Le blog de la journaliste-écrivain engagée Chantal Dupille, humaniste (souverainiste de gauche et verte) non-alignée sur les mensonges de la Pensée Unique. Pour s'exprimer en toute liberté sur tous les sujets. Avec passion et audace.
Voir aussi sur le péril des Droites extrêmes, un dossier :
Le Manière de Voir du Monde Diplomatique, N°134, avril-mai 2014
Autre portrait exposé par les nationalistes, celui de Bandera, figure du nationalisme ukrainien, fondateurs de l’Armée insurrectionnelle ukrainienne et dirigeant de l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN).
http://la-flamme.fr/2014/02/le-portrait-d%E2%80%99adolf-hitler-devant-l%E2%80%99hotel-de-ville-de-kiev/
http://france.eternelle.over-blog.com/article-le-portrait-d-adolf-hitler-devant-l-hotel-de-ville-de-kiev-122680286.html#fromTwitter
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Regardez la démocratie
que vous avez installée en Ukraine !
Déjà, en 1982,
dans cet interview pour Fr3 (2mn),
je dénonçais le racisme, le fascisme,
et tous les communautarismes sectaires, intolérants.
Mes bêtes noires !
Le fascisme est la pire des abominations.
C'est la violence sauvage, bestiale,
absurde, sans limites.
C'est le racisme, la haine.
Avec l'aide des "démocrates" de l'Occident,
le fascisme vient de triompher en Ukraine
bien décidé à imposer son ordre
totalitaire, monstrueux.
C'est le premier round.
Poutine, le joueur d'échec, vient de se lever.
Il se dresse face à l'Occident corrompu,
menteur, voleur, assassin.
L'Histoire n'est pas finie..
Chantal Dupille
NB : L'Occident a installé le fascisme en Ukraine,
comme il installe un peu partout le terrorisme.
Pour servir ses intérêts.
Pour prospérer sur les décombres des sociétés,
pour diviser afin de régner.
L'Occident est monstrueux !
Regardez ceux que
l'UE
(qu'on veut encore nous fourguer,
et toujours plus,
et pire encore, avec le GMT)
a légués en Ukraine:
Victime de la terreur !
Le fascisme à l'oeuvre en Ukraine :
Attaque d'un bus (VO)
...
Actualité Ukraine, Crimée, etc,
quelques liens
sur mes blogs :
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#Svoboda posts map of Greater #Ukraine.
Looks like the fascists have designs on Russia,
Poland and Hungary: pic.twitter.com/wW6mYRZZb3”
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Rappel :
http://www.mondialisation.ca/lunion-europeenne-et-les-usa-complices-du-fascisme-ukrainien/5371191
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TwitLonger d'un Lecteur, Sormiou,
voici le post car le site est désormais
difficile d'accès :
@rsistons Article paru sur le site mai68.org le 1er mars 2014 :
- 1 mars 2014 - Sochi, c’est fini !
L’impérialisme occidental nazi n’aura pas la Crimée !
Il aura seulement la dette !
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Les Amerloques ont profité des jeux de Sochi pour fomenter un coup d’État en Ukraine en utilisant des mercenaires nazis recrutés partout en Europe. Les impérialistes occidentaux ont profité de Sochi pour tenter d’imposer un fait accompli, sachant que les Russes n’interviendraient pas en Ukraine pendant Sochi. Mais voilà, Sochi, c’est fini !
Ce soir, 1er mars 2014, l’impérialisme occidental nazi admet sa défaite en Crimée, les Russes ne se sont pas laissés intimider, ils ne se sont pas laissés imposer un fait accompli. Le bluff d’Obama, qui a dépensé 5 milliards de dollars pour financer la contre-révolution nazie en Ukraine, a échoué.
Maintenant, c’est dans tout l’est de l’Ukraine que les Ukrainiens manifestent pour que Poutine envoie l’armée russe les libérer eux-aussi des nazis qui se sont emparés du gouvernement à Kiev. La Russie viendra-t-elle les libérer eux-aussi ? C’est probable.
La question qui se pose, c’est de savoir si la Russie va reprendre toute l’Ukraine. Possible que non, puisque l’Ouest ne présente pas grand intérêt pour elle, puisque la seule chose que possède l’Ouest de l’Ukraine, c’est une énorme dette que la Russie pourrait en fin de compte laisser à l’Occident nazi qui a voulu s’emparer de l’Ukraine.
