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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 21:16

  26 décembre 2012 

Je suis heureuse d'avoir écrit cette prise de position

pouvant interpeller nombre de Lecteurs fidèles ou occasionnels.

Elle sera dans les moteurs de recherche

et on y verra les raisons pouvant pousser

à s'engager pour un homme tel que M. Asselineau.

Mais finalement je ne vais pas adhérer,

je ne pourrai pas tout faire, je dois choisir.

Je préfère retrouver ma plume d'écrivain.

Et ma totale liberté d'expression ! Ch. D.

 

creer-c-est-resisterchocoladdict.fr

 

 

Pourquoi je prends position

pour l'UPR, l'Union Populaire Républicaine.

Par Chantal Dupille,

journaliste-écrivain,

(pseudo eva R-sistons)

 

 

J'ai décidé d'adhérer à l'UPR, l'Union Populaire Républicaine, en janvier 2013, dès que je serai un peu plus disponible. A l'heure de tous les dangers, alors que nous nous dirigeons vers une Europe dictatoriale (vrai tremplin du Nouvel Ordre Mondial) où nous devrons subir à la fois une austérité croissante et les guerres de l'OTAN, au moment où l'Empire tente par tous les moyens de contrôler populations et ressources, nous ne pouvons pas rester les bras croisés. Ce serait du suicide. Et avec François Asselineau, seulement soucieux de servir la France et les intérêts des Français, nous pouvons garder nos convictions (les miennes sont résolument de gauche, bien à gauche sur le plan économique et social) et nos engagements, tout en nous battant, aussi, pour le triomphe de ses idées qui sont les plus claires, les plus précises, les plus solides, les plus engagées contre la tutelle étrangère, les plus nécessaires aujourd'hui.

 

François Asselineau, expert en Economie et en Finance, se situe au-dessus des différents Partis - qui, eux, acceptent tous plus ou moins la situation actuelle, avec seulement des variantes -, et lui seul propose une authentique politique de rupture avec le Système qui broie de plus en plus nos vies. Faisons-lui confiance : Il est réellement compétent, désintéressé, courageux, il connaît parfaitement la France et l'aime vraiment, et ses analyses sont justes, fouillées et incontournables. Et reconnaissons-lui le droit d'avoir évolué avec les événements.

 

En tant que journaliste, et journaliste attachée par-dessus tout à la Vérité, à la neutralité de l'information, à l'honnêteté intellectuelle la plus rigoureuse, je souhaite que l'acte que je pose aujourd'hui interpelle mes confrères et mes consoeurs sincèrement soucieux du bien public. 

 

Forte d'une carrière reconnue et de plus de 4.000.000 de visiteurs uniques sur mes différents blogs engagés pour la Vérité, la Justice, la Paix, et donc contre les guerres impériales, les chocs de civilisations, les fanatismes racistes et haineux, la mondialisation ultra-libérale, la désinformation, le Nouvel Ordre Mondial, etc etc, je sais que ce choix va interpeller. Je l'assume, je le souhaite. Puissent seulement mes innombrables Lecteurs et Lectrices écouter, au moins, les vidéos et les conférences décisives de l'expert François Asselineau. La suite leur appartiendra. L'engagement aux côtés de cet homme hors du commun et qui honore la France par sa lucidité et par son courage, je le répète, est compatible avec son engagement politique ou personnel.

 

Ce que l'UPR veut, d'abord, c'est nous ouvrir les yeux sur la réalité des événements. Ensuite, nous conduire à refuser l'intolérable : L'euro, cette Europe-là, l'OTAN et ses guerres permanentes avec des armes de destruction massive, et la main-mise des Institutions internationales comme la BM ou le FMI sur nos vies.

 


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Nous allons tous droit dans le mur. En prendre conscience, c'est déjà régler le début du problème. Et il y a urgence ! Demain, il sera peut-être trop tard. Nous ne pouvons plus nous contenter des demi-mesures des uns ou des autres. Pas après pas, lentement mais sûrement, les politiques imposées ou tolérées restreignent nos libertés, notre souveraineté, nos emplois, nos droits notamment sociaux ou du Travail, etc. Il est temps de refuser l'intolérable et de prendre position - comme nous sommes, avec notre personnalité, nos capacités, nos moyens limités ou importants.

 

Pour ma part, j'ai choisi. Par solidarité envers mes concitoyen(ne)s, par attachement aux spécificités de la France républicaine (indépendance nationale, modèle social, laïcité, etc, etc), et surtout par devoir envers les générations futures afin qu'elles puissent vivre dans un monde viable. Tout simplement.

