
Bonjour
Voici les tweets que j'ai envoyés en écoutant
ce grand journaliste indépendant qu'est Edwy Plenel;
il honore la profession. Son indépendance,
comme la mienne d'ailleurs, est fustigée :
Le voici traité de "fasciste" par ceux
qui n'apprécient pas sa liberté !
C'est l'accusation classique contre tous les indépendants,
les non-alignés, les traqueurs de vérité...
Plenel dénonce les "campagnes de calomnies",
de dénigrement, il a raison !
Je suis placée pour le savoir...
Mais on n'étouffe pas la liberté, la vraie Liberté !
Oui, le rôle du journaliste est de déranger.
Alors comme Edwy Plenel,
comme Michel Collon
(voir articles plus bas),
continuons de déranger !
Chantal Dupille
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Vidéos sur le site
25 mars 2013
Article en PDF :
Selon l’officine syro-britannique de propagande pro-rebelle appelée Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), il y aurait eu 26 morts dont 16 soldats gouvernementaux et 86 blessés suite à l'attaque survenue le 19 mars à Khan Al 'Assal, quartier du sud-ouest d'Alep. D'après une source hospitalière, ce bilan risque de s'alourdir en raison de l'inhalation de gaz toxiques par la population civile et par les soldats. De leur côté, les protecteurs occidentaux de la rébellion anti-syrienne préfèrent nier l'évidence.
Tombée le mois dernier aux mains du Front Al Nosra, filiale syrienne d'Al Qaïda, la localité de Khan Al 'Assal connue pour sa loyauté envers le régime venait d'être reprise par l'armée arabe syrienne.
Voici les images des brigades patriotiques du parti Baas sur la reprise de Khan Al Assal :
VIDEO
Ici les images du JT de la chaîne Al Ikhbariya du 12 mars 2013 sur la reprise de la localité par l’armée gouvernementale :
VIDEO
Dans la logique des choses, vu la nature de l’attaque et vu la cible, les regards devraient se tourner vers les rebelles, seul camp susceptible de tirer profit d’une pareille attaque.
D’autant que les victimes sont sans conteste majoritairement « loyalistes ».
Qui plus est, la population a manifesté sa joie lorsqu'elle a été libérée par l'armée gouvernementale, raison de plus pour les rebelles de se venger de Khan Al 'Assal.
D’ailleurs, comme on peut le constater sur les images de la chaîne Al Ikhbariya, les victimes elles-mêmes accusent les rebelles d’avoir commis cette attaque :
VIDEO
Cinquièmement, sur la toile circulent plusieurs vidéos où l'on voit des rebelles menaçant de recourir à l'arme chimique.
VIDEO
Notons ici l’énième service rendu par les médias occidentaux à leurs terroristes préférés.
Ces images ayant été soigneusement censurées par nos médias, le citoyen lambda européen ou étasunien ne peut en effet envisager le moindre lien entre celles-ci et l’attaque de Khan Al ‘Assal.
Sixièmement, des enregistrements de conversations téléphoniques datant de janvier 2013 indiquent que des chefs rebelles envisagent le recours à l'arme chimique (5min, 10 sec.) :
VIDEO
Septièmement, la rébellion est à ce point morcelée qu'aucun de ses chefs, pas même le colonel Kassem Saadeddine autoproclamé commandant suprême ne peut prétendre démentir ces allégations au nom de tous les bataillons rebelles.
Il n'est donc pas à exclure qu'une brigade rebelle agissant en électron libre ou appartenant à une mouvance indépendante de l’Armée syrienne libre ait perpétré ce massacre.
Rappelons au passage que le quartier de Khan Al ‘Assal avait été envahi par le Front Al Nosra, fer de lance de la guerre anti-syrienne, et non par l’ASL.
Rappelons aussi que le Front Al Nosra n’a pas démenti les allégations du gouvernement concernant l’usage d’armes chimiques.
Rappelons enfin que l’ASL s’est souvent fait ridiculiser par Al Nosra en démentant les crimes qu’Al Nosra revendiquait fièrement.