Je me disais, au début des événements ukrainiens, qu’il y avait quelque chose de bizarre dans la propagande bourgeoise de l’impérialisme américano-euro-sioniste, à diviser ainsi les Ukrainiens entre "pro-européens" et "pro-russes", au lieu de les classer comme d’habitude entre "de droite" et "de gauche".
Mais, au vu des événements, j’ai compris une chose. "Pro-européen", ça veut dire nazi ; et "pro-russe", ça veut dire très "à gauche", voire communiste. En effet, les troupes de choc de la contre-révolution ukrainienne "pro-européenne" avaient des croix gammées comme symboles, et les populations "pro-russes" de l’Ukraine ont souvent manifesté avec des drapeaux rouges munis d’une faucille et d’un marteau.
do
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En fait, il suffit de désactiver Java
ou/et de ne pas utiliser Internet Explorer
(Do)
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La situation en Ukraine-Crimée,
.http://www.les-crises.fr/saloperies/
Monsieur Mélenchon considère que nous vivons dans une dictature molle. Dans son blog il déclare le 25/02/2014 :
"La dictamolle, ce n’est pas la dictature. La dictature est rustique. Elle surveille, réprime et nécessite une vigilance de chaque instant. En dictature, il y a des morts. La dictamolle est bien plus efficace. Sa formule générale d’action est « cause toujours tu m’intéresses ». Rien ne sert à rien, tout veut dire n’importe quoi et même son contraire. La dictamolle est une situation d’autoritarisme insaisissable. Tout simplement parce que le dictamou vit dans la demie-teinte, mi-chair mi-poisson. Tel le caméléon, il se confond avec le paysage qu’il occupe ; il tient tout le monde hors de portée sous un feuillage de mots truqués, d’humour de muscadin, de blagues et de jeux de communication. La dictamolle de Hollande est un exemple de ce que l’on peut faire dans ce registre extrêmement exigeant en matière de cynisme post-électoral et d’absence d’affect face aux souffrances qu’on déclenche. Mais cette semaine, le dictamou a commis une erreur. Il s’est laissé trop aller dans le paysage qu’il occupait. Et c’est ça qui le rendait trop visible. Bisouter des patrons très discutables, admirer bouche bée le président démocrate qui a espionné son pays : tsssss ! tsssss !"
En réalité la dictature n'est pas si molle qu'elle en a l'air. Dans notre démocratie on crève les yeux des manifestants, on en condamne d'autres à de la prison ferme, on espionne des dizaines de milliers d'internautes avec la complicité de toute la classe politique. Et encore, le PS et la gauche sont beaucoup plus démocrates que l'UMP elle même moins implacable que le FN.
La "dictamolle" c'est bien la dictature. Mais une dictature cachée et hypocrite. Une dictature qui torture et tue secrètement. Une dictature qui espionne les citoyens en les filmant dans leurs habitations. Une dictature qui ne supporte pas la moindre contradiction. Une dictature où une lettre au courrier des lecteurs du Figaro peut conduire à des persécutions à vie. Une dictature qui spolie 90% de la population au profit des 10% des riches qui sont les seuls à profiter du système. Une dictature où personne n'a plus de droit. Plus de droit du tout. Plus le droit à la vie privée, plus le droit de pisser, chier, voyager, dormir, travailler sans l'autorisation de Big Brother, le Mind Control plus puissant que celui imaginé par Orwell. Une dictature où le Mind Control se charge de disperser les familles, de briser les couples, d' "éduquer" les enfants. Une dictature qui persécute les innocents et favorise les corrompus, les criminels et les fous. Une dictature qui sème le chaos partout dans le monde. Une dictature qui opère de concert avec les fascistes du monde entier pour persécuter les citoyens. Une dictature où de simples internautes sont obligés de subir la torture satellitaire en raison de leurs écrits, de leurs origines, de leurs opinions.
