Le sionisme est l'ennemi de tous, même des Juifs !
(..) "il faut rappeler que même quand les médias n’en parlent pas, la puissance occupante tue en moyenne deux civils palestiniens chaque jour (..) Les victimes civiles, au mépris de toutes les règles du droit international, des codes militaires et des usages de la guerre, sont redevenues le véritable objectif des guerres. On est revenu à la destruction "structurelle" de la Seconde guerre mondiale, avec ses tapis de bombes, et du Vietnam avec le napalm" (..)
http://mcpalestine.canalblog.com/archives/2014/07/18/30272255.html
La vraie menace,
c'est le néo-sionisme !
Par Chantal Dupille (eva R-sistons)
Jamais on n'entend prononcer le mot "sionisme" dans les médias, pas plus d'ailleurs que les mots "sayan, sayanim" ou "goy, goyim" (1). Pourtant, ils recouvrent des réalités incontournables.
La principale menace n'est pas l'Islam, qui n'a ni les moyens financiers ni les moyens militaires des sionistes. Dans le Coran, le "djihad" est la guerre contre ses mauvais penchants, et les guerres de conquête sont exclues (seules sont tolérées les défensives). Tandis que dans la doctrine juive, la guerre est d'agression, de conquête. Le djihad aujourd'hui, mis en avant par nos médias tous sionistes, est une guerre orchestrée par les Services Secrets de l'Occident comme le Mossad et la CIA, pour diviser les peuples et ensuite, régner en contrôlant les gens comme les ressources. Les Musulmans radicaux sont utilisés après avoir été fanatisés, armés, formés, et même drogués pour être plus sanguinaires, comme en Syrie, Libye, Afghanistan, Irak, au Caucase etc. L'Occident est un pompier pyromane, puisqu'il suscite lui-même le terrorisme qu'ensuite il prétend combattre.
La vraie menace pour le monde, c'est le sionisme, qui est une perversion du judaïsme. Ainsi, une femme rabbin anti sioniste écrit : "Le Sionistan, c'est un État qui s'est construit sur le mensonge, la falsification, la violence, la colonisation et le chantage à la Shoah".
croah.fr

(1) Sayan, agent d'Israël en France, il y en a partout. Pluriel sayanim - Goy, non Juif, pluriel goyim

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Confirmation de ce que j'écrivais il y a quelques mois,
Assad est devenu le leader mondial de la résistance
et un modèle plébiscité (chantal dupille)
Depuis la retraite de Fidel Castro, la mort d’Hugo Chávez et l’interdiction faite à Mahmoud Ahmadinejad de présenter un candidat à l’élection présidentielle iranienne, le mouvement révolutionnaire n’a plus de leader mondial. Ou plutôt, n’en avait plus. Cependant, l’incroyable ténacité et sang-froid de Bachar el-Assad a fait de lui le seul chef d’Exécutif au monde qui ait survécu à une attaque concertée d’une vaste coalition coloniale conduite par Washington et qui ait été largement réélu par son peuple. 28.7.14
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- Dès sa première rencontre avec Bachar el-Assad, Hugo Chávez affirmait que le Syrien deviendrait un jour le principal leader révolutionnaire dans le monde.
Bachar el-Assad ne souhaitait pas entrer en politique. Il se destinait à être ophtalmologue. Cependant, à la mort de son frère Bassel, il rentra du Royaume-uni où il poursuivait ses études et accepta de servir sa patrie et son père. À la mort de celui-ci, il consentit à lui succéder pour maintenir l’unité du pays. Ses premières années de gouvernement furent une tentative de modifier la composition des classes sociales de manière à rendre possible un système démocratique que personne ne lui réclamait. Patiemment, il démantela le système autoritaire du passé et commença à associer la population à la vie publique.
Cependant, à peine arrivé au pouvoir, il fut informé que les États-Unis avaient décidé de détruire la Syrie. Aussi sa présidence fut-elle principalement tournée vers le renforcement de l’Armée arabe syrienne, l’élaboration d’alliances extérieures, et des tentatives de déjouer le complot. Dès 2005, avec la commission Mehlis, il dut affronter l’opposition du monde entier qui l’accusait de l’assassinat de Rafic Hariri. Mais ce n’est qu’en 2011, que les puissances coloniales s’unirent à la fois contre lui personnellement et contre la Syrie.
Quelle ne fut pas sa surprise, au début des événements, en recevant une délégation de la bourgade syrienne où s’était tenue la plus importante manifestation, d’entendre celle-ci lui réclamer pour toute revendication l’expulsion des alaouites de la ville. Révolté, il mit fin à l’entretien et décida de défendre jusqu’au bout la civilisation syrienne du « vivre ensemble ».
Durant trois ans, le timide médecin se transforma en chef de guerre. D’abord soutenu presque exclusivement par son armée, puis progressivement rejoint par son peuple, il fut élu en pleine guerre pour un troisième mandat par 88,7 % des suffrages exprimés, soit 65 % du corps électoral. Son discours d’investiture exprime à quel point il a changé au cours des événements [1].
