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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 20:30

Dieu est pauvre

CARDONNEL

http://www.poesie-action.com/article-dieu-est-pauvre-pere-cardonnel-115013891.html

 

Au Vatican, Dieu n'est pas pauvre. Il est mafieux !

Et au service du Nouvel Ordre Mondial...

 

 

 

Mafias au pouvoir

Par Chantal Dupille

 

Le goût du pouvoir, des honneurs, de l'argent, rend fou. Ceux qui ont des postes de responsabilité ne songent qu'à leurs intérêts. D'autres, par idéologie (Talmud), par la naissance (Rotschild-Rockefeller), par l'ascension sociale (Bill Gates), imaginent des projets monstrueux pour l'humanité.

 

 

Nous savons qu'au sommet de la hiérarchie, les Francs-Maçons rêvent le monde à leur manière, loin du réel et des attentes des peuples. Mais nous savons moins qu'à la City, et avec l'accord de sa Gracieuse Majesté, se conçoivent les plans de racket de toute la planète et d'éradication de l'humanité (notamment par de grandes guerres). Ou que la Mafia sioniste est la plus immorale qui soit (programmation d'assassinats ciblés ancêtres de nos drones, attentats terroristes sous faux drapeaux, trafics d'êtres humains, d'organes etc).

 

vatican-mafia-tvm.jpg


Les enjeux de la démission du pape

 

 

Et peu d'entre nos imaginent que derrière "sa Sainteté le Pape" puisse se cacher une crapule ourdissant crimes financiers (blanchiment d'argent sale, par ex) ou sataniques (pédophilie, meurtres rituels etc). Et pourtant, dans l'Histoire de la Papauté, un Pape (Jean VIII) a payé de sa vie sa probité exceptionnelle. Et les "brebis galeuses" comme Mgr Romero, passé du Palais au bidonville par souci de vivre pleinement le vrai Evangile de la pauvreté, sont soit ostracisées, soit éliminées.

 

pape-et-nom.jpg 

Non, le Pape est un acteur majeur du Nouvel Ordre Mondial !


Aujourd'hui, je vous propose de découvrir l'envers du décor, bref d'entrouvrir un instant les portes de secrets bien dissimulés.

 

De nombreux livres ont été consacrés à la mafia du Vatican pervertissant le pouvoir. Mais on ne nous parle jamais des camps de concentration chrétiens, encore plus effroyables que ceux de la Seconde Guerre Mondiale abritant Tsiganes, résistants, communistes, Russes, Juifs, handicapés mentaux, Témoins de Jéhovah, homosexuels etc : Parce qu'ils se sont d'abord adressés aux enfants, qu'ils ont torturé au quotidien.

 

Voyage au bout de l'horreur, morceaux choisis. Et essais de prospective.

 

Chantal Dupille

 

NB : Je suis chrétienne croyante. Mais je cherche à comprendre les événements... 

 

Suite ici :

Au coeur du Vatican, institution satanique ? (Opinions) - Benoit XVI poursuivi ?

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http://pmcdn.priceminister.com/photo/paul-williams-les-dossiers-noirs-du-vatican-l-argent-le-crime-et-la-mafia-dans-l-eglise-catholique-livre-895437074_ML.jpg

Le Vatican, nouvel Eldorado du blanchiment d'argent ?

 

Peppone et Don Camillo, Urbi et Orbi (I)

don camillo

Par Menthalo -  Vous allez voir qu’il y a un parallèle étonnant entre Peppone et Don Camillo et ce qui se passe en Italie en ce moment. Evidemment, comme il ne s’agit pas du petit village de Brescello, mais de Rome, cela fait un peu désordre Urbi et Orbi. J’espère ne pas froisser qui que ce soit, hormis les fracs des Banksters qui nous dirigent et qui ne méritent que le supplice du pal.


Sans remonter à différents scandales par le passé, celui de la Banco Ambrosiano, dont le premier actionnaire était la Banque du Vatican, a fait couler beaucoup d’encre ces quarante dernières années. On retrouve dans cette affaire la Banque du Vatican, la mafia, la CIA, les francs maçons et Clearstream. Cette dernière étant l’une des plus grosses machines européennes à blanchir l’argent.

Sous le pontificat de Benoit XVI, l’Eglise Catholique a été attaquée en permanence, que ce soit pour des affaires de mœurs ou pour des histoires financières. La main occulte qui dirigeait les attaques est extrêmement puissante tant au niveau bancaire qu’au niveau médiatique. Chacun peut facilement faire son enquête sur qui possède et dirige les banques et les médias dominants et donc trouver ceux qui ont cherché et cherchent encore à détruire Rome en tant que centre de pouvoir spirituel.


