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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 04:12

 

http://www.lexpress.fr/actualite/

Hollande promet des sanctions contre l'antisémitisme sur les réseaux sociaux

 

 

En alimentant le terrorisme

sous l'égide de Tel-Aviv,

la France des Sarkozy-Hollande-Fabius

joue avec le feu et va droit dans le mur.

  Par Chantal Dupille (eva R-sistons)

 

 

 

 

Par sa politique folle, totalement contre-productive et meurtrière, et dénoncée par les agents de la DGSE eux-mêmes, la France met en danger la sécurité des Français. Voilà les conséquences d'une politique totalement dictée par Israël et à son service.

 

Hollande, hypocritement, jure lutter contre le terrorisme, et en réalité il l'alimente par ses décisions insensées en matière de politique étrangère, particulièrement en armant les pires terroristes de la planète. La Syrie, avec son service de Renseignement très performant, a toujours aidé notre pays à lutter contre le terrorisme, et elle est attaquée par ceux qui bénéficiaient jusqu'ici de ses informations. La France est d'autant plus menacée, que les éléments les plus extrémistes et fanatiques du Qatar, d'Arabie Saoudite, des pays du Golfe, se répandent dans le monde et ciblent l'hexagone.

 

Notre politique va totalement à l'encontre de nos intérêts. En choisissant le camp des terroristes les plus fondamentalistes,  les plus obscurantistes,  la France des Sarkozy-Hollande-Fabius détruit la Syrie, un Etat paisible, tolérant, moderne, où toutes les communautés (juive, chrétienne, alaouite, sunnite, chiite, druze, kurde, etc) cohabitaient harmonieusement. Tout cela pour satisfaire les exigences messianiques des Talmudistes au pouvoir à Tel-Aviv, et représentés par le CRIF dans notre pays.

 

La France dirigée par des sayanim est menacée par le terrorisme radical qu'elle entretient, elle contribue à alimenter le fanatisme international et dans ses frontières par ses amitiés particulières (Qatar, par ex, qui dévore une partie du territoire en jouissant de privilèges scandaleux § 1) et ses choix douteux et meurtriers, elle piétine ses idéaux républicains et sa réputation dans le monde, et au final, elle va droit dans le mur... Sans un sursaut recommandé par nos agents de la DGSE, elle compromet son avenir.

 

Les Médias constituent aujourd'hui le premier pouvoir, et leur soumission aux intérêts des mondialistes va non seulement à l'encontre des buts de la profession, mais elle met gravement en danger la vie des Français et des peuples. Seule une prise de conscience de tous les citoyens, assortie d'une réaction à la hauteur des enjeux (comme des manifestations permanentes devant les Rédactions pour exiger une information digne de ce nom au lieu d'une propagande de guerre) pourra redresser une situation hélas bien compromise. 

 

Mais tant que les Français n'auront pas compris que leur pays est depuis la présidence Sarkozy colonisé, occupé, dirigé, dénaturé par des agents de Tel-Aviv (les fameux sayanim), tout ce qu'ils entreprendront pour se libérer restera lettre morte.

 

Et cette libération doit se faire à tous les échelons : Au niveau du Quai d'Orsay, en le peuplant à nouveau d'éléments indépendants, gaulliens ; au niveau de la Défense, en mettant nos Militaires face à leur devoir de résistance à l'intolérable ; au niveau des Services de Sécurité, en redonnant une parole efficace, écoutée, à ceux qui songent d'abord à l'intérêt de la France ; dans le cadre des Médias, en rappelant aux journalistes leur devoir d'information, etc.

 

Notre pays ne peut plus accepter d'être orchestré et gangrené par une bande de néo-conservateurs messianiques, appuyés sur une idéologie insensée, le Talmud ("Un peuple élu, une race supérieure, le devoir de domination, l'élimination ou l'asservissement des goys" § 2), il doit retrouver son indépendance, sa souveraineté. Pour sa survie.

