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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 05:00

 

Washington entraîne le monde dans la guerre
par Paul Craig Roberts

http://www.comite-valmy.org/spip.php?article4208

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Introduction, par Chantal Dupille


WW3 ? Personnellement, je crois moins au choc de civilisations parfois annoncé (comme par François Asselineau), que comme je l'ai dit depuis longtemps, à l'attaque de la Russie puis de la Chine par l'Occident, soit directement, soit via la Syrie, ou l'Iran... deux pays pouvant être les tremplins vers la 3e guerre mondiale (WW3) car impliquant la Russie leur alliée. L'Occident ne peut supporter une Russie renaissante, puissante, souveraine, et une Chine rayonnante, donc rivale. Il veut régner seul, accaparer toutes les ressources, et imposer à la terre entière la dictature malfaisante du Nouvel Ordre Mondial (NWO).

Lorsqu'en décembre 2008 j'avais dans un article posé la question de la Crimée comme point de départ de la WW3, c'est en pensant à 2010 (accord à renégocier avec la Russie). Je savais que si cet accord n'était pas prolongé, la Russie, avec sa base navale Sébastopol, ne l'accepterait pas, et que tout pouvait démarrer à ce moment-là. La suite, on la connaît : Ianoukovitch a prolongé cet accord, évitant ainsi un conflit. Quant à la Syrie, elle a failli être le point de départ de la WW3, mais en interceptant les deux premiers missiles américains lancés, la Russie a empêché son attaque par les USA puis par la France. Le contentieux est donc lourd avec la Russie : Pays souverain, conservateur (refusant les réformes de société du NWO, par ex), patriote, puissant, empêchant notamment à l'ONU par ses vétos la mise à mort de la Syrie, ou maintenant privant l'Occident de tous les fruits de son coup d'Etat contre l'Ukraine (avec le départ des Russes de Crimée), en proposant un référendum, c'est-à-dire un vote populaire qui fait peur au 4e Reich (l'UE totalitaire). Alors, tôt ou tard, la Russie sera provoquée, acculée à se défendre, ou attaquée. Peut-être lorsque d'autres régions russophiles demanderont à leur tour le rattachement à la Russie... A suivre de très près, donc.

Chantal Dupille

 

Textes conseillés, et vidéo :

explique la position de la France sur l'OTAN. Perspective d'une guerre mondiale impliquant l' =

 

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Tweets sur la WW3 :

 

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Mon opinion (mes tweets récents):

 

 

Plan d'USraël pour le Proche et le Moyen-Orient : 1) Détruire les pays arabes laïcs (Syrie, Libye, Irak..) et même en Palestine occupée (Israël a suscité le Hamas). 2) Installer au pouvoir les Musulmans les plus radicaux, les plus fanatiques, les terroristes.  3) Ils seront ensuite le prétexte pour attaquer et annexer les pays arabes.

 

Guerre mondiale ? Mon opinion depuis longtemps: L'Empire (+ le caniche européen) s'effondre (sauf l'industrie militaire), il est en pleine décomposition, seule reste la fuite en avant guerrière.

 

Israël a demandé une trêve aux Palestiniens... pendant ses festivités. Ensuite, en avant attentats ciblés et représailles.. ! Et nouvelle attaque, aussi ?

 

C'est effrayant, quelle responsabilité ! Les "journalistes" savent qu'on danse sur un volcan, et ils continuent leur propagande nauséabonde !

 

Quand la Russie déploie ses troupes en Crimée, les meRdias se précipitent. Mais silence quand l'OTAN masse ses troupes en Ukraine, en Pologne...

 

WW3 ?  D'un côté USA-UE-Israël-Canada-Turquie.. contre Russie-Iran-Syrie-Palestiniens-Hezbollah.. Et la Chine ? Pour moi son intérêt est d'intervenir. Et la Corée du Nord, interviendra-t-elle aux côtés de la Chine ?

 

WW3  2) Pour moi, la Chine (visée par les USA aussi) devrait intervenir avec la Russie... sinon, ensuite elle sera seule à faire face à tous !