Le 15 février 2012, la sulfureuse banque JP Morgan informait le Saint Siège que le compte de IOR, la Banque du Vatican, à sa succursale de Milan serait clôturé d’autorité au 30 mars suivant. Cette décision de la Banque américaine  avait été prise du fait du manque d’informations sur des transferts d’argent obscurs. 1,5 milliard d’Euros avaient transité sur le compte en 18 mois sans justification en « sweeping facility », autrement dit, ce compte vidé tous les soirs, ne servait qu’à faire transiter de l’argent vers un autre compte de l’IOR en Allemagne. JPM n’était que l’une des banques travaillant avec l’IOR et sur ce seul compte transitaient près de 80 millions d’Euros par mois.


En mai 2012, plusieurs affaires se télescopaient dans le ciel de Rome.

D’une part, Paolo Gabriele, le majordome du Saint Père était arrêté  et d’autre part, le Président de l’IOR, Ettore Gotti Tedeschi, était limogé à l’unanimité du conseil d’administration.

Le premier avait photocopié plus d’un millier de documents ultra-confidentiels, qu’il avait transmis notamment à un journaliste italien, Gianluigi Nuzzi, alors que le second avait constitué un dossier de documents encore plus secrets pour se préserver, documents qui avaient été saisis par la justice italienne. Tedeschi craignait pour sa vie, il avait affirmé que s’il était assassiné, les raisons de ce crime seraient découvertes dans son dossier.

 

Le 1er janvier 2013  à la demande de la Banque d’Italie, la Finance Internationale a d’abord coupé la cité papale des réseaux électroniques de cartes bancaires avant de bannir la Banque Vaticane du système SWIFT, comme elle l’a fait avec l’Iran. Les touristes, les pèlerins ne pouvaient utiliser leurs cartes de crédit et encore moins utiliser des Distributeurs de billets. En 39 jours, la Cité vaticane aurait eu un manque à gagner de 1.170.000 euros, rien qu’avec les dépenses des touristes. Ceux-ci ont dépensé 91 millions d’euros en 2011. Ce n’est certainement pas 1 Million d’Euros qui aura mis le Pape à genoux, mais en coupant SWIFT, on change d’échelle.

 

Le 5 février 2013, le Corriere della Sierra mettait en cause l’IOR, la Banque du Vatican sur des transactions douteuses avec la Banca Monte Paschi, à deux doigts d’une faillite qui parait frauduleuse à plus d’un titre. D’une part, une enquête est en cours sur des transactions douteuses sur des produits dérivés, qui auraient servi à maquiller les comptes de la Banque de 2006 à 2009, quand Mario Draghi présidait à la Banque d’Italie… on retrouve le savoir-faire de GS dans ces tripatouillages.

D’autre part, avec l’argent de l’IOR en provenance de plusieurs comptes, Monte Paschi a racheté une banque concurrente, Antonvenetta, lui permettant de devenir la première banque d’Italie. Cette banque avait été vendue à ABN pour 3 milliards d’euros, qui la revend à Santander pour 6 Mds€, qui la revend à Monte Paschi pour 10,3 Milliards. Une affaire qui pue les pots de vin. Quand on sait que Goldman Sachs était le conseiller d’ABN dans l’achat d’Antonvenetta, et que le représentant de GS pour l’Europe était Mario Draghi… que l’on retrouve ensuite à la tête de la Banque d’Italie, pour superviser les maquillages de comptes et pour renflouer une première fois la Monte Paschi  de 1,9 milliard d’Euros.

Aujourd’hui, c’est un autre homme de Goldman Sachs, Mario Monti, qui promet de renflouer à nouveau la banque de 3,9 Mds d’Euros, qui seront remboursés en produits dérivés. Autrement dit, dans le meilleur des cas, l’état ne sera pas remboursé, dans le pire, il va se retrouver avec des bombes à retardement, qui ne feront que gonfler la dette italienne. Goldman Sachs est partout dans cette affaire… le moins que l’on puisse dire, c’est que GS n’est pas très catholique.

foudre_vatican_AFP

11 février démission du Pape

 

Au lendemain de la démission de Benoît XVI, comme par magie, tous les interdits tombent, les D.A.B remarchent et SWIFT refleurit. Le 13 février, Huffingtonpost d’Anne Sinclair, qui est dans les secrets de la Haute Finance, annonce que la Banque du Vatican, l’IOR, va retrouver un président d’ici une semaine, après une période de 9 mois sans dirigeant.