Malgré tous ces éléments accablant pour les rebelles (l’identité des assassins n’ayant pas été établie de manière définitive, l’incertitude demeure tout de même), la Maison Blanche doute encore qu’ils puissent être responsables de l’attaque chimique.
Washington ose même conclure qu’il n’y a pas eu usage d’armes de ce type à Khan Al ‘Assal.
Pourtant, même un photographe de Reuters qui se trouvait sur place parle d’une « forte odeur de chlore après l’explosion ». (Reuters, 22 mars 2013)
Quant aux victimes, elles parlent toutes de la propagation d’une « poudre blanche ».
Il a fallu que l’Etat syrien porte plainte à l’ONU pour que les puissances occidentales daignent accepter une enquête impartiale du bout des lèvres.
Visiblement, avec l’Occident comme arbitre du conflit syrien, la mauvaise foi (pour ne pas dire le négationnisme) a encore de beaux jours devant elle.
Sur ce site,
Copie de la lettre transmise par Bahar Kimyongür aux membres de la Commission d’enquête (...)
Guy Verhofstadt a invité le commandant de l’armée rebelle syrienne à venir plaider pour un plus (...)
Mon cher Stéphane, Où que vous soyez, je sais que vous êtes bien et en paix. Je suis également (...)
Malgré tous les crimes qu’il commet, malgré toutes les résolutions de l’ONU qu’il bafoue, l’Etat (...)
Le philosophe et médecin arabe Averroès nous avait prévenus : « Il n’est pire ennemi de l’Islam que (...)
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SYRIE :
Pont aérien de la Cia pour armer les «rebelles»
Global Research, mars 27, 2013
Dans la « guerre couverte » en Syrie, on découvre désormais les cartes. Après que le centre de Damas a été touché par des projectiles de mortier et des missiles qui ont tué plusieurs civils, le commandant « rebelle » Abou Omar, revendiquant le mérite de l’action, a déclaré hier 26 mars au New York Times que « les groupes rebelles autour de Damas ont été renforcés par de nouvelles fournitures d’armes à travers la Jordanie avec l’assistance américaine ». Une enquête de ce même journal confirme ce que nous écrivons depuis longtemps sur il manifesto : l’existence d’un réseau international, organisé par la Cia, à travers lequel un flux croissant d’armes arrive aux « rebelles » en Syrie.
Depuis des centres opérationnels appropriés, des agents de la Cia pourvoient à l’achat d’armes avec des financements (de l’ordre de milliards de dollars) concédés principalement par Arabie saoudite, Qatar et autres monarchies du Golfe ; ils organisent ensuite le transport des armes en Turquie et Jordanie à travers un pont aérien, puis les font enfin parvenir, à travers la frontière, aux groupes en Syrie, déjà entraînés dans les camps installés à cet effet en territoire turc et jordanien.
Depuis que l’opération a commencé en janvier 2012, au moins 3.500 tonnes d’armes, selon une estimation par défaut, ont ainsi été transportées par pont aérien. Les premiers vols ont été effectués, par des avions militaires de transport C-130, du Qatar en Turquie. Depuis avril 2012 ont été utilisés de gigantesques avions cargos C-17, fournis par le Qatar, qui ont fait la navette entre la base aérienne de Al Udeid et celle turque de Esenboga. Détail non négligeable : la base aérienne qatari de Al Udeid abrite le quartier général avancé du Commandement central Usa, avec un personnel de plus de 10mille militaires, et fonctionne comme hub pour toutes les opérations au Moyen-Orient. Dans ses dépôts sont stockés des armes de tous types, y compris certainement aussi celles non made in Usa, plus adaptées pour les opérations « couvertes ». Depuis octobre 2012, des avions jordaniens C-130 ont atterri dans la base turque de Esenboga, pour charger des armes à transporter à Amman pour les « rebelles » syriens.
En même temps, des avions cargos jordaniens ont commencé à faire la navette avec Zagreb, en transportant à Amman des armes d’arsenaux croates achetées avec les financements saoudiens. Pour cette opération on utilise de gigantesques avions Iliouchine de la Jordanian International Air Cargo. Depuis le mois de février 2013, aux vols des avions cargos qatari et jordaniens se sont ajoutés des saoudiens, effectués par des C-130 qui atterrissent sur la base turque d’Esenboga.
