car je considère ESSENTIEL POUR L’AUTODÉFENSE D’UNE DÉMOCRATIE DIGNE DE CE NOM que tous les citoyens (y compris de faux antifas) puissent à tout moment dénoncer librement les complots, quitte à se tromper (peu importe : on y verra clair à l’occasion des controverses publiques) ; ça s’appelle l’ISEGORIA.


Il serait temps que les vrais antifas se désolidarisent des fous furieux qui se font passer pour eux, qui détestent la patrie et qui voient des complots fascistes partout, non ? (..)

Le point commun des attaques (anonymes) des « antifas » et des « anticonspis », c’est que ces attaques s’en prennent toujours à des opposants à la guerre, à ceux qui résistent aux manœuvres impériales, à ceux qui ciblent précisément les grands banquiers d’affaires, aux défenseurs de la patrie => pas difficile de comprendre pour qui travaillent EN FAIT les « antifas » et les « anticonspis ».


Le vrai mystère n’est plus de savoir s’ils croient eux-mêmes à tous leurs mensonges et amalgames foireux, mais de savoir s’ils sont bien payés pour leur sale besogne.

 

Étienne Chouard


 


 

 

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commentaires

J
J'aime beaucoup l'image des moutons, du chien et de l'homme! C'est exactement la situation qui est la nôtre aujourd'hui...
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