 

La démission de Benoît XVI est le résultat d’une lutte d’influence au niveau financier, cela a trait avec la réforme monétaire demandée par les BRIC et que Londres et Washington essaient de retarder… mais cela va beaucoup plus loin. Ce n’est qu’un des éléments d’un plan d’ensemble. La mission anglo-saxonne est en marche.


Quant à cette image, il ne faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages, je ne crois pas une seconde à sa véracité. On a cherché à vous impressionner… et ça a marché.

 

Canada : le massacre du peuple indien passe par la destruction et l’exploitation de ses enfants
(courts extraits) On parle souvent de réseaux pédophiles ici, mais au pluriel, et le terme n’est pas approprié. De plus en plus, il semble qu’il n’y ait qu’un seul, vaste réseau. Qui trafique les gosses comme on trafique la coke.
1. Quelques dates de crimes contre le peuple amérindien

1859 : le jésuite Paul Durieu, installé en Colombie Britannique, prévoit d’exterminer tous les chefs indiens non chrétiens. Un modèle qui a eu cours ensuite dans les Indian Residential School, des pensionnats pour les enfants indiens dont on va longuement reparler.

1862-63 : épidémie de variole introduite par un missionnaire anglican, futur évêque, John Sheepshanks, qui a inoculé le virus à des enfants amérindiens. Cela, sous la couverture du gouvernement provincial et le commerce de fourrures de la compagnie Hudson Bay, qui parraine les premières missions protestantes chez les indiens. C’est aussi la première guerre bactériologique connue de l’histoire, et elle a permis à des chercheurs d’or de piller les terres de ces milliers d’indiens assassinés.

1870 : la couronne anglaise file les terres des indiens aux anglicans et autres missionnaires catholiques.

1910 : Duncan Scott confie par contrat la gestion des pensionnats aux cathos, anglicans, presbytériens et méthodistes.

1919 : fin des examens médicaux dans les residential schools.

1920 : tous les enfants de plus de 7 ans doivent être envoyés dans les pensionnats sinon les parents vont en prion et prennent une amende[2]. Là, la moitié de leurs enfants mouraient.

1925 : création de l’Eglise unie du Canada pour christianiser tout le monde, financée par la couronne d’angleterre. Elle hérite de tous les pensionnats et des terres volées par les méthodistes et les presbytériens.

1928 : loi sur la stérilisation en Alberta, qui permet de stériliser les enfants des pensionnats à leur insu sur décision d’un curé
1962 – 1971 : des milliers d’enfants indiens sont enlevés à leurs familles dans le cadre du programme « sixties scoop » qui aurait concerné officiellement 20.000 enfants. Etrangement, on observe que le programme actuel d’adoptions forcées aux Etats-Unis ressemble beaucoup à « Sixties Scoop », ces rafles d’enfants qui pourraient n’avoir été qu’un test. Beaucoup de ces enfants sont morts et les circonstances ont été dissimulées.
1993 – 1995 : des indiens parlent publiquement de meurtres d’enfants à l’école St Andrews de Port Alberni, qui était gérée par l’Eglise catholique du Canada. C’est là qu’officie Kevin Annett, ce pasteur qui est tombé sur une transaction foncière entre le gouvernement et l’église qui achetait, concernant des terres volées aux indiens. Annett est viré à la suite de son indignation publique au sujet de cette magouille. Puis un autre parle d’enfants battus à mort dans un autre pensionnat.

2009 : un témoin de meurtre d’enfant, Johnny “Bingo” Dawson, est assassiné par la police, qui l’avait menacé au cas où il parlait.

2010 : les contacts entre les survivants de l’Eglise canadiens, irlandais, italiens, allemands et anglais se nouent. Il apparaît clairement que Ratzinger, le pape, a œuvré toute sa vie pour dissimuler ces abus au public.

2012 : pendant que le gouvernement fait encore mine de faire de la « réconciliation » et de la « vérité », les actions en Justice vont démarrer sérieusement. Au passage, précisons que les survivants des résidential school conchient littéralement la « Truth and reconciliation commission » qui tente de les enfumer depuis quelques années déjà, à grands coups de subventions. Et aujourd’hui, on ne connait toujours pas le nombre d’enfants qui sont passés dans ces pensionnats. On parle officiellement de 100.000 à 200.000 enfants.