 

Ou se résigner au pire. Il l'aura, assurément. Dans tous les domaines 

 

Chantal Dupille

 

http://chantaldupille.over-blog.com

 

Talmud; haine et Racisme. Voilà ce que les antisionistes propagent pour dénoncer les juifs

 

 

§ 1 .Comment la France est-elle devenue le paradis fiscal du Qatar ...

actupost.fr/france-paradis-qatar


§ 2 Le Talmud est le vrai bréviaire de l'intolérance, de la haine et du racisme

 

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http://archives-fr.novopress.info/58273

dgse.png

 

 

Quand la France se brûle les doigts dans le brasier syrien

Enquête sur les nouvelles filières terroristes en Syrie et en Europe

Comment sortir du bourbier syrien ? C’est la question qui tracasse, deux ans après le déclenchement de la crise syrienne, non seulement les décideurs politiques en Occident, mais aussi les services de sécurité de renseignement européens et américains qui sont aujourd’hui dans le noir total.
4 avril 2013

À l’euphorie des premiers mois, quand tous les décideurs occidentaux, sans doute aveuglés par certains analystes trop pressés d’en finir avec le chef d’État syrien et ne connaissant rien à l’exception syrienne, ont succédé le doute et la confusion.

La question qui se pose aujourd’hui à ces stratèges en herbe, auto-intoxiqués par les précédents tunisien, libyen, yéménite et égyptien, n’est plus de savoir quand le régime de Bachar al-Assad va tomber, mais comment sortir indemne de ce bourbier.

 

Car entre-temps, les services de renseignement, particulièrement ceux en charge de la lutte anti-terroriste, avaient tiré la sonnette d’alarme et s’étaient opposés, parfois ouvertement, à la politique myope et suicidaire que certains néoconservateurs occidentaux attardés voulaient appliquer à la Syrie, avec le soutien médiatique et financier des monarchies du Golfe, de la Jordanie, de la Turquie.


Ce constat désabusé a été dressé récemment par un diplomate français, cité en off par le quotidien Le Monde (édition du dimanche 31 mars - lundi 1er avril 2013) à propos de la politique en zigzag poursuivie par François Hollande au sujet de la Syrie depuis son accession à la présidence… Pour ce diplomate, c’est « l’incertitude », voire «  la confusion qui règne au sommet de l’État sur cette question. » Il commentait ainsi le renoncement de la France à armer l’opposition syrienne après avoir réclamé à cor et à cri la levée de l’embargo européen sur les livraisons d’armes à la Syrie, régime et opposition confondus, embargo instauré, faut-il le rappeler par Paris et Londres.


Les Européens, conduits par la France et le Royaume-Uni, avaient également entraîné les autres membres de l’Union européenne à imposer un train de sanctions économiques, financières et diplomatiques contre, disent-ils, le régime syrien, mais qui, en réalité, touchait de plein fouet les catégories les plus fragiles de la société. C’est la même logique meurtrière qui avait conduit ces mêmes pays à imposer un embargo meurtrier contre l’Irak en 1991 causant la mort d’un million et demi d’Irakiens.


Parmi ces sanctions notons celles qui visent personnellement non seulement toute la nomenklatura politique et économique du régime, mais aussi les chefs du renseignement anti-terroriste, ceux-là même avec qui ils avaient tissé, dans le passé, les meilleures relations dans la lutte commune contre les groupes terroristes et les réseaux mafieux. En visant les chefs du renseignement syrien extérieur chargé de traquer la nébuleuse d’Al-Qaïda et des réseaux dormants dhjiadistes, non seulement en Syrie, mais aussi en Europe et dans le Maghreb, la France s’est tiré une balle dans les pieds.


Le diplomate en question cité par Le Monde a reconnu cette faute à demi-mot : «  Depuis que nous avons fermé l’ambassade à Damas, avoue-t-il, notre appréhension des réalités du terrain a beaucoup diminué. Plus personne ne peut assurer que ce qu’il dit est fondé. Les trois principaux acteurs de notre diplomatie - la défense, les affaires étrangères et la présidence - n’ont pas de vision commune. De là vient l’impression de flottement. »


Nombreux sont ceux qui dans la communauté du renseignement français, qui ont une certaine idée de la politique étrangère de la France, avaient vertement critiqué l’aveuglement des politiciens français, d’abord sous Sarkozy et aujourd’hui sous Hollande. Beaucoup, surtout parmi les anciens directeurs du renseignement, s’étaient exprimé publiquement comme c’est le cas d’Yves Bonnet ou d’Alain Chouet. D’autres, encore en fonction, partagent parfaitement la position de leurs aînés, mais ne se prononcent pas publiquement, droit de réserve oblige. Cela n’a pas empêché l’indocile juge anti-terroriste français Marc Trevidic de se soulever contre le cynisme des responsables occidentaux.


