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7 juillet 2012 6 07 /07 /juillet /2012 23:47

 

 

lavandiere-sur-tabouret.jpg

John Sloan [1871-1951] - Travail de femme

francophonia.net

 

 

John Sloan [1871-1951] - Travail de femme - http://www.francophonia.net/viewtopic.php?p=566366

.

 

Cliquer sur les images, celle-ci est très belle :

 
3223

.

 

A150/3223
ANDREAS SCHELFHOUT
(1787 La Haye 1870)
Paysage hivernal. Vers 1850. Huile sur toile.
65x93 cm

 

 

 
3076

 

A150/3076
JOHANN CONRAD SEEKATZ
(Grünstadt 1719-1768 Darmstadt)
Enfants de paysans avec canards et oies.
Huile sur toile. 42x32 cm.

 

 
3017

 

 

A150/3017
DAVID TENIERS le jeune
(Anvers 1610-1690 Bruxelles)
Scène de village avec joueurs de boules. Vers 1660.
Huile sur panneau. 29,4x25,3 cm.

 

 

Le dentiste, avec Ahura :


Eva ! Hier en me rendant chez ma mère qui habite la ferme de mes grands parents, j'ai retrouvé accroché au grillage du jardin, le pochon qui servait à verser le lait dans les timbales des voisins. J'ai parlé des caramels à mon frère qui m'a assuré que les caramels de la mère Rogelin ne coûtait pas 1 franc mais un centime . Je crois qu'il a raison (c'est sûr ce n'est pas un liard !). Cette rectification étant opérée je vais raconter une visite chez le dentiste .


Chaque année mon père conduisait sa progéniture chez le dentiste au chef lieu de canton. Le cabinet de l'homme de l'art était situé à l'étage d'une maison bourgeoise et se composait d'une salle d'attente au parquet ciré et d'une salle de torture au beau milieu de laquelle trônait la roulette et un meuble de dentiste avec plein de petits tiroirs et un plateau en verre sur lequel était disposé des outils en acier tous plus inquiétants les uns que les autres. Je me souviens d'un petit miroir et d'un instrument terminé par un crochet qui permettait de gratter les caries . Mais ce que je n'oublierai jamais c'est la roulette ! et le dentiste avec sa blouse blanche et son sourire diabolique me poursuivre jusque sur le repose pieds où immanquablement je terminais ma trajectoire en essayant de fuir la fraise ... et la douleur ! Quel soulagement quand il m'invitait à cracher dans un gobelet rempli d'eau et quand il préparait son amalgame qui signifiait que la séance de tortures était terminée. Les plombages qui m'ont transformé la mâchoire en poste à galène étaient de bonne qualité car une cinquantaine d'années plus tard ils sont toujours là.... et ils partiront avec la bête ! Ahura.

.

 

passe-dentiste-ancien.jpg

 

 

Au fait, on pourrait évoquer le marchand ambulant de carreaux !

Avant, tout était artisanal, manuel, durable... Ah, la nostalgie !

Une fois, carreau cassé à Paris, j'étais petite,

un vitrier passe, et hop !

Dans la journée le carreau est remplacé...

Voyez le vitrier, en-dessous :

 

vitrier.1172350814.gifartiste-peintre.1172348402.gifremouleur.1172350415.gif

http://robertgiraud.blog.lemonde.fr/2007/02/25/bob-giraud-lhomme-de-penn/

 

 

Et il y avait (encore aujourd'hui avec les Tsiganes)

le rempaillage des chaises,

du temps où on ne gaspillait pas comme maintenant,

où à peine un élément est cassé, hop, on jette ! 

 

On pourrait évoquer aussi la repriseuse de bas, de chaussettes !!!

.

c133.JPG Pour revolutionner les oeufs à repriser, une repriseuse universelle a été brevetée,
une curiosité dans le domaine de la mercerie.
Je n'ai trouvé que la boîte, (l'illustration du couvercle nous montre son utilisation).
http://labobinerouge.blogspot.fr/2010/03/oeufs-1.html

 

Et voici ce que j'ai trouvé sur ce blog, juste ce qu'il faut,

un article qui évoque le passé, voyez plus bas !

Dégustez ! Chantal Dupille

.

 

img546.jpg

 

LE REMPAILLEUR DE CHAISES....

Bien utile dans les villages, appelé aussi fabricant de barreaux de chaises...

img551.jpg



LE SABOTIER..