L’idéal qu’il y exprima est d’abord celui du service de la Patrie républicaine. Il s’est battu pour défendre ces hommes et ces femmes que l’on destinait à vivre sous la férule d’une dictature religieuse au service de l’impérialisme. Et parfois, il s’est battu pour eux, et contre leur volonté. Il s’est battu pour eux en doutant de parvenir à la victoire, préférant mourir pour la Justice que d’accepter l’exil doré mais honteux que lui proposaient les « Occidentaux »
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Pourtant, peu avant, les dictateurs Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak avaient cédé dès les premières injonctions de Washington, et laissé leur pays aux mains des Frères musulmans. Pis, l’autocrate Hamad ben Khalifa Al Thani avait abdiqué, comme un enfant docile, au premier froncement de sourcils de Barack Obama, préférant jouir de sa fortune volée que de combattre.
Il s’agissait au départ pour Bachar el-Assad de résister aux coups de l’impérialisme. Mais alors que s’approche la victoire, la volonté lui est venue d’aller plus loin, de remettre en cause le désordre mondial. Il s’est découvert comme un vrai leader révolutionnaire, exactement comme Hugo Chávez l’avait perçu alors que le monde le prenait encore pour un simple fils-à-papa. Et à ce titre, et quelle que soit la félonie de certains politiciens, il ne peut pas ne pas prendre la défense du peuple palestinien que les colons israéliens massacrent à Gaza.
La Révolution de Bachar el-Assad est d’abord un combat de libération contre l’obscurantisme religieux, que les monarchies wahhabites d’Arabie saoudite et du Qatar incarnent dans le monde arabe. Elle entend garantir le libre épanouissement de chacun quelle que soit sa religion et s’affirme donc comme laïque, c’est-à-dire qu’elle s’oppose au conformisme religieux. Elle pose que Dieu ne soutient aucune religion en particulier, mais la Justice commune à tous. De fait, elle renvoie la croyance en Dieu dans la sphère privée, pour en faire la source de la force qui permet à chacun de lutter contre un ennemi supérieur en force et de le vaincre collectivement.
Comme tous ceux qui ont traversé une guerre, Bachar el-Assad n’a pu admettre l’idée que les horreurs commises l’aient été par des hommes mauvais plantant « leurs crocs dans le corps syrien, semant mort et destruction, dévorant cœurs et foies humains, égorgeant et décapitant ». L’accepter aurait été perdre tout espoir en l’espèce humaine. Aussi a-t-il vu derrière leurs agissements l’influence du Diable, les manipulant à travers les soi-disant « Frères musulmans ».
Le nom du « Diable » fait étymologiquement référence au double discours qu’il tient. Le président el-Assad a donc démonté le slogan des « printemps arabes », imaginé par le département d’État pour placer les Frères musulmans partout au pouvoir au Maghreb, au Levant et dans le Golfe. Partout l’asservissement à l’impérialisme suivait les drapeaux coloniaux, celui de la monarchie wahhabite des Sénoussi en Libye, celui du mandat français en Syrie, tout en se réclamant paradoxalement de « la Révolution » aux côtés des tyrans de Riyad et de Doha.
La guerre fut pour lui un long cheminement personnel. Il l’a vécue guidé par sa morale : le « service de l’intérêt public », ce que les Romains appelaient « la République », mais que les Britanniques considèrent comme une chimère masquant des ambitions autoritaires. Comme Robespierre « l’Incorruptible », il a compris que ce service ne souffrait aucune trahison, donc aucune corruption. À l’instar de son père, Hafez el-Assad, il vit sobrement et se méfie du luxe ostentatoire de certains capitaines du commerce et de l’industrie, fussent-ils de ses proches.
Il est devenu un leader révolutionnaire ; le seul chef d’Exécutif au monde qui ait survécu à une attaque concertée d’une vaste coalition coloniale conduite par Washington. Ce faisant, il entre dans l’Histoire.
Source
Al-Watan (Syrie)
http://www.voltairenet.org/article184852.html
Le vrai Bachar-el-Assad, à contre-courant + vidéo Bachar à visage découvert
Quand j'ai vu (sur ce lien) la vidéo d'Arte (du temps où on pouvait y trouver un peu de neutralité) sur Assad alors adoré de son peuple, intuitivement j'ai pensé que ce serait un très grand dirigeant. Moderne, vrai démocrate, progressiste, laïc, sens du bien public, famille unie, travailleur acharné, calme, posé, paisible, très intelligent et lucide, énergique... je lui avais tout trouvé, j'étais impressionnée ! Et je lui faisais confiance. A contre-courant, je l'ai soutenu d'instinct. Et je vais ajouter quelque chose: C'est que pour moi, le jeune roi d'Espagne sera de la même trempe. Prenez acte ! Et il y a un fait qui ne trompe pas. La chaîne ultra sioniste Fr2 encense le Prince William, et elle a piétiné le jeune monarque espagnol. Lui aime son pays, le défendra comme Assad si les circonstances l'exigent, tandis que la monarchie britannique est au service de la mafia mondialiste (Chantal Dupille)
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