 

Chantal Dupille

http://chantaldupille.over-blog.com


 

 

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Dominique Frut : François Asselineau met à jour les raisons réelles et cachées par lesquelles "nos élites" ont délibérément provoqué, par plus de 40 ans de duperies en tous genres, la mise en faillite de la France et bientôt sa ruine, à l’image même de la Grèce aujourd’hui, mais aussi de l’Espagne, du Portugal et de l‘Italie demain." (..)  Découvrez ce parti pas comme les autres, il est actuellement celui qui recrute le plus, grâce à Internet et au bouche-à-oreilles, puisque les Médias aux ordres le boycottent scandaleusement ! Soutenez l'UPR fondée par un expert en économie et en finance.  Ses grandes lignes: Sortie de l'euro et de l'UE qui tuent emplois et pouvoir d'achat au profit des Grandes Banques, sortie de l'OTAN pour préserver la paix, souveraineté monétaire, préservation du modèle social français. Pourquoi l'UPR, l'Union Populaire Républicaine, est-elle ostracisée ? Car pour elle les blocages de la situation française découlent de l'inavouable - et inavouée - mise sous tutelle étrangère du peuple français. 

Originalité de l'UPR : Vous pouvez garder vos convictions et vos engagements
et le rejoindre juste pour, ensemble, permettre à la France d'être délivrée de ses carcans (UE, euro, OTAN...), de retrouver sa nécessaire indépendance, sa souveraineté ! Il faut que le courageux et pertinent François Asselineau puisse s'adresser aux Français, il faut qu'il puisse leur dire la vérité ! Pour cela, il a besoin de votre soutien.   

 

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Quelques conférences

de François Asselineau

Une histoire incroyable : l’Histoire de France !

Résumé : À quoi sert l’Histoire ? À prédire l’avenir ! En rappelant de nombreux événements méconnus ou surprenants, en proposant des clés de compréhension inédites, et en replaçant 2.000 ans de notre histoire nationale dans une mise en perspective inhabituelle mais lumineuse, cette conférence stupéfiante explique pourquoi, contrairement à ce que tout le monde ressasse, la construction européenne N’EST PAS l’avenir de la France. Et pourquoi il ne faut jamais désespérer des capacités extraordinaires du peuple français à se ressaisir pour libérer la France.

Commentaire : Cette conférence est la plus historique et peut-être la plus émouvante de toutes. Elle n’a pas trait à l’actualité la plus brûlante mais elle peut constituer une très bonne introduction aux conférences ultérieures. Elle peut donc être retenue pour une première approche, et cela d’autant plus que son sujet est assez apte à surmonter les réticences des municipalités dans l’octroi d’une salle.


Qui gouverne la France ?

Résumé : Cette conférence explique pourquoi les Français ne décident pratiquement plus de rien de décisif. Elle présente qui sont les pouvoirs qui s’exercent désormais sur eux : Commissaires européens, lobbies industriels, « think tanks » atlantistes installés à Bruxelles, etc.

Commentaire : Cette conférence est celle qui a le plus souvent été réalisée et qui a fait connaître François Asselineau. Elle remporte toujours un très grand succès et fait partie des conférences les plus mémorables et les plus dérangeantes.


La France est-elle vraiment en faillite ?

Résumé : Le discours sur « la France en faillite », qui se focalise sur la seule dette publique française sans procéder à des comparaisons ni à une remise en perspective, est un discours savamment trompeur. Il sert à culpabiliser les Français et à les inciter à se dépouiller collectivement de leur patrimoine national…. lequel est souvent racheté par des fonds de pension venant d’un pays, les États-Unis d’Amérique, bien plus endetté que la France !

Commentaire : Cette conférence est la plus économique et financière, mais elle est conçue pour que les problèmes techniques qu’elle aborde (ceux du système financier international par exemple) soient exposés de la façon la plus compréhensible possible par tous. Elle a déjà été présentée plusieurs fois, notamment devant des publics de responsables de PME réunis dans des associations professionnelles ou des Chambres de Commerce. À chaque fois, elle a stupéfié les auditoires, habitués à entendre toujours les mêmes refrains, qui découvrent soudain une autre réalité et comprennent le dessous des cartes de la crise apparue en 2008.