Nous ne sommes pas dans une dictatmolle mais dans un régime totalitaire de la pire espèce qui "surveille et réprime" par satellite, comme tous les hommes politiques le savent. Quant au "dictamou" il est tout de même moins criminel et tyrannique que les "dictatdurs" qui l'ont précédé.
http://edouardjean.canalblog.com/archives/2014/02/26/29308977.html
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A lire absolument :
Des organisations nazies font irruption sur la scène européenne
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Comme prévu, le pouvoir avait déjà changé de mains à Kiev lorsque se clôturaient les Jeux. Les Occidentaux, largement désinformés, ont eu l’impression d’une révolution pro-européenne. Pourtant, la divulgation d’une conversation téléphonique entre l’assistante du secrétaire d’État US, Victoria Nuland, et son ambassadeur, Geoffrey R. Pyatt, ne laisse aucun doute sur le complot états-unien [2]. À coup de fausses images, on leur a fait passer un gouvernement de voyous et de prévaricateurs [3] pour une bande de tortionnaires russophiles [4]. Comme dans toutes les « révolutions colorées », de mystérieux snipers ont tiré depuis les toits à la fois sur la foule et la police, et le gouvernement en a été tenu pour responsable. Dans la confusion, les Occidentaux ont eu l’impression que « le peuple » s’était emparé des palais nationaux. En réalité, pendant que des activistes, majoritairement nazis, combattaient place Maidan en direct sur les télévisions internationales, des politiciens s’emparaient discrètement des palais nationaux dans une autre partie de la ville. De ce point de vue, les Européens peuvent être rassurés : ce ne sont pas les nazis qui ont pris le pouvoir.
Les nazis ukrainiens n’ont rien à voir avec l’extrême-droite ouest européenne, généralement ouvertement sioniste (sauf le Front national français). Ils ont été incorporés durant la Guerre froide dans les réseaux stay-behind de l’Otan pour saboter l’économie soviétique, puis ont été entretenus par la Pologne [5] et la Lituanie. Durant les trois mois de manifestation, ils ont été rejoints par des islamistes tatars qui étaient venus spécialement de Syrie où ils pratiquaient le jihad [6]. Les Tatars, habitants historiques de la Crimée, qui furent dispersés par Staline pour avoir soutenu les nazis durant la Seconde Guerre mondiale, sont aujourd’hui répartis principalement en Ukraine et en Turquie. Place Maidan, ils ont su montrer leur savoir faire acquis en Syrie : ils ont crevé les yeux de policiers et les ont mutilés [7].
La révolution de la place Maidan masque un coup d’État extrêmement classique [8]. En présence de « diplomates » états-uniens, la Rada a violé la constitution qu’elle a abrogé sans référendum. Elle a destitué, sans débat ni procès, le président en exercice et a confié les pouvoirs législatifs et exécutifs à Olexandre Tourtchinov, l’ancien patron des services secrets.
Le nouveau dictateur a désigné Arseni Iatseniouk comme Premier ministre, ce qui correspond, ô miracle, aux souhaits exprimés à l’avance par Victoria Nuland. Le nouveau Premier ministre a constitué un cabinet qu’il est allé présenter aux manifestants de la place Maidan. Ceux-ci, désormais beaucoup plus nombreux et parmi lesquels les nazis ne représentent plus qu’un tiers, ont hué nombre d’entre eux, parce que juifs.
En Crimée, où la majorité de la population est russe et où stationne la marine russe, le Parlement régional, pris lui aussi d’un « élan révolutionnaire », renversait le gouvernement local (fidèle à Kiev) et nommait le sien (pro-Russe). Simultanément, des militaires en uniforme, mais sans drapeau ni insignes, prenaient les bâtiments officiels et l’aéroport, empêchant le nouveau gouvernement de Kiev d’envoyer ses forces.
À Kiev, la Rada dénonçait une ingérence russe et appelait au respect du Mémorandum de Budapest. En 1994, les États-Unis, le Royaume-Uni et la Russie avaient signé un accord sur le gel de l’Ukraine en échange de sa renonciation à l’arme nucléaire [9]. Mais pour Moscou, ce Mémorandum ne s’applique plus car il a été violé par Washington et Londres depuis la « révolution orange » de 2004 [10] et plus encore depuis le coup d’État de la semaine dernière.
Que va t-il se passer maintenant ? Le 25 mai, Bruxelles organise l’élection du Parlement européen, Kiev organise une élection présidentielle, tandis que la Crimée tiendra un référendum d’autodétermination. Une fois la Crimée indépendante, elle pourra toujours choisir de se rattacher à la Russie dont elle faisait partie jusqu’en 1954. L’Union européenne devra, quant à elle, répondre aux espoirs qu’elle a suscité et par conséquent payer, avec on ne sait quel argent, une partie des 35 milliards de la dette ukrainienne. Les nazis de la place Maidan ne retourneront pas à la clandestinité, mais réclameront leur part de gouvernement.