Malgré les démentis de Zagreb, l’enquête a amplement documenté l’engagement de la Croatie dans ce trafic international d’armes, dirigé par la Cia. Un acte méritoire pour la Croatie qui, pour son rôle dans la désagrégation de la Yougoslavie, a été récompensée par son admission dans l’Otan en 2009. A présent, en participant à l’opération pour la désagrégation de la Syrie, elle acquiert de nouveaux mérites aux yeux de Washington. Et ceci à la veille de son admission dans l’Union européenne, dont elle deviendra le 28° membre en juillet prochain. Elle pourra ainsi joindre sa voix à celle de l’Union européenne qui, tandis qu’elle renforce l’embargo des armes à l’égard du gouvernement syrien, déclare vouloir « atteindre une solution politique qui permette d’arrêter le massacre et autorise la fourniture d’aides humanitaires rapides et efficaces, avec une attention particulière pour les enfants ».
Manlio Dinucci
Edition de mercredi 27 mars de il manifesto
Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio
Manlio Dinucci est géographe et journaliste.
Copyright © 2013 Global Research
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par
aecmill / dans 23 mars 2013 à 0 h 03 min /
Par Camille Loty malebranche
Le but ultime et suprême de toute géostratégie dans un contexte néocolonialiste où nulle puissance prédatrice ou conquérante ne peut dire que tel territoire souverain lui appartient de manière formelle et légale selon les prescrits du droit international, est de créer des États fantômes nouveaux, voués à toutes les volitions des puissances qui les portent à l’existence.
En appuyant l’avènement d’un premier ministre intérimaire de la coalition nationale syrienne, Ghassan Hitto, les puissances occidentales viennent de montrer leur décision de tout faire pour établir leur domination sinon sur tout le territoire, à tout le moins sur une partie du territoire syrien que probablement l’Asl (armée syrienne libre) au service des desiderata occidentaux se chargera de déterminer par une prochaine scission du territoire du pays. Quand on sait que G. Hitto est un islamiste, cadre jusqu’à sa nomination d’une compagnie de téléphonie étasunienne au texas, l’on ne peut ne pas saisir le jeu malsain de la politique occidentale vis-à-vis de l’islamisme; une politique de cloaque anatomique par où tout passe, c’est comme le rostre de certains crinoïdes paléolithiques où la bouche et l’anus passent pratiquement par le même canal, confondus dans leur fonction d’absorption et d’excrétion selon les besoins. Et pire ici, le même produit est déclaré comestible et toxique selon les cas. On sait également que même certains membres de l’opposition se sont abstenus devant une telle ingérence étasunienne, un si criant asservissement par l’étranger de l’autorité censée les représenter. L’on comprend alors que le refus de tout dialogue avec Assad de la coalition gouvernementale dirigée par Hitto, relève de la mission de ce dernier envelrs ses maîtres occidentaux qui l’ont investi en cette occurrence pour précisément empêcher toute entente entre les parties syriennes. Car il ne s’agit pas seulement de a tête d’Assad et de ses proches, très sots qui s’y fieraient, mais de positionnement géostratégique des usa et de leurs alliés.
Lorsqu’il échouent à vampiriser les pays qu’ils visent à transformer en domaine de leur hégémonie ou qu’ils éprouvent le besoin de territoires nouveaux plus adaptés à leur politique impérialiste, les prédateurs d’États, disloquent et divisent les États retors à leur domination, en leur enlevant des parts territoriales pour créer d’autres États satellites limitrophes afin d’affaiblir leur cible et de s’assurer une présence militaire rendue légale par la force des choses. L’histoire témoigne de cas précis de création d’États par des hégémonistes néocolonialistes assurant leur intérêt stratégique en coupant des territoires pour se positionner sur de nouveaux pays dont deux nous viennent à la mémoire: le Koweït, le Panama…
Les nouvelles récentes de la crise syrienne nous replacent donc devant un cas de figure classique en géostratégie où priment l’émiettement de territoires, le forgeage d’États fantômes pour s’implanter dans des régions stratégiques, ici cette partie spécifique du Proche–Orient qu’est la Syrie, espace de dispute paroxystique de la suprématie entre l’occident et le tandem sino-russe. Rien n’est trop énorme aux yeux des hégémonistes ni le lourd tribut politico-économique d’effritement institutionnel pour les peuples visés, ni le massacre de populations civiles ni la pulvérisation de pays entiers à l’heure de redéfinition des nouveaux pôles au vingtéunième siècle que nous pouvons d’ores et déjà qualifier celui de la multipolarité et des luttes de pôles hégémoniques.