 

A suivre...  Chantal Dupille (eva R-sistons)

 

NB : Il faut aussi prendre en compte les délires des Décideurs, en particulier à Tel-Aviv, messianiques (Voir Gog et Magog, référence chère aussi au fanatique Bush Jr). Eux espèrent, sur les décombres de l'humanité, régner en "seigneurs".  Bref, ils veulent la guerre ! Il suffit de voir les réactions bellicistes d'un Fabius (appelé en dehors de l'hexagone, "le Ministre des Affaires Etrangères d'Israël"), pour comprendre qu'effectivement, nous "dansons" sur un volcan. Surtout en France, avec nos centrales nucléaires... et la haine que nous suscitons, comme en Amérique Latine depuis l'affaire de l'avion en difficulté du Président Moralès, que F Hollande se disant lui aussi socialiste, n'a pas voulu voir atterrir sur le sol français, ou en Russie (voir les Infos nous concernant, de la chaîne Pro-Russia.TV).  Et que dire des rancoeurs face aux guerres néoconservatrices que nous menons partout ? Notamment en Afrique ou dans des pays arabes.. Notre meilleur ami est à Ryad, et ce n'est pas une référence ! Pauvre France contre son gré aux mains de Dirigeants aux ordres de l'Empire... Ch D.

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UKRAINE-HISTORY-UPA-RALLY

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Sur mes blogs,

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Une grave question que j'aborde souvent sur mes tweets,

ou dans des articles :

 

L'accaparement des terres

Lundi 25 avril 2011

http://farmlandgrab.org/wp-content/uploads/2009/12/L_accaparement_des_terres_et_la_crise_alimenta.jpg

 

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À Rome, le Comité de la sécurité alimentaire mondiale, installé dans les locaux de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, s’apprête à lancer un processus de consultation sur les principes proposés pour réglementer ces transactions. De leur côté, conscients de l’extrême urgence de la situation, les mouvements sociaux et les organisations de la société civile (OSC) se mobilisent pour mettre fin à l’accaparement des terres et défaire les accords déjà en application. Pourquoi La Banque mondiale, les agences onusiennes et bon nombre de gouvernements concernés s’efforcent-ils de favoriser ces accords d’accaparement de terres comme des “investissements agricoles responsables” ?


Aujourd’hui l’accaparement des terres se fait à une allure galopante. Des contrats sont signés, les bulldozers sont déjà au travail, la terre se trouve délimitée de manière brutale et les populations locales sont chassées de leur territoire ; les conséquences sont dévastatrices. Quoiqu’il soit difficile d’obtenir des renseignements précis sur la question, il est clair qu’au moins 50 millions d’hectares de terres fertiles – ce qui suffirait à nourrir 50 millions de familles indiennes – sont, au cours des dernières années, passés des mains des paysans à celles des grandes entreprises et chaque jour, de nouveaux investisseurs se joignent à la ruée. 1 

 

Certains de ces accords sont présentés comme une nouvelle manière de satisfaire les besoins de la sécurité alimentaire de pays qui dépendent des marchés extérieurs pour se nourrir eux-mêmes, comme le Qatar, l’Arabie Saoudite, la Corée du Sud ou la Chine. D’autres sont exposés sans détour pour ce qu’ils sont en réalité : des contrats d’affaires et de nouvelles opportunités de bénéfices très intéressantes. Même si certains États jouent un rôle actif, la plupart de ces transactions se font entre les gouvernements hôtes et des entreprises privées. Les sociétés concernées estiment que 25 milliards de dollars US ont déjà été alloués mondialement et elles se targuent de vouloir multiplier ce chiffre par trois dans un très proche avenir.

 

suite ici :

 

 

http://www.alterinfo.net/Rien-ne-peut-justifier-l-accaparement-des-terres--disent-les-mouvements-sociaux-et-les-OSC-a-la-Banque-mondiale-aux_a57794.html

 

 

http://pcf.venissieux.org/IMG/png/carte_faim_terres.png

http://pcf.venissieux.org/IMG/png/carte_faim_terres.png

 

 

senor-information.over-blog.com/75-index.html
6 déc. 2013 - Si 1 ultra sioniste co Rothschild accapare déjà 20 % des terres, c'est pour les ressources + ... Par eva R-sistons - Publié dans : Alerte, danger !
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Jeudi 13 mars 2014

Accaparement des terresAprès la crise financière de 2007, les terres cultivables (et particulièrement celles situées dans les pays en voie de développement) sont devenues l’objet d’un frénétique accaparement dans lequel se sont engagées les pétromonarchies arabes, riches en liquidités mais pauvres en terres arables ou des multinationales de l’agro-business, intéressées par la création d’immenses plantations pour la production de biocarburants. On retrouve également un certain nombre d’entreprises financières convaincues que l’investissement dans la terre peut garantir des profits en toute sécurité. On voit apparaître au final une véritable forme de colonialisme qui risque de modifier l’équilibre international, comme le montrent les récentes révoltes en Afrique du nord liées à l’augmentation du prix des denrées alimentaires.