Mais l’histoire ne sera pas terminée pour autant car il restera pour le Kremlin les problèmes de la partie orientale de l’Ukraine (qui abrite une population russe et une industrie de défense) et de la Transnistrie (l’ancienne Bessarabie, qui était jadis le centre de recherche pour les missiles soviétiques). Ce petit pays, de population russe, qui ne figure sur aucune carte car il ne siège pas à l’Onu, a pris son indépendance lors de la dissolution de l’Urss, mais est considéré comme faisant partie de la Moldavie. Il résista vaillamment à une guerre que lui livrèrent la Moldavie, l’aviation roumaine et les conseillers de l’Otan, en 1992 [11]. Il est parvenu depuis à conserver le modèle social soviétique tout en adoptant des institutions démocratiques. Sa sécurité est assurée par une « force de paix » russe [12]. Au minimum, une vingtaine de kilomètres carrés ukrainiens pourraient se soulever et se joindre à la Transnistrie pour lui offrir une sortie sur la mer Noire, mais l’Ukraine serait alors coupée de son appendice occidental. Au mieux, relier la Crimée à la Transnistrie supposerait de prendre plusieurs centaines de kilomètres de côte dont la ville d’Odessa.
Les troubles vont donc se poursuivre en Ukraine, mais ce sera aux arroseurs arrosés —les États-Unis et l’Union européenne— d’en supporter le poids. Outre le fardeau financier, comment vont-ils gérer leurs alliés victorieux nazis et jihadistes ? La démonstration de force de Washington tourne au fiasco [13].
Source Al-Watan (Syrie)
[1] « Après la Yougoslavie, l’Ukraine ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 5 février 2014.
[2] « Conversation entre l’assistante du secrétaire d’État et l’ambassadeur US en Ukraine », Oriental Review, Réseau Voltaire, 7 février 2014.
[3] « L’Ukraine brade son secteur énergétique aux Occidentaux », par Ivan Lizan, Traduction Louis-Benoît Greffe, Однако, Réseau Voltaire, 2 mars 2013.
[4] « Fausses images en Ukraine », Réseau Voltaire, 6 février 2014.
[5] « La Pologne, nouvelle tête de pont d’un plan de déstabilisation de l’Otan », par Andrew Korybko, Traduction Gérard Jeannesson, Oriental Review, Réseau Voltaire, 26 février 2014.
[6] « Des jihadistes assurent le service d’ordre des manifestations à Kiev », Réseau Voltaire, 4 décembre 2013.
[7] « Евротвари выкололи глаз и отрубили руку пленному бойцу », YouTube, 21 février 2014.
[8] « Coup d’État pro-US en Ukraine », Réseau Voltaire, 23 février 2014.
[9] “Memorandum on Security Assurances in connection with Ukraine’s accession to the Treaty on the Non-Proliferation of Nuclear Weapons”, Voltaire Network, 5 December 1994.
[10] « Washington et Moscou se livrent bataille en Ukraine », par Emilia Nazarenko et la rédaction, « Ukraine : la rue contre le peuple », Réseau Voltaire, 1er et 29 novembre 2004.
[11] « En 1992, les États-Unis tentèrent d’écraser militairement la Transnistrie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 17 juillet 2007.
[12] « Tiraspol, base avancée de l’armée russe ? », par Arthur Lepic, Réseau Voltaire, 15 août 2007.
[13] « Washington peut-il renverser trois gouvernements à la fois ? », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie), Réseau Voltaire, 23 février 2014.
Honte à Catherine Ashton de l'UE
qui s'affiche avec Oleh Tyahnybok du parti ukrainien Svoboda,
ouvertement antisémite et pro-Nazi #Histoire
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Malgré les apparences de démocratie, le capitalisme est fasciste = http://alainindependant.canalblog.com/archives/2014/03/06/29374406.html#utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=alainindependant …
NEONAZIS AU POUVOIR D’ÉTAT EN UKRAINE.
L'anarchie fasciste planifiée =
http://www.les7duquebec.com/7-au-front/les-neonazis-au-pouvoir-detat-en-ukraine/ … - Mon dossier http://chantaldupille.over-blog.com/article-ce-fascisme-monstrueux-qui-plane-sur-l-ukraine-l-ue-l-a-installe-122770048.html …
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Le fascisme est une horreur !
Quels mauvais souvenirs il rappelle !
On finit dans l'humour, quand même !
Ne manquez pas de lire les commentaires d'Ahura
sur cet article,
ils sont formidables !
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