2. Le génocide 

On peut parler de génocide par bien des aspects. Notamment parce qu’on retrouve dans celui des indiens du Canada les trois phases habituelles : conquête, confinement, destruction. Mais celui des indiens a duré longtemps et a fonctionné par vagues successives, sous le couvert de la religion et de l’éducation. Les survivants parlent de camps de concentration chrétiens.

 

En 1910, la plupart de la centaine de pensionnats (les residential school) dans lesquels sont envoyés les enfants indiens du Canada est dans le giron de l’Eglise catholique romaine. Ces pensionnats étaient de véritables mouroirs, où le taux de décès était encore pire que dans les camps de concentration nazis : d’après les chiffres disponibles, il apparaît que plus de la moitié des enfants y mouraient chaque année, et cela durant un bon demi siècle (contre 15 à 20% par an dans les camps de concentration). Duncan Scott l’a écrit en 1910 : les décès massifs de ces enfants indiens dans les pensionnats sont « en accord avec la politique du ministère, qui est orientée vers la Solution Finale du problème Indien ».

 Et cette Solution Finale a été assez efficace : entre 1900 et 1960, le taux de mortalité des enfants indiens de ces pensionnats oscillait entre 40 et 60% par an. Pendant soixante ans, ce taux est resté le même, malgré les « progrès de la médecine » et la fertilité des terres sur lesquelles étaient installées ces « écoles ». Bien sûr, l’Etat a tout fait pour dissimuler cette réalité. Quelques années plus tard, ce concept de « Solution Finale » a été repris par les Nazis.

De plus, de 1920 à 1930, en plein cœur du massacre, les inspections médicales ont carrément été suspendues dans les pensionnats. Au total, entre 1890 et 1996, ce sont de 50 à 100.000 enfants qui sont morts dans ces endroits lugubres.

Et puis, il y a eu cette politique de stérilisation[5]. Des centres de stérilisation ont existé, dans lesquels les jeunes gens étaient drogués et stérilisés, surtout s’ils n’étaient pas chrétiens. Mais tous les registres concernant ces stérilisations ont été détruits à partir de 1995, quand l’enquête de l’Etat a démarré. Les garçons étaient parfois mis devant des rayons X intensifs afin d’être rendus stériles, ou bien on leur faisait boire des poisons.

Et quand les bébés, souvent le fruit de viols par les pasteurs et compagnie, naissaient quand-même, on les tuait.

Le délire de la suprématie chrétienne et occidentale, de l’élimination des hérétiques, n’est pas nouveau chez les cathos. Et le caractère durable de cette philosophie ressemble à un véritable credo, un véritable objectif.

 

Des meurtres aux charniers

Les enfants du Mohawk institute, par exemple, ont été enterrés juste avant la fermeture de cet établissement pour enfants Mohawks, en 1970, afin de camoufler les trop nombreuses tombes. Des instruments de torture ont été retrouvés dans ce pensionnat. Des survivants ont dit y avoir vu des prêtres en robe rouge torturer des enfants de manière rituelle.

Il y avait un aspect « mind control », c’est presque certain. A l’époque, on l’a dit, la CIA travaillait, via divers « médecins », sur le contrôle mental. Ce sont des projets tels que MK Ultra, ou Monarch, qui visent à programmer les gens après avoir fractionné leur personnalité par des chocs traumatiques de type viol, tortures, doublés d’une prise de diverses drogues par exemple. Cela, pour ensuite « programmer » chaque personnalité d’une certaine manière : on en fait une prostituée, une formatrice, une meurtrière, une messagère…

Ce travail s’est poursuivi d’Allemagne aux Etats Unis et au Canada avec le transfert des scientifiques nazis à l’ouest, via la rats road, la route des rats  : les monastères et autres établissements religieux italiens.

Le pensionnat de Kuper Island a été dirigé par l’ordre catholique allemand des Montfort depuis 1906 et jusqu’à la guerre. Des médecins nazis y officiaient déjà en 1939, d’après plusieurs victimes. Mais les expériences ont cessé quand les flics du coin ont commencé à regarder ce qu’il se passait.