Dans un entretien avec le JDD [1], il reconnaît que « la situation est trop confuse en Syrie. En plus, l’Occident est contre le régime en place (…) Le souci, et c’est ce que l’on voit actuellement en Syrie, est que ces élans spontanés [des dhjiadistes étrangers], sans réseau, sont tôt ou tard pris en charge par des groupes proches d’Al-Qaïda. Le terrorisme est une notion malléable, très liée à la géopolitique, aux alliances. Ces situations sont confuses, compliquées, voire hypocrites : quand ces gens-là nous servent, on ferme les yeux. Ça ne veut pas dire qu’ils ne sont pas dangereux, mais qu’ils sont dans le bon camp. Pour l’instant ».


Ce sont sans doute les positions de ces personnalités pragmatiques, bien informées et courageuses, qui font passer l’intérêt de l’État avant les intérêts des différents lobbies médiatiques et politiciens, qui ont pesé dans le flottement de la politique française et empêché la fuite en avant suicidaire de cette politique. Ce n’est pas encore gagné, mais le dernier revirement rocambolesque de François Hollande sur la livraison des armes sophistiquées aux groupes armés syriens est un pas dans la bonne direction.


Il y a quelques mois, le site français www.afrique-asie.fr a publié un article bien informé, intitulé : «  Quand la communauté du renseignement se rebelle contre la stratégie suicidaire de la France en Syrie » [2] consacré aux relations sécuritaires entre la France et la Syrie où il affirme que ces relations sont aujourd’hui « au point mort ». Le même article soulignait déjà « le mécontentement des hauts gradés de la DGSE à propos de la politique menée par leur pays à l’égard de la Syrie. Une politique qui leur a coûté cher en matière de collaboration antiterroriste ».


Or devant la montée en puissance du péril terroriste, particulièrement après l’engagement militaire de la France dans le Sahel, et la prolifération des groupes dhjiadistes en Libye et en Tunisie, mais aussi en Europe, certains anciens agents des services français, sans doute avec l’accord de leur hiérarchie, avaient tenté de renouer le fil de la collaboration antiterroriste entre les deux pays. Selon plusieurs sites et médias arabes, Paris aurait même demandé à la Jordanie d’intercéder en sa faveur auprès de Damas pour que cette coopération reprenne d’une façon informelle. Cette demande est intervenue après que les services syriens avaient déjoué une tentative d’assassinat contre le chef de l’État syrien, commanditée par les services secrets français et turcs.


L’agence de presse Asia News [3], reprise par de très nombreux médias de la région, était le premier média en ligne à avoir relaté en détail cet attentat manqué. En Turquie, les médias de l’opposition avaient largement commenté la nouvelle, évoquant un scandale et sommant le Premier ministre islamiste Erdogan à s’expliquer. Les médias français ont gardé jusqu’ici un black-out total sur cette affaire d’État. D’autant plus que cette révélation intervenait peu après le refus de Damas de répondre favorablement à la demande française, par Jordaniens interposés, de reprendre la coopération sécuritaire.


Le refus syrien à l’offre française de coopération est compréhensif. Il s’explique sans doute par les incontestables succès que les services anti-terroristes de Damas venaient d’enregistrer sur le terrain. Ils avaient en effet donné un coup de pied dans la fourmilière dhjiadiste qui s’est conclu par une série de coups de filets contre les réseaux terroristes proches d’Al-Qaïda, qui projetaient de perpétrer des dizaines d’attentats spectaculaires, dont des attentats à la voiture piégée. À l’issue de ces coups de filet, ils avaient recueilli de précieuses informations sur les cellules dormantes, non seulement en Syrie, mais également en Jordanie. Sitôt transmises à leurs collègues jordaniens, ces informations leur ont permis de déjouer une série d’attentats similaires dans le royaume hachémite.