Les 12 impasses de la construction européenne

Résumé : Cela fait des décennies que l’on nous explique que la construction européenne est l’avenir de la France, et que cet avenir est à la fois très souhaitable et absolument inéluctable. Pourtant, plus l’Europe se construit et moins les promesses dont on l’avait assortie se vérifient : les pays d’Europe ne cessent de dégringoler dans la hiérarchie des puissances et les États-Unis règnent désormais en maîtres sur le continent et une large partie de la planète. Mais, comme toujours, l’Histoire est pleine de ruses : si vous voulez comprendre pourquoi cet édifice politique, lancé il y a 60 ans, est désormais vermoulu et pourquoi 12 problèmes majeurs le condamnent à la dislocation, alors cette conférence est faite pour vous. Adorateurs de la Pensée Unique s’abstenir…

Commentaire : Cette conférence constitue un judicieux complément à la conférence n°1 sur l’Histoire de France. La conférence sur l’Histoire procède à un raisonnement analogique, fondé sur les enseignements de notre histoire, pour expliquer pourquoi l’Union européenne est une impasse. Cette conférence n°4 sur les 12 impasses procède quant à elle à un raisonnement analytique, en décortiquant douze problèmes majeurs systématiquement passés sous silence dans les médias et les cercles de réflexion, et qui ne peuvent en effet conduire qu’à l’explosion finale.


Qui gouverne la France et l’Europe ?

Résumé : Qui a inventé la construction européenne ? En quoi consiste le stratagème avec lequel on a volé aux Français leur liberté ? Pourquoi l’Europe est-elle nécessairement de plus en plus inefficace et dictatoriale ? Pourquoi l’Europe ne peut-elle pas être faite autrement ? De Gaulle était-il vraiment pour l’Europe ? Le moteur franco-allemand existe-t-il ? Qui sont les lobbys qui affirment parler au nom du peuple européen ? Qui sont ces commissaires européens plus puissants que nos ministres ? Pourquoi les programmes de tous les partis politiques sont-ils devenus des attrape-nigauds presque entièrement inapplicables ? Pourquoi votre bulletin de vote ne sert-il plus à rien ? Cette conférence démonte pas à pas la stratégie américaine vis-à-vis de l’Europe depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale et expose ainsi, avec une clarté rarement égalée, les questions les plus essentielles qui se posent aujourd’hui à la France .

Commentaire : Cette conférence, qui reprend et complète la conférence n°2 « Qui gouverne la France ? » est aussi sensiblement plus longue. Elle aborde la construction européenne du point de vue géopolitique et conduit l’auditoire à comprendre, selon un exposé chronologique implacable, pourquoi la France en est arrivée là où elle est. Cette conférence qui explique notamment ce qu’était la vraie pensée de Charles de Gaulle sur la construction européenne, pourquoi le concept de « couple franco-allemand » est fallacieux et pourquoi il ne peut pas y avoir « d’autre Europe ». Ainsi peut-être est-ce la conférence la plus indispensable…


Savoir nommer la crise pour pouvoir la résoudre

Résumé : Tzeu Lou dit : « Si le prince de Wei vous attendait pour régler avec vous les affaires publiques, à quoi donneriez-vous votre premier soin ? » -« À rendre à chaque chose son vrai nom » répondit le Maître. C’est en ces termes que Confucius, il y a 2500 ans, enseigna que l’art de gouverner commence par rendre à chaque chose son vrai nom. Et c’est à ce conseil que s’attache cette conférence. Le public découvre ainsi, pas à pas, quels sont les vrais noms qu’il faut rendre à la « construction européenne », au « choc des civilisations », à la « mondialisation inévitable », à « l’Europe », aux « valeurs européennes », à la « Constitution européenne », à « l’euro », à la « démocratie européenne », au « respect de l’histoire, de la culture et de la dignité humaine » par l’Union européenne, et enfin aux projets « d’autre Europe ».

Commentaire : Cette conférence très originale, qui fournit des éléments d’information inédits, permet au public de réaliser à quel point les concepts qu’il utilise au quotidien sont trompeurs. Et donc à quel point il a été formaté par un demi-siècle de lavage de cerveau, sous l’effet d’une propagande omniprésente. Il n’est pas besoin d’être un adepte de Confucius pour le comprendre puisque, voici trois siècles, Nicolas Boileau l’enseignait aussi dans son Art Poétique : « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement / Et les mots pour le dire arrivent aisément ». Cette conférence clarifie donc les choses en les énonçant clairement.


