Complot, conspiration, plans contre les peuples ? Ca n'existe pas, voyons ! Ce n'est pas l'avis de certains spécialistes du secteur médical. Regard sur la façon dont on s'occupe de notre santé... Ch. Dupille
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David Servan-Schreiber avait publié plusieurs ouvrages pour lutter contre le cancer. © MAXPPP
http://www.dailymotion.com/video/x8wz85#.UM40EKzeEa-
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" CE QUI SE PASSE DANS LA NOURRITURE
EST CRIMINEL "
Bienvenue à tous sur www.santeendanger.net !
"Il y a complot parce que nous ne subissons pas les conséquences regrettables d'un accident, mais qu'il s'agit d'un plan pensé, organisé, structuré sans rien laisser au hasard depuis des décennies par quelques financiers qui rêvaient d'un marché mondial, d'argent à se faire non plus sur un pays ou deux, mais sur la terre entière, et appliqué froidement point par point sans état d'âme.
Quelle est la chose universelle dont les humains ne peuvent se passer ? La nourriture.
Celle pour laquelle ils sont facilement manipulables ? Leur santé.
En contrôlant ces deux secteurs, les industriels de la pharmacie, de la chimie et de l'agroalimentaire sont devenus les "Maîtres" de notre existence.
Pour verrouiller le système, ils ont mis en place des instances internationales qui imposent leurs lois à l'échelle mondiale et leur confèrent le droit et la légitimité.
Ces transnationales, par leur pouvoir financier, forment, un gouvernement apatride et mondial bien plus puissant que celui des Etats, et font de nos gouvernants leurs obligés dont ils actionnent les ficelles pour servir leurs intérêts.
Il y a complot parce qu'on est en guerre et qu'on ne nous le dit pas.
Dès lors on ne se défend pas. Parce que l'ennemi ne se déclare pas et n'emploie pas la force pour nous contraindre, au contraire, il n'y a pas plus "gentil" que l'ennemi. Des spots télé en déclarations philanthropiques, il s'inquiètent de nous simplifier la vie, de protéger nos enfants, il disent avoir à coeur de sauver la planète et tous ceux qui meurent de faim et vouloir dépenser sans compter pour le bien de l'humanité. C'est le "truc" le plus élémentaire de tout magicien : agiter fortement la main droite pour que les gens ne prêtent pas attention à ce que fait la main gauche ! "
(extrait reproduit avec l'autorisation de Claire SÉVERAC)
C'est à vous d'ouvrir les yeux et de prendre conscience que VOUS AVEZ LE POUVOIR DE CHANGER LES CHOSES en consommant autrement !
Corinne GOUGET
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Voir aussi :
Quand des élus écolos optent pour le bio sans surcoût
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La nocivité de l'aluminium dans les vaccins
Lettre ouverte du Dr Jacques LACAZE
La lettre ouverte à la ministre de la santé n’est pas publiée : Over Blog censure, c’est totalement inadmissible. C’est la première fois que cela m’arrive.
Docteur Jacques Lacaze
Source : CNR
Madame Marisol Touraine, Ministre de la santé.
Loos-en –Gohelle le 25 novembre 2012.
Madame la Ministre,
Un groupe de personnes pour lesquelles le diagnostic de myofasciite à macrophages a été posé, entame dès lundi une grève de la faim mettant ainsi leur vie en danger. Elles sont convaincues de la nocivité de l’aluminium vaccinal. Elles sont – comme moi – surprises que les travaux universitaires entrepris à l’Hôpital Henri Mondor par l’équipe du Pr. Romain Gherardi connaissent des difficultés tout à fait anormales et risquent d’être interrompues. La réalité de l’état dans lequel ces personnes se trouvent est indiscutable. La responsabilité de l’aluminium est plus que très probable. L’urgence de poursuivre les recherches et dans l’attente des résultats, la mise en place d’un moratoire concernant l’utilisation des vaccins contenant de l’aluminium en particulier, est nécessaire.