 

On a commencé récemment à considérer la crise alimentaire comme un phénomène structurel, dont le land grabbing (l’accaparement de vastes portions de terres dans les pays en voie de développement, NDLR) est un aspect particulièrement préoccupant. Les grands investisseurs, avec la bénédiction des gouvernements locaux corrompus et le coupable appui des organismes internationaux, ont lancé une ambitieuse campagne pour prendre le contrôle de la terre et de l’eau en les soustrayant au contrôle des paysans d’Afrique et d’Amérique du sud.

 

Ces derniers se plaignent des graves dommages sociaux et environnementaux produits par les grands propriétaires terriens, mettant l’accent sur les dangers qui pèsent sur eux lorsque le prix des denrées alimentaires fluctue un peu trop sur les marchés internationaux. La course pour le contrôle des terres et de l’eau a pour toile de fond une crise plus générale liée à la distribution et l’utilisation des ressources qui apparaissent de plus en plus limitées.

 

Derrière le land grabbing se cache un colonialisme cruel et pervers où les terres fertiles des pays pauvres se négocient pour trois fois rien. On enregistre depuis une dizaine d’années une hausse constante de la demande mondiale en denrées alimentaires et en biocarburants. Des pays riches n’ayant ni terres arables ni eau (comme l’Arabie saoudite) ou qui comptent une forte densité de population (comme le Japon) ont commencé depuis longtemps à acquérir ou à louer sur le long terme des terres à l’étranger. En 2009, Daewoo logistics avait d’ailleurs prévu de produire du maïs et de l’huile de palme sur 1.300.000 hectares de terres agricoles de Madagascar soit près de la moitié des terres arables du pays. Il n’y a dans la plupart des cas aucune difficulté à faire main basse sur les terres convoitées : les paysans qui la travaillent vivent dans la pauvreté et ne possèdent que trop rarement un titre de propriété.

 

Le phénomène de l’accaparement des terres touche tous les continents, à l’exception de l’Antarctique. 47 % des États touchés par le phénomène se trouvent en Afrique et 33 % en Asie. Enfin, 90 % des terres cédées sont concentrées dans vingt-quatre pays. Tout ce qui y est cultivé l’est grâce à l’eau : à partir du moment où cette ressource est exploitée, surtout dans les zones où on enregistre déjà une malnutrition diffuse, la situation s’aggrave. Les gouvernements locaux, qui cèdent à des prix dérisoires des régions entières (un hectare de terrain ne coûte parfois qu’un ou deux dollars par an dans certaines contrées) sont, avec les acheteurs, les principaux gagnants de ce business hors norme. Bien entendu, ces tarifs favorisent la venue d’investisseurs étrangers, y compris dans des zones vierges de toute infrastructure ou politiquement instables. Mais une fois cette terre vendue, le vendeur est indifférent à l’utilisation qui en est faite ; il n’existe aucune protection sociale et environnementale, et des régions entières peuvent être polluées ou vidées de toutes ses ressources sans qu’aucune autorité ne lève le petit doigt.

 

Les communautés locales sont de surcroît souvent chassées des terres qu’elles travaillent depuis des générations. Mais les indigènes les plus chanceux seront embauchés comme ouvriers dans la nouvelle entreprise pour des salaires de misère. José Graziano da Silva, directeur général de la FAO (organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture), a récemment comparé l’accaparement des terres en Afrique à la conquête de l’Ouest sauvage. C’est dire s’il semble difficile de freiner ce phénomène barbare…

 

L’accaparement sauvage des terres émane principalement des industries produisant des biocarburants qui nécessitent de vastes étendues pour cultiver le palmier à huile, le maïs, le colza, le tournesol, la canne à sucre et d’autres espèces de plantes à partir desquels elles obtiennent les carburants alternatifs aux produits pétroliers.

 

Pour rendre attrayant ce type d’investissement, il convient de bien déterminer les termes des contrats qui vont être conclus. Deux-tiers des terres et des ressources naturelles « accaparés » au cours des dernières années sont en Afrique et plus particulièrement en Afrique sub-saharienne. Ceci est une donnée essentielle pour comprendre la portée et les conséquences de ce phénomène.