Sortie de l’euro : mode d’emploi

Résumé : Quelles monnaies supranationales ont existé avant l’euro ? Que leur est-il arrivé ? Quelle est la principale caractéristique d’une monnaie, selon la Bible écrite il y a plus de 2000 ans ? Pourquoi les Prix Nobel d’Économie arrivent-ils aux mêmes conclusions ? Quelles sont les 2 causes essentielles qui feront exploser l’euro tôt ou tard ? Comment sortir juridiquement de l’euro ? Comment en sortir techniquement ? Quelles propositions concrètes ?

Commentaire : Cette conférence est la seule en France à expliquer très précisément aux Français que l’euro, loin d’être une création originale, appartient au registre bien connu des très nombreuses monnaies supranationales, et qu’il lui arrivera le même sort qu’à toutes ces monnaies. En outre, cette conférence prouve à ses auditeurs que l’UPR est le seul mouvement politique à avoir réfléchi de façon approfondie à l’indispensable retour au franc, à proposer des solutions concrètes et immédiatement opérationnelles, qui séduisent le public.

 

Sortie de l'euro, sortie de l'Union européenne et de l'OTAN - résorption de la dette publique - élections européennes 2014


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L’UPR et François Asselineau sont barrés des grands médias ? C’est à nous tous de les faire connaître autour de nous!

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Il se confirme jour après jour que des instructions venues de très haut ont été données aux grands médias pour étouffer la voix de l’UPR.

Pourquoi François Asselineau et l’UPR sont-ils barrés des grands médias de masse ?


==> Parce que l’UPR est le seul mouvement politique à expliquer aux Français, toutes preuves à l’appui, ce qu’est la construction européenne : une gigantesque opération de domination du continent européen et de destruction de ses nations, pour satisfaire la volonté hégémonique des États-Unis d’Amérique et d’une oligarchie financière euro-atlantiste ;


==> Parce que l’UPR est le seul mouvement politique à expliquer aux Français que la construction européenne est un piège machiavélique, inspiré du “Stratagème des chaînes” des 36 stratagèmes chinois classiques de l’art de la guerre, qui engendre fatalement un système auto-bloquant pour le seul bénéfice des USA ;


==> Parce que l’UPR est le seul mouvement politique à expliquer que tous les projets “d’Autre Europe” sont des leurres dont le seul objet est de détourner les Français de la seule bataille libératrice qui vaille : SORTIR de ce piège.


==> Parce que l’UPR est le seul mouvement politique à expliquer les conséquences inéluctables qui vont découler de ce piège pour nous et pour nos descendants si nous n’en sortons pas au plus vite :

- le pillage de notre patrimoine public et privé,

- l’alignement systématique sur les menées impérialistes et meurtrières de l’OTAN,

- l’établissement d’une dictature atroce, fondée sur la surveillance omniprésente, l’abrutissement général, le lavage de cerveau et le mensonge permanent,

- la disparition accélérée de l’influence et de la langue française dans le monde,

- la destruction de notre agriculture et de notre industrie,

- la liquidation de nos acquis sociaux,

- et l’appauvrissement général.


==> Parce que l’UPR est le seul mouvement politique à démasquer les leurres entretenus par le Système, à l’extrême gauche et à l’extrême droite, afin de diviser les Français selon un clivage qui n’a plus de sens tant que les politiques stratégiques sont décidées à Washington, Bruxelles et Francfort.


==> Parce que l’UPR est en particulier le seul mouvement politique à démasquer le rôle réel du FN, “médiabolisé” et choyé par les forces euro-atlantistes depuis 29 ans pour neutraliser 15% de nos compatriotes dans une impasse et entretenir les 85 autres pour-cents dans le dégoût de la France. L’UPR est le seul mouvement à appeler un chat un chat en expliquant que la famille Le Pen vit luxueusement depuis plus de 27 ans des subsides généreux du Parlement européen, pour salir délibérément toute idée de souveraineté nationale par des “dérapages” semestriels calculés au millimètre.


==> Parce que l’UPR est le seul mouvement politique à proposer aux Français un programme de changement radical, précis, opérationnel et sans ambiguïté, qui passe :

==> Parce que l’UPR est le seul mouvement politique à prendre les Français pour des adultes, en leur expliquant patiemment la teneur précise des contraintes juridiques des traités européens. L’UPR est le seul mouvement à démontrer précisément par quels subterfuges les autres responsables politiques se moquent des électeurs puisqu’ils leur proposent des mesures illégales dans le cadre des traités qu’ils refusent par ailleurs de dénoncer.


==> Parce que l’UPR est le seul mouvement politique à rassembler effectivement des Français de tous les âges, toutes les convictions politiques et religieuses, tous les milieux sociaux.