intellection.over-blog.com
CAMILLE LOTY MALEBRANCHE
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ALORS QUE LA FRANCE SOUTIENT LE TERRORISME FINANCÉ EN SYRIE PAR L'ARABIE SAOUDITE (et le Qatar)
Enlèvement d’enfants palestiniens à Hébron par l’armée israélienne d’occupation
27 mars 2013 | .
Alors que la France soutient le terrorisme financé en Syrie par l’Arabie Saoudite
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Sous la dictature des Saoud, les opposants sont menacés de crucifixion
29 mars 2013 | Ce mercredi, un procureur saoudien a requis « la mort par crucifixion » pour un religieux anti-gouvernemental dont l’arrestation l’été dernier, avait suscité dans le royaume ultra-conservateur des manifestations réprimées de façon meurtrière .
Un article de Ramzy Baroud
La Turquie retombe dans les filets israéliens
26 mars 2013 | Un rapprochement israélo-turc est incontestablement en cours, mais contrairement aux années 1990 qui ont vu le plus fort de leur alignement politique, les relations remises en place sont susceptibles d’être plus réservées et poseront plus de problèmes à la Turquie qu’à Israël.
Un article de Muhammad Abu Nasr
Quand les activistes pro-palestiniens se soumettent aux exigences des "juifs progressistes"
25 mars 2013 | Sur la base de ce que nous avons observé durant onze années nous sommes arrivés au même tragique constat que l’auteur de cet article. A savoir que toute cette solidarité avec la Palestine, telle que conduite par la direction du mouvement international, est de la poudre aux yeux. Et elle le restera tant que les droits des gens à s’exprimer librement au sein de ce mouvement ne sont pas défendus. [Silvia Cattori]
Il y a dix ans l’intervention US en Irak
Les mensonges des journalistes « embedded » commentés par Abby Martin
25 mars 2013 | .
Une analyse de Ghaleb Kandil
Liban : La démission de Mikati et le plan d’escalade d’Obama
25 mars 2013 | La démission du gouvernement de Najib Mikati est la copie libanaise du plan d’escalade américain à l’échelle régionale, et dont le coup d’envoi a été donné par le président Barack Obama lors de sa visite en Israël. Au Liban, la démission avait été précédée par de nombreux indices politiques. Elle ouvre la porte à une nouvelle étape de la confrontation politico-sécuritaire, qui s’inscrit dans le cadre de la guerre mondiale menée contre l’État national syrien et dont les acteurs veulent transformer le Liban en plateforme pour attaquer ce pays voisin et porter atteinte à la Résistance, qui constitue une force de dissuasion contre Israël et ses soutiens.
"Nous étions soldats dans la "Guerre contre la Terreur"
25 mars 2013 | Témoignages de vétérans US de la guerre en Irak.
Voir aussi :
Obama en visite en Israël : Disparition définitive de la Palestine originelle
Syrie: Un tragique remake de Suez ? - Alerte Damas et Liban - Enfants dans l'ASL (Vidéo L. Louis)
Tout serait prêt pour une attaque de l'Iran... Le pire bientôt ?
La France apparaît désormais comme le pays le plus agressif de la planète
La France, sous-marin des Etats-Unis, soutient les pires terroristes
Pourquoi Chavez rend tout le monde hystérique
Pourquoi l’Afrique doit s’inspirer de Chavez - 31.3 Marche pour Gbagbo
.Appel d'eva R-sistons et d'un Lecteur, Ahura, à se mobiliser en faveur du Juge Gentil