Dit "l'Escloupié". Les sabots fabriqués le plus souvent en noyer étaient

garnis de paille ou de foin... Pas de talons aiguilles.....

img550.jpg



LE MEUNIER

Près de 1500 moulins à vent et à eau ,

où les paysans venaient faire moudre le blé,
pour nourrir leurs familles, souvent nombreuses..

img552.jpg



LE FORGERON..

Trés demandé, comme ici à LUGAGNAC, prés de LIMOGNE,

où il a réquisitionné des aides pour tenir la vache....

Et voila vous aurez un aperçu des petits métiers disparus, et ...

excusez la qualité des images...vieilles cartes postales..

 

 

ON REVIENT DANS NOTRE BEAU PAYS....

et particulièrement dans ce département pittoresque, le LOT,

Pour vous faire redécouvrir l'artisanat de ce temps-là.....

ENTRONS DANS LE PASSE....et dans la danse...

img553.jpg




podcast




ARTISANAT LOTOIS...en ce temps-là....

img542.jpg



LO DEBOUDZAIRO
Depuis longtemps rouets et quenouilles ont pris le chemin des musées...

A l'époque on filait aussi bien la laine et le chanvre...


img543.jpg



LES FILEUSES..
Pour habiller toute la famille, elles tissaient la laine brute,

et exportaiten le surplus vers l'AVEYRON...


img544.jpg



LE TAILLEUR

Exerçait surtout son métier, sur le foirail, les jours de marché...

img545.jpg



LES TRICOTEUSES

A CONCOTS, atelier de confection d'habits....

et le patron a l'air de surveiller ses petites mains...


podcast

img547.jpg



LE VANNIER

Souvent gens du voyage il tressait paniers et corbeilles

surtout en bois de châtaignier..

 

Passe-lecteur-famille-paysans.jpg

Famille de CE lecteur, merci à lui :

 

Témoignage d'un Lecteur :

 

Bonjour Madame;

 je me permets de correspondre avec vous

au sujet de la vie de nos aieux.
    Eh bien voila j' ai 79 ans

j'ai connu mon arrière grand'mère centenaire

je peux vous dire quelle n'a pas passé sa vie a s'amuser

car elle n'en avait pas le temps,

aucun confort pas de machine à laver

pas d'eau rien que celle du ciel et des mares

pas d'eau courante le jardin etait fait à la beche le bois à la scie à main, 

couper l'herbe aux lapins au faucillon

pour faire tout cela il fallaitse lever très tot

et se coucher très tard s'en avoir pris sa douche !!!  

 

suite plus bas

 

passe-famille-lecteur-agric.--2--magasin.jpg

Famille de CE Lecteur, suite, merci à lui :


     (suite) Le forgeron-maréchal par exemple,

il rentrait dans son atelier à 5 heures du matin

et ne quittait son travail qu'a 19 heures en hiver
En été sa journée débute une heure plutot et finit une plus tard

soit des journées de 12 à 14 heures et cela 6 jours sur 7

avait t'il le temps de faire la fête OUI 1 fois par an

c'était la fete la saint Eloi par exemple.
     NON ce n'était pas tous les jours la fête

ILS ne regardaient pas la télé et pour cause !!!!
 Je ne peux que vous encourager dans cette voie

et collaborer pour vous aider à vous rapprocher

au plus près de la vèritè
          Bien cordialement
         Bernard R.

.
Un conseil de nos ancetres pour être heureux :


  Marche 2 heures par jour, dors 7 heures toutes les nuits,

lève-toi dès que tu t'éveilleras, travaille dès que tu es levé,

ne mange qu'a ta faim, toujours lentement, ne bois qu'à ta soif.

Ne parle que lorsqu'il faut et ne dis que la moitié de ce que tu penses.

N'ecris que ce que tu peux signer, ne fais que ce que tu peux dire,
    n'oublie jamais que les autres compteront sur toi;

Mais tu ne dois jamais compter sur eux.

N'estime l'argent ni plus ni moins qu'il vaut :

C'est un bon serviteur; mais c'est un mauvais maitre.

Bernard R.

 

img548.jpg



LES ETAMEURS

Métier ambulant... la famille habitait la roulotte

et participait aux travaux d'étamage,
car à cette époque... on ne jetait rien...