==> Et parce que l’UPR est le premier mouvement politique d’envergure à être né librement, sur et grâce à Internet et sans devoir notre notoriété aux grands médias de masse. Nous avons réussi un tour de force jugé impossible par tous les experts, puisque nous n’avons jamais eu droit à un seul passage sur une grande télévision, une grande radio ou un grand journal national.

 

CONCLUSION


Le Système a très peur de l’UPR. C’est pour cela qu’il nous interdit d’antenne.

C’est pour cela que des pressions sont exercées sur les maires pour qu’ils nous refusent leur parrainages.

Cette censure systématique des analyses et des propositions de François Asselineau et de l’UPR est en train de se retourner, lentement mais sûrement, contre ses commanditaires. Car elle constitue la meilleure preuve de notre honnêteté intellectuelle et morale, de notre loyauté et de notre sincérité, de notre compétence technique, de notre rectitude et de notre désintéressement.

Ce qui nous distingue, c’est que nous, nous ne recherchons pas des places ou des postes ministériels. Nous, nous voulons — vraiment — le retour à la démocratie, la liberté de la France et le bonheur de tous les Français, la paix dans le monde et l’ouverture sur toutes les civilisations. C’est pour cela, et pour cela seulement, que nous nous battons.

Notre avenir est dans la main de chacun de nos adhérents et sympathisants.


Chacun doit donc se fixer pour objectif, non pas seulement de venir se renseigner sur cette page ou sur notre site, non pas seulement d’approuver ou de poster un message, mais surtout de faire connaître l’UPR chaque jour un peu plus.

Comment ?

Il faut que tous nous investissions le plus grand nombre de forums en ligne, de pages facebook et de “chats”, pour faire connaître, posément et sans agressivité, nos analyses et nos propositions.

 

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Le monde que nous devons refuser :

Une poignée d'individus a le droit de vie

et de mort sur nous tous. 

 

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Le samedi 3 décembre 2011, François Asselineau dévoilait son programme présidentiel pour l'élection de 2012. Celui-ci reste pertinent même si l'UPR n'est pas parvenue à réunir les 500 parrainages. Il s'agit du programme le plus puissant depuis 1958, le vrai programme présidentiel que les Français attendent. L’UPR est un mouvement digne et loyal qui veut rendre à la France son indépendance et sa démocratie. Le programme comporte les éléments phares de la stratégie de l’UPR pour la France – notamment la sortie de l'UE, la sortie de l'euro et de l'OTAN –, s’inscrivant en rupture avec l’ensemble de la classe politique française.

Elle a été adoptée en congrès le 25 mars 2007 par des Français de tout âge et de toute condition qui ont décidé de se rassembler pour rétablir la démocratie en France et rendre au peuple français sa souveraineté et son indépendance. Elle précise la spécificité des analyses, des propositions et du positionnement de l’UPR. La charte explique pourquoi il faut sortir de l'UE, sortir de l'euro et de l'OTAN.

 
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www.dailymotion.com/video/xb84qw_francois-asselin...21 nov. 2009 - 20 min
Conférence de François Asselineau sur l'histoire de France, le 31 octobre ... u-p-r .org/http://www ...
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www.dailymotion.com/video/xdk9uv_francois-asselin...5 juin 2010 - 10 min
Conférence très intéressante de Mr François Asselineau, président de l'Union Populaire Républicaine (http://www ...
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www.dailymotion.com/video/xi9abg_f-asselineau-upr-...16 avr. 2011 - 13 min
Clair, net et précis… du Asselineau en somme ! François Asselineau, Président de l'UPR, Union Populaire ...
► 138:21► 138:21
www.youtube.com/watch?v=4c6uy-0kpjU13 janv. 2011 - 138 min - Ajouté par UPRdiffusion
Loading... Alert icon. You need Adobe Flash Player to watch this video. .... UPR - François Asselineau - Qui
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www.youtube.com/watch?v=FJE6Fz1KbSE9 mai 2011 - 184 min - Ajouté par zolive13013
... imposent de sortir de l'Europe" - Conférence de François ASSELINEAU du jeudi 5 mai ... You need ...



   
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Le site de l'Union Populaire Républicaine
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Charte fondatrice

Réunis en congrès le 25 mars 2007 – jour du cinquantième anniversaire du traité de Rome – des Français de tout âge et de toute condition ont décidé de fonder l’Union Populaire Républicaine (UPR) afin de rétablir l’indépendance de la France, de rendre sa liberté au peuple français, et de restituer à notre pays son rôle historique de porte-parole de la liberté des peuples et des nations à travers le monde.