J’avais à l’époque (1986) au moment où le Professeur Douste-Blazy, qui était Ministre de la Santé, mettait en place une campagne de vaccination contre l’hépatite virale B sur la base – c’est démontré depuis – de mensonges, initié une campagne de signatures de médecins exigeant un moratoire de ces campagnes. Plus de 1500 médecins et universitaires avaient signé l’appel. Le successeur de Monsieur Douste-Blazy, Monsieur Bernard Kouchner avait arrêté cette campagne pour que des études, sur les éventuelles conséquences du vaccin, sur la réalité de l’incidence de l’hépatite B en France et sur les effets secondaires des vaccins soient mises en place.
Sang contaminé, hormones de croissance par le virus de l’hépatite C et du SIDA, amiante, Vioxx, Distilbène, Médiator, diffusion incontrôlée des OGM, dangerosité du virus H1N1 surestimée, etc… la liste est déjà longue des scandales de santé publique.
Je rappelle à ce sujet en particulier dans les suites de l’affaire du sang contaminé, que le haut fonctionnaire qu’est Monsieur Didier Tabuteau a publié un petit livre, qu’il faudrait offrir à tous les décideurs de la santé publique et du soin quelles que soient leur activité : « La sécurité sanitaire ». Dans la préface à cet ouvrage, le Professeur Félix Reyes, qui était Doyen de la faculté de médecine de Créteil écrivait : « La leçon du SIDA transfusionnel est là : que soient définis clairement les niveaux de responsabilité, proscrit le mélange des genres, dissociées les fonctions d’expert, de décideur et de gestionnaire.L’efficacité d’une thérapeutique est une chose, les considérations tarifaires une autre ». Avec des médecins amis, nous avions désigné cette réalité : la politique des 3 casquettes. Il y a donc bientôt 20 ans, la nocivité pour la santé publique de cette politique était la leçon tirée du scandale du sang contaminé. Y a-t-il eu des changements depuis ? Aucun, strictement aucun, sauf quelques petits ripolinages par-ci par-là. Le problème reste entier et repose désormais sur vos épaules.
Je tiens particulièrement à souligner combien le statut des vaccins dans notre pays est anormal voire scandaleux. Ils sont considérés comme des médicaments sans être soumis à la règle commune de tous les médicaments. Je n’ignore pas à ce sujet que le rôle de l’industrie pharmaceutique uniquement centré sur la recherche du profit maximum et à tout prix – voir les scandales du médiator et autres – est en matière de santé publique un problème crucial. Et ce problème c’est le contrôle strict de cette industrie par les pouvoirs publics et les usagers. Quand verrons-nous un gouvernement et un ministre de la santé prendre ce problème à bras le corps, sans se poser en préalable la question de l’économie et des exportations ? Quand cessera réellement la politique des 3 casquettes ?
Je rappelle par ailleurs que Monsieur François Hollande, actuel Président de la République, avait pendant sa campagne électorale, tenu des propos clairs sur le sujet précis des myofasciites à macrophages et plus globalement sur les principes actifs des médicaments et des vaccins. Dans ses propos il avait en particulier « ciblé » certaines molécules et, parmi elles, les hydroxydes d’aluminium. Ces propos l’engagent et vous engagent Madame la Ministre.
Je ne doute pas, Madame la Ministre, que vous ferez vôtre le principe de précaution et que vous vous empresserez de prendre ces mesures indispensables à la sécurité sanitaire de la population. Par la même occasion vous permettrez aux grévistes de la faim de ne pas poursuivre leur mouvement. Vous comprenez que cela nécessite des décisions urgentes.
J’ai participé en 1986 à un groupe de travail mis en place par Madame Georgina Dufoix à la demande expresse du Président de la République, Monsieur François Mitterrand, sur l’évaluation des médecines différentes. Ce groupe de travail était paritaire. Une large consultation publique avait pu être mise en place. Le rapport a été publié par la Documentation Française mais malheureusement aussitôt enterré et ce rapport n’est plus disponible.