 

http://natureetsaveurs.blog50.com/archive/2009/10/16/1900-1920-retro-lot.html

 

 

garcons_bouchers.1172348613.gifpeintre.1172350741.gifbalayeur.1172348418.gif

http://robertgiraud.blog.lemonde.fr/2007/02/25/bob-giraud-lhomme-de-penn/

 

 

 

 


interieur--fe-enfants-chat.jpg 

  

Hier et aujourd'hui,

par Chantal Dupille

 

 

Il y avait des enfants qui riaient ensemble

en montant dans les cerisiers ou en jouant à la marelle.

 

Il y avait des enfants qui chantaient en allant à l'école,

il y aura des enfants tristes devant la Télé-Enseignement

 

Il y avait des Tsiganes qui sillonnaient nos chemins,

avec leurs roulottes chatoyantes, on veut brider leur liberté.  

 

Il y avait des paysans qui travaillaient la terre,

et qui enchantaient les paysages comme nos villages.

 

Il y avait des ouvriers spécialisés,

ils se sont battus pour que nous vivions mieux...

 

Il y avait des pêcheurs qui bravaient la mer pour remplir nos assiettes,

la marée noire de l'Argent va les engloutir. 

 

Il y avait les fonctionnaires de l'Etat,

ils sont privatisés, livrés à la rentabilité meurtrière.

 

Il y avait des apprentis qui aimaient leur travail,

et qui valorisaient chaque geste. Ils deviennent un souvenir.

 

Il y avait des médecins de famille qui  étaient nos amis, avec dévouement,

il n'y a plus que des cabinets médicaux où l'on travaille à la chaîne.  

 

Il y avait un employé à la station service, dans le bus,

dans les couloirs des métros. Où sont-ils ?

 

Il y avait des gendarmes et des gardes-champêtres,

il y aura des caméras de surveillance.

 

Il y avait des soldats de la République pour défendre la France,

il y aura des mercenaires sans foi ni loi ni racines.

 

Il y avait des artisans pour perpétuer, pour parfaire.  

Il y aura des multinationales anonymes.

 

Il y avait nos petits boutiquiers accueillants, nos petits marchés  colorés,

il y aura des super et des hyper marchés protégés comme des forteresses.

 

Il y avait des villageois qui faisaient la fête, 

il y aura des déserts mélancoliques.   

 

Il y avait des anciens sur le pas de leurs portes, que tout le monde cajôlait.

Sont-ils promis à l'épuisement et à l'euthanasie ?

 

 

C'était la vie hier,    

aujourd'hui il y aura

des numéros, des consommateurs, des robots,

des cobayes, des esclaves, de la chair à canons.

C'est la modernité, que voulez-vous...

On n'arrête pas le progrès. 

 

Et ....... 

Et si on l'arrêtait, tous ensemble ?

 

 

 

 

photo-2230285-M.jpg

 

 

On nous appelle "les paysans" 

 

 

Nous sommes restés terrés à la campagne ou bien nous sommes partis loin du béton des villes.
Nous avons refusé d’être esclaves d’un boss..., mais nous sommes restés serviles car intégrés à ce système que l’on ne peut fuir.

Nous avons cherché un bout de terre, parce que nous n’étions pas (tous) nés avec. Toutes les terres sont sous le régime de la Propriété Privée. Il en est qu’elle délaisse et que le temps valorise pour la spéculation, d’autres qu’elle loue, d’autres qu’elle vend.

Nous avons signé de moches baux qui nous engagent à payer régulièrement cette terre que nous nourrissons et qui nous nourrit.
Nous avons dépensé notre sueur et économisé pour payer un lopin. Il nous a fallu garantir et emprunter, et il nous faut désormais rembourser pour bonifier l’action Crédit Agricole. Nous sommes devenus propriétaires de quelques ares difficilement lâchés par ceux qui ne les comptent plus, nous sommes intégrés à la Propriété en restant propriété de l’Argent et de ceux qu’il engraisse.

Nous avons convoité une terre oubliée, cachée par les ronces, et nous l’avons cultivée jusqu’à ce que des bipèdes en costards et en uniformes la saccagent et nous poussent à aller recommencer ailleurs.
On nous a promis la tranquillité, du fric et des droits pour peu que, depuis ce bout de terre loué, acheté, hérité ou squatté-légalisé, nous fassions ce que la loi et l’économie veulent de nous, de notre travail.
On ne nous encore laissé que des non-choix.

On nous a dit qu’il fallait vendre les fruits de la terre et de notre travail, produire parce qu’ainsi nous vivrions mieux et que cela rendrait service au pays.

On nous a dit que pour cela, il fallait respecter encore un certain nombre de règles, faire des calculs, payer des taxes, et toujours tout noter pour que l’on nous contrôle.