On comprend mieux pourquoi la Jordanie avait soudainement fermé hermétiquement ses frontières avec la Syrie et avait interdit aux groupes dhjiadistes de les franchir. On a même assisté depuis à un revirement spectaculaire du Roi Abdallah II qui a réalisé qu’après la chute programmée du régime syrien par l’action conjuguée des Frères musulmans et des groupes salafistes radicaux, il serait le second sur la liste. D’où sa colère soudaine contre le nouveau « croissant sunnite » dirigé par la Turquie, l’Égypte et le Qatar, trois pays piliers de la Confrérie des Frères musulmans. Venant d’un roi proche des services britanniques, américains et israéliens, et qui avait le premier parlé d’un « croissant chiite », il y a quelques années, le retournement, il faut le reconnaître, est colossal ! Ce changement d’un roi girouette est plus dû à un réflexe d’auto-défense tactique qu’à un véritable tournant stratégique.


C’est cette nouvelle donne qui a sans doute refroidi l’ardeur anti-syrienne des Jordaniens, et qui a poussé certaines sources proches des services secrets de Sa Majesté hachémite, à se confier, en off à l’agence arabophone en ligne asianewslb.com. « Nous avons soumis aux Syriens tous les dossiers concernant les enquêtes sur les cellules terroristes qui projetaient de commettre des attentats à la voiture piégée, affirme cette source sécuritaire jordanienne. Ces enquêtes ont mis en évidence que toutes ces cellules terroristes actives ou dormantes qui opèrent en Syrie et en Jordanie, voire en France sont dirigées par un commandement central décloisonné représenté par un personnage central dit “le facilitateur”. C’est lui qui dirige les cellules sur le terrain sans que les membres de ces cellules le connaissent. Or ce personnage clé est tombé entre les mains des services syriens qui ont pu remonter, aveux et documents à l’appui, toute la filière dont toutes les actions s’étendent de la Syrie jusqu’en Europe en passant par la Jordanie et le Liban. »


Toujours selon les confidences recueillies par Asia News, « grâce aux renseignements fournis par Damas, nous avons pu identifier des individus qui étaient en contact avec le facilitateur. C’est après cette arrestation que les services français ont voulu renouer les contacts avec Damas qui a refusé net. Et pour cause : l’officier supérieur en charge de cette affaire n’est d’autre que le colonel Hafez Makhlouf qui fait partie d’un groupe d’officiers syriens dont les noms figurent sur les listes des sanctions française et européenne. »


Pour rappel, l’enquête, publiée par le site www.afrique-asie.fr, ci haut mentionnée faisait état du mécontentement des hauts gradés de la DGSE à propos de la politique menée par leur pays à l’égard de la Syrie. Une politique qui leur a coûté cher en matière de collaboration antiterroriste. « Les syriens, écrit cette enquête, ont sauvé la vie de centaines de citoyens français grâce à leur collaboration avec leurs homologues français et occidentaux en matière de lutte antiterroriste et de lutte contre le crime organisé (notamment la mafia des contrefaçons des médicaments). »


La politique insensée, résolument anti-syrienne, entreprise par l’ancien président Nicolas Sakozy et poursuivie avec hargne et dogmatisme par son successeur socialiste François Hollande, notamment en matière de soutien à une opposition disparate et conduite sur le terrain par des groupes terroristes, dont le seul objectif est le renversement du régime séculier du Baas et son remplacement par un « émirat wahhabite » ou un régime islamiste, a poussé Damas, soulignent des hauts gradés de la communauté du renseignement français, « à geler toute coopération avec nos services, au grand dam de la sécurité de nos citoyens. »


Le même article rappelait encore les lettres de remerciement rédigées et envoyées par les officiers français à leurs homologues syriens pour avoir aidé au démantèlement de nombreux réseaux mafieux et/ou terroristes et à déjouer de nombreuses tentatives d’attentats. En plus de son soutien aux terroristes en Syrie, l’ingratitude de Paris l’a mené à la mise sur liste noire européenne de la plupart de ces officiers dont l’un des plus connus, le colonel Hafez Makhlouf, dont le nom, avant de figurer sur la liste noire, trônait à l’entête des lettres de remerciement et de gratitude adressées par ses homologues français.