 

Il est évident que les terres rurales apporteraient beaucoup plus aux populations autochtones si ces dernières les cultivaient, les exploitaient et vendaient elles-mêmes leurs produits aux entreprises et aux États étrangers. Ce serait encore plus profitable si elles avaient les moyens de développer des industries locales de transformation de produits récoltés. Les dégâts provoqués par l’accaparement des terres sont encore plus importants quand on considère que de nombreuses familles, parfois des milliers, perdent leur foyer et leurs moyens de subsistance pour faire place nette aux nouveaux propriétaires des lieux.

 

Tout ceci se passe dans les pays en voie de développement où les ventres crient bien trop souvent famine. La sous-alimentation et la malnutrition sont encore très importantes, comme le montre le dernier rapport de la FAO sur l’insécurité alimentaire dans le monde. Pourtant, on y importe la nourriture à un prix élevé.

 

En ce qui concerne l’Afrique, les prévisions sont apocalyptiques. Rights and Ressources Initiatives, une confédération internationale d’ONG, a publié en février 2012 le résultat d’une enquête menée dans trente-cinq pays africains. Il ressort qu’au moment où ce continent connaît une croissance exponentielle de ses besoins alimentaires, les nouveaux investisseurs ont pris pour cible les terres des communautés rurales, qui contrôlent traditionnellement un milliard 400 millions d’hectares composés de forêts et de terres arables. Mais les systèmes juridiques en place dans la plupart des États africains ne leur reconnaissent que très rarement des droits de propriété. Partout, c’est l’État qui s’est emparé de ces terres ou de ces forêts. Et partout, c’est l’État qui distribue des droits d’exploitation à des grandes sociétés étrangères. Selon l’un des dirigeants de Rights and Ressources Initiatives, Jeffrey Hatcher, « dans les trente-cinq pays africains étudiés, l’essentiel des terres agricoles a été confisqué par les États. Ce phénomène affecte 428 millions de paysans pauvres de l’Afrique sub-saharienne ».

 

L’Afrique est un continent frappé chaque année par les pénuries saisonnières et parfois par une pénurie de produits alimentaires de base. Pis, les terres fertiles sont destinées à la production de biocarburants dont on tire de l’énergie, et ce au détriment des cultures alimentaires. Lorsque la terre et l’eau sont des sources de profits comme une autre et qu’on « tire avantage de la hausse du prix des denrées alimentaires », on spécule avec la famine. C’est néanmoins une vision à très court terme car une situation qui voit des pans entiers de l’humanité vivre dans la misère porte nécessairement en elle les germes de la guerre.

Capitaine Martin 

 

 

 