Nous sommes des paysans, et souvent des comptables...
Nous sommes des paysans, et souvent des vendeurs...

Nous sommes en concurrence avec ceux qui ont des terres en abondance, avec les « gros » exploitants agricoles qui font trimer ceux qui n’ont rien, parfois pas même le droit d’être là parce qu’ils viennent d’ailleurs.

On nous a aussi loué ou vendu la mécanisation parce qu’il fallait faire du chiffre. Nous avons raqué, seuls ou à plusieurs, pour avoir des machines à traire, des machines à presser les grappes, des machines à écraser les châtaignes, des machines à labourer la terre, des machines à récolter, des machines à planter... Comme nos pairs à l’usine, nous aussi, nous sommes devenus esclaves des machines. Parfois, bien sûr, nous avons refusé l’engrenage, sans doute aussi parce que le relief ou la banque ne nous laissaient pas forcément le choix.

Nous semons les graines qu’ils ont modifiées, sélectionnées pour leurs profits. Nous leurs rachetons sans cesse alors qu’elles ne sont pas adaptées à la terre où elles germent.

Nos vaches sont cirrhosées et se ressemblent toutes, parce qu’on veut faire d’elles des machines à produire du lait. Nos animaux sont obligatoirement fichés, médicamentés, tatoués, vaccinés et bientôt pucés, et c’est peut-être justement pour cela qu’ils sont malades, que les vaches deviennent folles, que les moutons sont brûlés par centaines, que les poules sont enfermées pour prévenir d’une éventuelle épidémie.

Que l’on (se) vende pour l’industrie agro-alimentaire ou sur le marché du coin, on nous impose des normes à respecter parce que ce qui est vivant est trop incontrôlable. Il faut pasteuriser et javelliser les fromages, traiter voire irradier les fruits... Même le taux de sucre de la confiture doit être mesuré précisément. Nos bêtes, il faut qu’on les amène dans les abattoirs pour que l’on contrôle leur traçabilité et que des machines les massacrent en nombre. Il faut aussi les faire inséminer artificiellement...

On nous vend la poudre blanche, la poudre bleue, la poudre jaune..., pour accroître le rendement des terres, empoisonner les plantes et animaux nuisibles. Il est avéré que c’est aussi du poison pour nous, pour la terre et pour tout ce qu’il reste de vivant.

On nous vante le mérite du Bio : un nouveau marché pour lequel il faut revenir à ces méthodes qu’on nous avait présentées comme dépassées, mais qui permettent de vendre plus cher pour que les plus riches, eux, ne s’empoisonnent pas. Il faut intégrer soit des « labels » pour lesquels il faut payer pour pouvoir se faire contrôler, soit des « mentions » pour autogérer notre propre contrôle et notre propre marketing. Des solutions éco-industrielles pour que le Bio lui aussi soit productif et rentable arrivent, et nous restons encore une fois sur le carreau.

On nous transforme par ailleurs en paysagistes de leurs parcs à touristes, de leurs vitrines du développement durable, ouvriers du paysage-marchandise.
Nous devons repasser les draps des cadres en vacances, servir le repas terroir et, bien sûr, jouer pour eux le rôle de cette nostalgique et rustique paysannerie des temps perdus, ou bien celui d’illuminés qui vivent sobrement, décroissemment, coolement, comme si nous étions en dehors du monde, perchés sur les montagnes et penchés béatement sous le cul des chèvres... Comme si notre travail était toujours un plaisir, comme si la misère de notre vie et celle du reste du monde nous laissaient indifférents...

Nous aussi, les banquiers nous sucent le sang. Nous aussi, nous tirons la gueule quand les factures arrivent. Parfois, nous ne pouvons pas nous permettre de manger ce que nous produisons parce que les « éco-produits labellisés luxe terroir » ne sont pas pour les petites gens. Parfois, le marché nous oblige à brader nos productions sans se soucier de nous voir crever.
Nous aussi nous nous contentons de survivre, faute de mieux.

Nos faits et gestes sont surveillés.
Nous sommes les larbins des riches.
Nous sommes esclaves de cette société, de son argent et de ses lois.
Nous sommes des paysans de la classe d’en bas.

Allons-nous rester éternel-lement soumis ?
Nous ne voulons plus, nous ne voulons pas, être ces paysans-là parce que nous ne voulons pas de ce monde-là !