Bassam Tayyarah, le journaliste libanais résidant à Paris partage, dans son site arabophone d’information en ligne http://www.akhbarboom.com/, la même analyse que celle des milieux du renseignement français. « Si vous avez aimé Claude Guéant (ancien ministre de l’Intérieur sous Sarkozy), vous allez adorer Manuel Valls (l’actuel détenteur du poste) », écrit-il. Il fait ainsi référence à la politique, en matière de lutte antiterroriste, de l’actuel ministre de l’Intérieur qui emboîte le pas à son prédécesseur de droite. Pour tous les deux, la lutte antiterroriste représente « une priorité absolue ». Particulièrement depuis le début de la guerre contre le Mali, et les menaces proférées par les islamistes contre ceux qu’ils qualifient de « nouveaux croisés français. »


Claude Guéant entretenait d’excellentes relations avec les services de renseignements du Moyen-Orient, quand il n’était encore que l’homme d’ombre de Sarkozy, avant même de devenir son ministre de l’Intérieur. L’une de ses relations, et pas des moindres, était les services de sécurité syriens réputés comme les meilleurs d’après un proche de Guéant.


La France a beaucoup profité de sa collaboration sécuritaire avec la Syrie, dont l’aide était précieuse dans des opérations telles que le démantèlement de réseaux terroristes ou la mise en échec d’attentats contre des intérêts français ou même contre le métro parisien. Toujours selon Tayyarah, les services de renseignement syriens tenaient leurs homologues français au courant des mouvements des dhjiadistes français qui traversaient ses frontières pour rejoindre l’Irak.


Celle collaboration syrienne était tellement appréciée qu’elle a contribué, à l’époque, à la volonté d’ouverture de Sarkozy envers Damas. Mais les choses ont changé depuis deux ans, c’est-à-dire depuis le début de la « révolution » syrienne car la France a choisi d’être le fer de lance dans le soutien de l’opposition armée ce qui a logiquement conduit à la rupture de tous les ponts entre les deux pays. Le bureau annexe de la sécurité et de la lutte antiterroriste, qui coordonnait la collaboration, a été transféré de Damas à Amman.


Face à la montée des périls terroristes, une source proche des services français se montre pourtant optimiste. « Il ne faut pas perdre espoir, confie-t-elle, car c’est maintenant de l’intérêt des deux parties d’arrêter la casse et de renouer avec la coopération sécuritaire bilatérale, à condition toutefois que Paris se fasse à l’idée que la guerre secrète qu’elle mène contre Damas ne mène nulle part et qu’elle est perdue d’avance. » En attendant cet hypothétique retour à la raison et au pragmatisme, le régime syrien ne baisse pas les bras et continue à mener une traque implacable contre les réseaux terroristes et dhjiadistes alimentés de l’extérieur.


Selon un observateur libanais cité par le site bien informé Arabi Press, « Damas sait pertinemment qu’un nombre non négligeable de forces spéciales françaises entraînent l’armée syrienne libre. La France leur facilite l’approvisionnement en armes au marché noir. Les services syriens sont parfaitement au courant de la présence militaire française, britannique et américaine qui opère à travers les frontières avec le Liban, la Jordanie et la Turquie. Cette présence n’est pas encore de nature combattante. Elle se situe encore au stade de l’entraînement, de la gestion des centres de commandement arrière et la fourniture d’armes et de matériels de communication. Sans parler de son rôle dans la surveillance des groupes dhjiadistes et des armes qu’ils peuvent se procurer ».


Ce sont sans doute ces agents français qui opèrent à ces frontières de la Syrie qui avaient alerté le chef de l’État et l’avaient convaincu de renoncer à fournir des armes sophistiquées à l’opposition.


Est-ce le début d’une révision de la politique offensive française dramatique vis-à-vis de la Syrie ? Dans ce cas, la France aura de nouveau besoin de la coopération sécuritaire avec Damas en vue d’arrêter le flux ininterrompu de dhjiadistes étrangers et l’arrêt des financements à ces filières provenant des pays du Golfe. On n’en est pas encore là. Mais le spectre du retour vers l’Europe des dhjiadistes qui ont combattu (et combattent toujours) en Syrie, fait trembler ces capitales et pousse Paris à un retournement spectaculaire, dont elle est coutumière.