Les membres fondateurs sont convenus d’élaborer la présente Charte, qui précise la spécificité des analyses et du programme de l’UPR. Tout adhérent de l’UPR est réputé avoir lu ce document, en partager les analyses et les conclusions, et en mettre en œuvre les orientations.

L’analyse de la situation de la France : l’Europe est le problème, pas la solution

L’Union Populaire Républicaine se distingue de tous les mouvements politiques existants sur deux points essentiels :

  • d’une part sur l’analyse de la situation de la France,
  • d’autre part sur les moyens de sortir notre pays de la grave crise politique, économique, sociale et morale dans laquelle il ne cesse de s‘enfoncer.
Si elle n’est certes pas la cause unique de tous les problèmes de notre pays, la construction européenne n’en est pas moins leur cause principale. Loin d’être leur solution comme on nous somme de le croire depuis un demi-siècle, la construction européenne en est au contraire l’origine. Car elle place les Français sous une tutelle étrangère, qui vide de sens leurs choix démocratiques, verrouille indûment leur avenir, fixe arbitrairement le champ de leurs intérêts, et les plonge indéfiniment et sans raison dans le mépris d’eux-mêmes et une certaine forme de désespoir.
L’UPR est un parti du XXIe siècle qui est, lui, conscient de ce qui se passe réellement en France et dans le monde

Par la diversité d’origine, d’âge, de formation, et de profession de ses responsables et de ses militants, l’UPR n’est pas un parti d’ignorants ou de nostalgiques. C’est au contraire un parti né au XXIe siècle, tout à fait à l’aise avec les technologies de son temps, extrêmement attentif à ce qui se passe ailleurs dans le monde, parfaitement conscient de la complexité des problèmes internationaux, du poids des contraintes économiques, de l’évolution générale du monde et des mentalités, ainsi que de la tradition pluriséculaire d’ouverture et de rayonnement de notre pays. (..)

Des analyses précises qui bouleversent les idées reçues

L’UPR est par exemple le seul parti politique français :

  • à noter que le processus de construction d’un ensemble politique continental, doté d’un gouvernement supranational comme l’est la Commission européenne, n’est imité nulle part ailleurs dans le monde, où triomphe tout au contraire le principe d’État-nation,
  • à relever qu’il n’existe, au vu de toutes les statistiques mondiales disponibles, aucune corrélation entre la taille d’un Etat et le niveau de vie de sa population ; mais qu’il semble, en revanche, en exister une entre le patriotisme et la croissance économique,
  • à souligner que les entreprises en Europe nouent de plus en plus fréquemment des alliances avec d’autres entreprises à travers le monde, notamment en Asie, pour mieux concurrencer des entreprises d’autres pays européens. Cette tendance lourde de la vie des affaires prouve l’entière fausseté de l’argument qui prétend que la construction européenne serait une nécessité économique et industrielle et qu’elle no
us permettrait de bâtir des « champions européens » 1,
  • à clarifier minutieusement le circuit des prises de décision au sein des instances communautaires, la marginalisation de la France, et le poids considérable qu’y jouent les relais d’influence américains,
  • à informer nos concitoyens du coût net, de plus en plus considérable, qu’occasionne la construction européenne sur l’économie et les finances publiques françaises,
  • à démontrer, comparaisons statistiques à l’appui, que la France n’est pas dans la situation financière catastrophique que l’on nous annonce,
  • à révéler que bien des pays du monde, à commencer par le Japon et les Etats-Unis, ne respectent nullement les critères de Maastricht que l’on nous présente pourtant comme un impératif de bonne gestion économique et financière,
  • à expliquer que s’il est un pays qui risque la banqueroute, ce sont les États-Unis d’Amérique où tous les acteurs économiques (État fédéral, États fédérés, entreprises et ménages) sont beaucoup plus endettés que leurs homologues français 2.

(..) L’UPR affirme qu’aucun des problèmes graves que connaît la France ne peut être durablement résolu si la politique menée ne recueille pas l’assentiment clair et massif des Français. Or un tel assentiment ne peut pas être obtenu de nos concitoyens si le pouvoir qui s’exerce réellement sur eux n’émane pas d’une volonté librement consentie de la nation, dans le cadre de choix authentiquement démocratiques. Car on ne peut pas diriger longtemps la France contre son peuple.