Ne soyons pas leurs paysans pas plus que leurs ouvriers, leurs routiers, leurs maçons, leurs employés, leurs prostitués..., ni les allocataires ou les mendiants de leurs quelques miettes...
Finissons-en avec ces cases et ces séparations entre ceux qui subissent les conditions d’exploitation.
Cultivons la révolte partout sur cette terre.

Faisons partie de ceux qui se battent contre ce que l’on nous présente comme indépassable. Le cul par terre, la tête dans les étoiles.

Mars 2010.

 

Source Ici  

 

Auteur : Contre-Info en Cévennes - Source : http://contreinfo7.internetdown.org/spip.php?artic...

 

 

 

.passe-ecole-emploi-du-temps-1-copie-1.jpg

 

 

Ecole des garçons Rigny le Ferron avec l'emploi du temps
datant des années 1880 environ

Bernard R

 

 

passe-ecole-photo-eleves-2.jpg

 

De Bernard R. également,

recettes de grands-parents pour vivre vieux

 

 

Voulez-vous vivre vieille ? c'est bien simple

(d'après le medecin des pauvres de mon arriere-grand-mère,

livre qui date de 1914),

un médecin qui est mort à l'age de 107 ans:


il suffit de placer son lit du nord au sud
 

3 autres recettes


1° Prendre tous les matiins une infusion

de feuilles de frene 25 Gr pour 1/2 litre d'eau.

Celui qui a donné le secret a vécu 107 ans

mon ar-grand-mère qui faisait ce régime a vécu

100 ans et 3 mois


2°prendre tous les matins un tisane d'angélique

22 Gr pour 1/2 litre d'eau

celui qui a divulgué ce secret aurait vécu 112 ans

 

3°tous les 2 mois: Prendre pendant 8 jours de suite

le matin à jeun une infusion de salsepareille;

on prévient ainsi beaucoup de maladies, le sang est purifié

(ce dernier traitement serait préférable aux autres)
Sur un livre datant de 1845 " MEDECINE CURATIVE "

on ne connaissait que la "PURGATION"


 4°Sur un journal de 1983 on peut lire :

à Soulaines voila 200 ans un guérisseur a guéri

un cancer du sein à 2 jeunes femmes avec comme traitement

(Il mélangeait 2 cuillerées d'huile d'amandes avec

une grande cuillerée d'alcali, avec ce mélange

faire des applications en compresses renouvelé 2 fois par jour).

 

 

  interieur-naturel.jpg

 

Nous attendons de nouveaux témoignages ! .

 

.

.

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commentaires

C
Voilà, Ahura, envoyé sur le post, merci, et j'ai mis une belle illustration !<br /> <br /> Encore, encore, encore ! chantal
Répondre
A
Eva ! Hier en me rendant chez ma mère qui habite la ferme de mes grands parents, j'ai retrouvé accroché au grillage du jardin, le pochon qui servait à verser le lait dans les timbales des voisins.<br /> J'ai parlé des caramels à mon frère qui m'a assuré que les caramels de la mère Rogelin ne coûtait pas 1 franc mais un centime . Je crois qu'il a raison (c'est sûr ce n'est pas un liard !). Cette<br /> rectification étant opérée je vais raconter une visite chez le dentiste .<br /> Chaque année mon père conduisait sa progéniture chez le dentiste au chef lieu de canton . Le cabinet de l'homme de l'art était situé à l'étage d'une maison bourgeoise et se composait d'une salle<br /> d'attente au parquet ciré et d'une salle de torture au beau milieu de laquelle trônait la roulette et un meuble de dentiste avec plein de petits tiroirs et un plateau en verre sur lequel était<br /> disposé des outils en acier tous plus inquiétants les uns que les autres. Je me souviens d'un petit miroir et d'un instrument terminé par un crochet qui permettait de gratter les caries . Mais ce<br /> que je n'oublierai jamais c'est la roulette ! et le dentiste avec sa blouse blanche et son sourire diabolique me poursuivre jusque sur le repose pieds où immanquablement je terminais ma trajectoire<br /> en essayant de fuir la fraise ... et la douleur ! Quel soulagement quand il m'invitait à cracher dans un gobelet rempli d'eau et quand il préparait son amalgame qui signifiait que la séance de<br /> tortures était terminée. Les plombages qui m'ont transformé la mâchoire en poste à galène étaient de bonne qualité car une cinquantaine d'années plus tard ils sont toujours là.... et ils partiront<br /> avec la bête !
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