En 1983, le Ministre de la santé, Monsieur Jack Ralite a organisé une large consultation sur le cancer. Les rapports se sont aussi perdus.
Ces deux séries d’évènements montrent que sous les gouvernements de vos amis politiques il avait été tenté de faire bouger les lignes en impliquant les usagers. Je pense qu’il serait de votre responsabilité de courageusement organiser une vaste consultation publique sur ce problème de l’aluminium dans les vaccins et plus généralement sur la politique vaccinale.
En espérant que mon courriel retiendra votre attention, je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma respectueuse considération.
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Encore du conspirationnisme !
VIII. L’accusation de « conspirationnisme »
On pourrait qualifier ces termes de véritables ADM – Armes de Destruction Médiatique – en ce sens qu’ils se suffisent à eux-mêmes et ne nécessitent aucune démonstration. Une fois désigné comme tel, vous êtes alors transformés aux yeux du public en un paranoïaque délirant [62] voyant des complots derrière le moindre évènement historique. Bref, votre cas relève de la psychiatrie, il est donc du devoir des journalistes de ne pas en parler [63] afin d’éviter la contagion [64] au sein de la population.
La question suivante s’adressera donc aux journalistes qui liraient ces lignes : considérez-vous que la majorité des sceptiques soient des paranoïaques ou des obsédés du complot ? Estimez-vous par exemple que l’usage du terme « conspirationniste » convienne à Donna Marsh O’Connor,militante pour une nouvelle enquête qui a perdu sa fille lors des attentats du 11-Septembre :
Conscients de la force de cette accusation, les politiques n’hésitent guère à l’utiliser pour discréditer toute remise en question d’une vérité officielle.
Les journalistes qui voudraient évoquer objectivement les innombrables omissions, mensonges et incohérences de la thèse officielle se trouvent aujourd’hui pris dans le piège qu’ils ont eux-mêmes fabriqué : comment peuvent-ils à présent traiter ces faits sans courir le risque de subir l’opprobre de leurs confrères, de se voir qualifiés de « conspirationnistes » ou accusés de faire le jeu des « conspirationnistes » ?
Cette peur de relayer ou développer les « thèses conspirationnistes » a ainsi anesthésié depuis des années tout esprit critique chez les journalistes. L’exemple le plus frappant nous fût donné à l’annonce le 2 mai 2011 de la mort d’Oussama ben Laden par Barack Obama. Alors que les versions changent d’heure en heure, que les incohérences s’accumulent, que les preuves sont inexistantes (pas de photo, pas de vidéo, corps immergé…), quiconque usant de son droit au doute se verra aussitôt qualifié de « théoricien du complot ».
Trop occupés à lancer cette chasse aux sorcières et à commenter la moindre miette donnée par les services de communication de la Maison Blanche, les journalistes omettent de poser les questions essentielles. Responsable de la mort de plusieurs milliers d’américains, ben Laden est à la tête, nous dit-on, d’un réseau planétaire de terrorisme capable de frapper à tout moment et n’importe où. Alors que sa capture permettrait de démanteler des filières, de mettre à jour des réseaux dormants, d’empêcher de futurs attentats, le leader d’Al-Qaida qui est surveillé depuis huit mois par les services de renseignement américains est abattu de deux balles, alors qu’il était … désarmé. La capture de ben Laden aurait permis sa comparution devant la justice américaine et bien des mystères autour de l’homme et de son organisation auraient pu être levés, comme par exemple la nature de ses liens avec les services secrets pakistanais [67], la teneur de sa rencontre avec l'agent local de CIA Larry Mitchell à l'Hôpital américain de Dubaï le 12 juillet 2001, ou encore la nature précise de ses liens avec la CIA, etc., etc., etc.