Les blocages de la situation française découlent de l’inavouable – et inavouée – mise sous tutelle étrangère du peuple français

En se fondant sur ce que nous enseignent plus de mille cinq cents ans d’histoire, l’UPR rappelle que le peuple français n’a jamais admis durablement que s’exerce sur lui un pouvoir d’origine étrangère ou dont il ne reconnaissait pas, au fond de lui-même, la légitimité.

Or, quelle que soit la présentation avantageuse, futuriste, utopique, ou édulcorée que l’on tente d’en faire, il est incontestable que, du fait de l’inexistence d’un peuple européen, l’Union européenne a précisément pour effet de soumettre les Français à un pouvoir d’origine étrangère, d’essence oligarchique, et non élu, dont, au fond, ils ne reconnaissent pas la légitimité. (..) Jamais les Français n’ont été avertis, avec franchise et honnêteté, des conséquences négatives très concrètes qu’entraîneraient les transferts massifs de souveraineté auxquels on les sommait de consentir dans la hâte et l’imprécision, comme s’il s’agissait d’une bagatelle. Jamais nos compatriotes n’ont par exemple été mis en garde que, dorénavant, les grands choix stratégiques sur l’avenir de la France, en matière de politique étrangère et de défense nationale, dans les domaines sociaux, économiques, monétaires, environnementaux, etc., ne dépendraient plus de leurs votes. Et que, même s’ils se révélaient néfastes (comme nous le constatons bel et bien aujourd’hui), ces choix décisifs leur seraient continûment imposés, de l’extérieur, par les conducteurs d’un attelage absurde, regroupant bientôt une trentaine d’États, où l’influence de la France est devenue marginale tandis que celle des États-Unis d’Amérique, par leurs relais d’influence, y est désormais écrasante.

Accablés par une propagande incessante leur enjoignant d’admettre que la « construction européenne » est tout à la fois une œuvre de paix, une fatalité historique, une nécessité politique, une urgence économique, une avancée sociale, une exigence morale et l’on en passe, les Français ont fini par ne plus imaginer que l’on pouvait fort bien examiner cela de plus près, démontrer le contraire, et s’y opposer.

Mais, dans le même temps, les Français n’ont jamais imaginé non plus que leurs élus ne décideraient plus des choix stratégiques de la France. De même qu’ils ne conçoivent pas un instant qu’il soit possible que les 26 autres États auxquels on les a mariés, pour la plupart sans leur consentement, puissent constituer des majorités dictant au peuple français des décisions que celui-ci refuse.

La résultante de ces contradictions est une vaste confusion des esprits, qui va d’ailleurs en s’aggravant au fur et à mesure que l’évidence des faits amène les Français à dresser des constats exactement inverses aux promesses mirobolantes qu’on leur a égrenées depuis tant d’années :

  • on leur avait assuré que « l’Europe c’est la paix » ? Mais ils constatent que l’Europe veut entraîner la France dans des coalitions guerrières aux côtés des États-Unis pour mener des guerres qui violent le droit international, comme en Irak par exemple.
  • « l’euro, c’est plus de croissance et plus d’emplois » ? Mais la zone euro est continuellement la lanterne rouge mondiale de la croissance et de l’emploi.
  • « l’Europe, c’est la prospérité » ? Mais le pouvoir d’achat stagne ou régresse et les perspectives d’avenir n’ont jamais paru aussi sombres.
  • « l’Europe nous permettra de bâtir des champions industriels face aux États-Unis et à la Chine » ? Mais la Commission européenne empêche toute mesure de protection comparable à celles que pratiquent allègrement les États-Unis ou la Chine, elle favorise le rachat de la sidérurgie par des intérêts indiens, elle trouve normales et même favorise les délocalisations et la destruction de pans entiers de nos industries, comme le secteur textile, celui du meuble, du jouet, des lunettes, etc. etc.
  • « l’Europe, c’est plus de garanties sociales » ? Mais la Commission européenne juge bien fondées les délocalisations vers les pays à très bas coûts de salaires et refuse toute harmonisation sociale et fiscale au sein de l’Union européenne, favorisant ainsi ouvertement le dumping social et fiscal le plus éhonté.
  • « l’Europe, c’est une meilleure maîtrise des flux migratoires » ? Mais les Accords de Schengen ont au contraire aboli tout contrôle aux frontières et transformé notre pays en une passoire où entrent sans contrôle les hommes et les marchandises.
  • « l’Europe favorise notre agriculture » ? Mais Bruxelles a programmé la quasi-disparition de notre agriculture traditionnelle.
  • etc.
Un formidable quiproquo est au cœur de la crise politique en France

En résumé, une propagande incessante interdit de faire un bilan critique de la construction européenne et rend a fortiori sacrilège toute idée de remise en cause, mais ses résultats de plus en plus désastreux dans tous les domaines empêchent décemment tout motif de satisfaction.