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commentaires

A
Eva ...voila pourquoi Poutine ne craint pas les menaces des EU et de l'UE . Ceci n'est pas de moi mais de M Xavier Moreau St Cyrien et officier parachutiste . Je cite :<br /> Les différents ministères et structures économiques russes, potentiellement concernés par de lourdes sanctions économiques, ont été mobilisés pour préparer une riposte massive le cas échéant. La<br /> décision russe d’intégrer la Crimée est désormais irrévocable. Avec la quasi-totalité de la population russe et des forces politiques derrière lui, Vladimir Poutine s’apprête à affronter un<br /> occident divisé, appauvri et contesté au sein même des nations qui le composent.<br /> <br /> La riposte russe sera totale en effet :<br /> - ventes des bons du trésor des pays sanctionnant ;<br /> - non remboursement des prêts contractés par la Russie ou par les entreprises russes ;<br /> - confiscation des actifs occidentaux ;<br /> - achat de devises asiatiques en remplacement des devises occidentales ;<br /> - fin du commerce avec l’occident et virage asiatique vers la Chine et la Corée du Sud qui ont déjà été contactées dans ce sens et seront les premiers bénéficiaires de cette rupture ;<br /> - fin de l’utilisation du dollar dans les échanges commerciaux.<br /> <br /> Les conséquences de cette riposte représentent une véritable catastrophe potentielle pour les économies européennes, notamment pour l’Allemagne, la Pologne et la France. Il est évident que cette<br /> riposte aura également des conséquences dramatiques pour l’économie russe, le temps qu’elle se réoriente massivement vers l’Asie. La différence est, encore une fois, que Vladimir Poutine n’hésitera<br /> à en appeler à la solidarité nationale russe, contre le diktat occidental. Les gouvernements ouest-européens ne pourront pas, en revanche, compter sur la compréhension de leur population. En<br /> France, les médias “mainstream” ont essuyé leur première défaite face aux médias alternatifs. Décidés à passer sous silence la compromettante conversation de Catherine Ashton, ils ont été<br /> contraints au bout de cinq jours – et sous la pression des sites internet alternatifs – d’évoquer le sujet.<br /> <br /> La force de Vladimir Poutine reposent aujourd’hui sur la confiance qu’il inspire à la population russe, ainsi que sur son trésor de guerre. Ces deux atouts lui permettront d’amortir les<br /> conséquences d’une guerre économique, bien mieux que ses adversaires.<br /> <br /> Les États-Unis ont une nouvelle fois sous-estimé la détermination de la Russie. Ils tentent de faire payer aux Européens leur nihilisme stratégique. Il y a tout lieu de croire que les Européens ne<br /> vont pas pousser la Russie dans une guerre que leurs économies exsangues, pour la plupart, ne leur permettront pas de mener. La France, plus que toutes les autres nations européennes, doit se<br /> libérer du joug malfaisant de Washington. Il est heureux de constater que l’incorruptible Jean-Pierre Chevènement se trouve en première ligne pour rappeler où se situe l’intérêt supérieur de la<br /> France, et palier les idioties de l’histrion BHL. Ce dernier s’efforce une nouvelle fois, d’entrainer le gouvernement français dans de nouvelles errances lybiennes, où il ne trouvera que le<br /> ridicule qui s’est déjà abattu sur lui en Syrie. À ses côtés, nous trouvons désormais François Fillon, appelé à devenir le candidat souverainiste de l’UMP. Le Front de Gauche a su, dès le début de<br /> la crise, définir les enjeux exacts, tout en étant lucide sur les forces en présence. Il en va de même pour le Front National qui se situe dans une ligne purement gaullienne, mettant au centre<br /> l’intérêt supérieur de la Nation, en dehors de toute idéologie.<br /> <br /> Le choix de l’Europe, et par conséquent du partenariat russe, contre le choix de l’occident, et par conséquent de l’Union européenne, est désormais un thème qui dépasse les clivages politiques<br /> traditionnels. Les Français rejettent massivement l’ingérence nocive des États-Unis dans les affaires européennes, comme ils rejettent totalement son modèle civilisationnel.<br /> <br /> Xavier Moreau
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A
Eva ... que ceux qui sont pour le grand marché transatlantique regarde bien cela<br /> http://www.goodplanet.info/actualite/2014/03/13/viande-de-cheval-enquete-en-amerique-chez-les-fournisseurs-des-supermarches-francais/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=viande-de-cheval-enquete-en-amerique-chez-les-fournisseurs-des-supermarches-francais<br /> <br /> et voici le modèle de société que l'on veut nous imposer ...des barbares qui n'ont qu'une seule religion : le fric ! Il est temps que les français entre autres diminuent leur consommation de<br /> viandes qu'elle soit de poulets, de moutons , de cochons ou de bœufs (en fait du cheval parfois malade)et se battent pour un peu plus de respect des animaux ! Mais bon quand on tue des enfants<br /> irakiens, lybiens ou syriens sans sourciller il est bien évident que l'on ne va pas s'arrêter sur le sort d'un cheval ! En économie façon US on n'est pas à cheval sur les principes
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A
Eva ... en pensant à la Crimée et à l'Ukraine j'ai repensé à une chanson écrite en 1871 par Peschard : "Ils n'auront pas l'Alsace ni la Lorraine"<br /> http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=TN3a4kOl4Yo<br /> <br /> N'y a-t-il pas parmi tes lecteurs un compositeur de talent qui nous écrivent : Ils n'auront pas L'Ukraine ni la Crimée ! A 143 ans de différence les deux situations ont bien des ressemblances<br /> ...merde ! quand même !
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A
Eva ... quelques jours avant les élections, j'invite les citoyens français à écouter cette vidéo ! Cahuzac n'est pas un cas isolé (malheureusement) . De gauche comme de droite ils sont nombreux à<br /> détenir ou à avoir détenu des comptes en Suisse. Je salue le courage de ce banquier suisse .<br /> <br /> http://www.youtube.com/watch?v=Ck8Y1njz0Tk&feature=player_embedded
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