Henri Sylvain

 


[1] http://www.lejdd.fr/Societe/Justice/Actualite/Le-juge-antiterroriste-Marc-Trevidic-La-France-ennemi-bien-identifie-584526

[2] http://afrique-asie.fr/menu/moyen-orient/4596-quand-la-communaute-du-renseignement-se-rebelle-contre-la-strategie-suicidaire-de-la-france-en-syrie.html

[3] http://www.asianewslb.com/vdcbszbf.rhb09pukur.html

 


Enquête sur les nouvelles filières terroristes en Syrie et en Europe

 

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Sur ce site,

 

 

Un vétéran de l’armée US, à l’agonie, dénonce la guerre “illégale”, en Irak
3 avril 2013 | Le vétéran de la guerre d’Irak, Tomas Young, actuellement, ... ....en soins palliatifs, dans sa ville de Kansas City, au Missouri, a écrit une « dernière lettre » dévastatrice, publiée, sur Truthdig.com, à l’attention de l’ex-Président George W.Bush et du vice-Président, Dick Cheney.

 

Une fatwa autorise le viol des femmes Alaouites en Syrie
2 avril 2013 | Un Cheikh jordanien, Yasser al Ajlouni, qui soutient la lutte armée menée par les combattants du front al Nousra et de l’ASL, prononce ici une fatwa autorisant ces derniers à violer les femmes Alaouites en Syrie.

Tel Aviv très impliquée dans la déstabilisation de Damas
31 mars 2013 | .

 

La campagne BDS : boycott d’Israël ou boycott de la résistance palestinienne ?
31 mars 2013 | En 2005, 172 organisations palestiniennes lancent, parallèlement aux autres modes de résistance, un appel à un boycott généralisé d’Israël pour dénoncer la politique coloniale et raciste de l’Etat juif d’Israël.

 


cahuzac-hollande-asselineau

 

Actualité :

 

 

 

 

 



 

 

 

 

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POUR UN DROIT À UNE INFORMATION PLURALISTE (M'PEP)

 

 

 

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- Evolution foudroyante du système bancaire mondial

Du gangstérisme à la truanderie

 

3 avril 2013 

 


1 - C'est là que tout a commencé
2 - Des trous dans le manteau d'or
3 - Petit conte immoral
4 - Les banquiers deviennent des banksters
5 - L'exemple français
6 - Consolidation du statut des banksters
7 - Du gangstérisme bancaire et de la truanderie institutionnalisée
8 - La punition exemplaire infligée aux Chypriotes
9 - Conclusion pessimiste

 

 

 « Aussi longtemps qu'on ne le prend pas au sérieux, celui qui dit la vérité, peut survivre dans une démocratie »
Nicolas Gomez Dàvila "

 

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  • 5 avril 2013, par Comité Valmy
    Leçons de la crise chypriote
    Par Jacques Sapir
    31 mars 2013
    Il est temps désormais de tirer les leçons de la crise chypriote. Cette dernière a été importante non pas du fait de la taille du pays – Chypre ne représente que 0,2% du PIB de la zone Euro – mais en raison des mesures prises et de leurs conséquences. Elles prouvent que Chypre, aussi petit qu’elles soit, a ébranlé dans ses profondeurs la zone Euro.
    La crise de l’Euro est passée dans une phase qualitativement supérieure.
    Tout d’abord, (...)

  • 5 avril 2013, par Comité Valmy
    L’erreur fatale de l’anesthésiste :
    Le malade chypriote se réveille avant la fin de l’opération
    La semaine dernière, le gouvernement chypriote a nommé une commission d’enquête chargés de déterminer les responsabilités pénales dans la crise et de relever d’éventuels délits d’initiés ou favoritismes. Le nouveau président M. Anastasiades a du déclarer ceci : "Je veux insister sur le fait que lors de la cérémonie de prestation de serment demain (mardi) pour ces trois juges, ils vont recevoir (...)


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