Outre ces clarifications potentiellement gênantes pour l’administration américaine, un autre (petit) souci aurait pu se poser comme le rappelle Maître Philippe Currat, spécialiste du droit pénal international, interrogé par l’Express le 4 mai 2011 : « Il n'est pas certain que les Etats-Unis auraient eu la capacité d'apporter les preuves de la responsabilité de Ben Laden dans les attentats du 11-Septembre ». [68] Mais chut… puisque « Justice est faite ! » vous dit Barack Obama.
IX. Les debunkers
Depuis l’épisode Meyssan, la remise en question de la thèse officielle du 11-Septembre est devenue tabou en France [69] et toute personne qui s’y aventure risque d’être qualifiée d’adepte de Thierry Meyssan, ce qui par extension la désigne comme un potentiel extrémiste. Les avis circonstanciés de plusieurs centaines d’experts qui remettent en question la thèse officielle à travers le monde laissent de marbre les journalistes qui trouvent plus intéressant de mettre en avant les propos d’artistes [70]. Il est certes plus facile de ridiculiser des peoples que des experts du contre-terrorisme ou des ingénieurs en génie civil par exemple. Mais rien n’y fait, malgré les injures, les accusations d’antisémitisme, de révisionnisme, de négationnisme, de conspirationnisme, d’antiaméricanisme, d’antidémocratisme, de soutien au terrorisme [71] et autres procès en sorcellerie, les années passent et la contestation de la thèse officielle ne cesse de prendre de l’ampleur. Les médias se trouvent alors confrontés à un problème : comment contrer les sceptiques sans utiliser de tels « arguments » lorsqu’on ne connaît pas le dossier ?
C’est là qu’interviennent les debunkers, généralement des journalistes ou des experts, qui se sont fait une spécialité de démonter les arguments des sceptiques : les médias n’ont plus alors qu’à mentionner leur travail et proclamer que ceux-ci démontrent l’inanité du discours « conspirationniste ». Partant du postulat que la remise en question de la thèse officielle est infondée, les journalistes accordent une confiance aveugle à ceux qui prétendent démonter les critiques des sceptiques. Aucune vérification n’est alors menée, aucune confrontation entre les deux partis n’est même envisagée, tant il est évident qu’une telle démarche (pourtant à la base du travail journalistique) s’avèrerait une perte de temps…
La fonction première des debunkers n’est donc pas de fournir aux journalistes une réfutation clé en main des arguments des sceptiques mais de les rassurer dans leurs préjugés, dans leurs croyances, de les conforter dans l’idée que le sujet ne mérite pas d’être étudié, analysé : la boucle est bouclée. Qu’importe dès lors que des sceptiques mettent en avant les erreurs, omissions ou manipulations des debunkers [72], les journalistes n’y verront là que l’acharnement d’obsédés du complot aveuglés par leur foi, incapables d’accepter l’évidence. Et face à la succession d’arguments, de contre-arguments, de contre-contre-arguments, il n’est certes pas facile pour des journalistes souhaitant malgré tout se faire un avis de s’y retrouver. D’ailleurs, Jean Bricmont qui enseigne la physique théorique à l'université catholique de Louvain déclare lui-même « trouver souvent les contre-arguments [avancés par les sites de debunking] assez techniques et compliqués ».
Il y a pourtant une façon très simple et rapide d’évaluer le degré de pertinence des arguments des debunkers : il suffit de tester l’honnêteté intellectuelle de ces derniers. Et pour que la démonstration soit probante, nous n’allons pas mettre à l’épreuve l’intégrité intellectuelle d’un vulgaire debunker mais celle du plus célèbre des détracteurs des sceptiques en France, Jérôme Quirant, enseignant-chercheur en calcul de structures à l'Université de Montpellier II, connu pour son soutien indéfectible à la version officielle.
Jérôme Quirant |
extrait de
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/reopen911-repond-a-noam-chomsky-et-127670