Ainsi s’est noué, au fil des décennies, un formidable quiproquo. De l’extrême-droite à l’extrême-gauche, il ne se trouve certes pas un seul responsable politique qui ose se déclarer contre le principe même de la construction européenne. Mais, sur tout l’éventail politique, il ne se trouve pas non plus un seul responsable politique qui se déclare favorable à l’Europe telle qu’elle existe. (..)

Pour tenter de résoudre cette contradiction, chacun se proclame invariablement pour une « autre Europe » et laisse miroiter, devant des électeurs de moins en moins crédules, que cette « autre Europe » serait en quelque sorte une France en plus grand.

Mais aucun ne précise que cette séduisante perspective n’est qu’un vœu pieux..  la France, avec désormais un Commissaire sur 27 (soit 3,7%) n’est tout simplement plus en mesure de faire prévaloir son point de vue, ses valeurs et ses intérêts dans un cénacle où les pays alignés sur les États-Unis sont très majoritaires.

L’UPR estime que c’est justement dans cette schizophrénie politique généralisée que réside le principal point de blocage de la situation française. (..)

Du coup, l’ensemble de la politique française devient incohérente et perd toute puissance de mobilisation, laissant grande ouverte la voie libre à tous les extrémismes. Il est donc vital de clarifier la situation politique française en créant un parti dont le but essentiel est de dénouer le quiproquo.

Le redressement national passe inéluctablement par la sortie de l’Union européenne

Loin d’être un projet porteur de paix, de démocratie et de prospérité, l’unification à marche forcée du continent européen, sous quelque présentation et avec quelques promesses que ce soit, est au contraire une utopie funeste qui conduit nécessairement la France et les pays d’Europe vers une structure politiquement dictatoriale, économiquement inefficace, socialement intolérable, diplomatiquement belliciste, sociologiquement absurde et culturellement inhumaine.

Seules l’indépendance de la France et la souveraineté du peuple français peuvent assurer la prospérité de notre pays et le bon fonctionnement de sa démocratie, son rayonnement dans le monde, ses actions pour la paix et pour l’amitié entre les peuples, sans distinction d’appartenance géographique ou d’appartenance religieuse.

La fin des ambiguïtés

L’une des raisons essentielles de la création de l’UPR réside dans le constat que tous les mouvements politiques se réclamant de la souveraineté nationale affichent des programmes doublement ambigus :

  • d’une part, ils font de la souveraineté un sujet parmi d’autres. Or noyer la question européenne dans de nombreux autres sujets, c’est faire perdre de vue le caractère central, spécifique et décisif du nécessaire rétablissement de notre souveraineté nationale.
  • d’autre part, ils reprennent à leur compte le mythe de la construction européenne amendable. Ils se déclarent eux aussi en faveur d’une « autre Europe », fût-elle une « Europe des nations » dont ils sont d’ailleurs incapables d’expliquer précisément en quoi elle consisterait et par quel miracle nous y rallierions la Commission européenne et les 26 autres États-membres 3.

Estimant que ce sont ces ambiguïtés qui sont la cause première du maintien dans la marginalité d’un mouvement d’opinion pourtant très largement majoritaire dans notre pays, l’UPR se fixe comme ligne de conduite d’avoir un programme clair et net, et de le proposer de façon sereine, démocratique et sans détours aux Français.

Ce programme a pour objectif de faire sortir la France de la prétendue « Union » européenne et de refuser tout nouveau projet d’intégration européenne, de dilution des pays européens, ou d’aliénation de la liberté du peuple français, quelle qu’en soit la forme.

En pratique, l’UPR est le seul mouvement politique à proposer – et à inscrire dans ses statuts – qu’il n’est possible de commencer à redresser la France que sur la base de trois orientations essentielles :

1) dénoncer tous les traités européens, y compris le traité de Rome 4,

2) refuser le concept même de « construction européenne », avec ses sempiternelles promesses « d’autre Europe » 5,

3) inscrire dans la Constitution française l’interdiction de toute délégation de souveraineté qui ne serait pas bornée à des sujets très précis, limités dans le temps et dans leur objet, et régis par des traités internationaux fondés sur la ré

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