 

Marion McFarlane, qui a quitté le pensionnat d’Alberni en 1964, explique à Kevin Annett : «  Nous avons utilisé le surnom de ‘maison blanche’ pour l’école à cause de tous les gros bonnets qui se présentaient pour prendre les petits garçons et filles. Parfois, j'ai reconnu des juges locaux et des flics, des ecclésiastiques. Tout le monde était tranquille, comme ils savaient qu'ils n'auraient jamais à répondre de rien. Ils alignaient tous les enfants pour l'inspection, comme une vente aux enchères normale d’esclaves. C’était si triste. Ils prenaient un enfant et ils s'en allaient, et la plupart du temps vous ne revoyiez plus jamais l’enfant. Parfois, les filles revenaient enceintes, et elles étaient envoyées dans un hôpital de la côte ouest dans West Coast pour un avortement. Si la fille parlait, ils s’en occupaient. Si vous passez derrière le pipeline d’eau dans les collines derrière l’école, vous trouverez beaucoup de ces filles, et même certains de leurs bébés  ». Quelques années plus tard, une autre victime subissait des électrochocs quotidiens (en plus des drogues) dans cet hôpital, et toutes les femmes y étaient stérilisées. Le dossier médical de cette femme serait trop sensible pour lui être communiqué, d’après son médecin.

Irène Starr, qui a survécu à six années passées au pensionnat d’Alberni, raconte que « Beaucoup de filles tombaient enceintes à Alberni. Les pères étaient les hommes qui travaillaient là, y compris le prêtre, et aussi les grosses légumes qui passaient par là et voulaient des filles pour la nuit. Des types du gouvernement ou de l'église. On n'a jamais su ce qui arrivait aux bébés, mais ils disparaissaient toujours. Les filles enceintes étaient emmenées à l'hôpital du coin (note : le "West Coast General Hospital de Port Alberni") et elles revenaient sans leur bébé. Je peux encore les entendre pleurer toute la nuit leur petit qu'elles avaient perdu  ». Et parmi ces « grosses légumes », y en a-t-il qui sont toujours au gouvernement ? Ou qui sont encore vivants et pourraient avoir à répondre de leurs actes ?

Les filles qui tombaient enceintes étaient liquidées, on retrouvait parfois leurs corps dans un champ, un peu plus loin.

Clairement, Annett explique que des réseaux pédophiles opéraient à partir des pensionnats (d’où la fréquence des avortements alors que les filles et les garçons étaient séparés strictement, justement pour ne pas se reproduire). De nombreux survivants, et d’autres témoins ont décrit la connexion étroite entre les églises qui géraient ces établissements, et les réseaux de pédophilie.

Il semble qu’à partir des années 50, beaucoup de pensionnats se sont mis aussi à l’activité lucrative d’ « élevage sexuel », comme l’écrit Annett. Et en Colombie Britannique, ce business semble avoir prospéré avec la collaboration du très sélect Vancouver Club où les enfants (surtout des garçons) étaient livrés, et cela durant des années, au réseau pédophile qui régnait là[8]. Et qui semble y régner toujours, d’après certains. Ensuite, personne ne revoyait les enfants qui avaient été amenés au Vancouver Club.

Ainsi, on louait les enfants aux amateurs de chair fraîche. Annett dit que ces réseaux existent toujours, mais passent désormais par les chefs des conseils tribaux, ces Indiens –baptisés évidemment- mis en place par le gouvernement pour gérer les communautés après avoir massacré les familles d’anciens. Aujourd’hui, nombre d’indiens expliquent que les chefs les obligent à se taire au sujet des abus commis dans les pensionnats. Mais, les fonctionnaires du gouvernement, associations pour l’enfance liées aux flics et tribunaux sont aussi, aujourd’hui, de gros pourvoyeurs d’enfants.

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etc etc  http://mobile.agoravox.fr/tribune-libre/article/canada-le-massacre-du-peuple-126020

Le génocide des Indiens du Canada - Vidéo d'un repenti - Pétition

 

Voir aussi,

 

Vatican et Eglise. Chute de Babylone. Euro fort et nouvelle version de Babel 

Le Vatican donne son feu vert pour les micro-puces RFID. Et ensuite ?

Christianisme païen en Occident. Christianisme fervent en Russie. Choc 

Les crimes de la Couronne d'Angleterre, de la City, du Vatican - et NOM

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Voir

L’euro fort et la nouvelle version de BABEL

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Sur cette parution,


Vatican et Eglise. Chute de Babylone. Euro fort et nouvelle version de Babel

Le Vatican satanique attaqué !

Benoit XVI poursuivi pour crimes contre l’humanité, pédophilie et malversations financières!

Benoît XVI quitte le navire :
la voie s’ouvre pour l’EGLISE DES TÉNÈBRES babéliennes
Avec le prochain pape commencera le mystère d’iniquité

 

R-sistons vidéo 4 : Le Nouvel Ordre Mondial pour les "Nuls"  
12:12

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