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6 novembre 2014 4 06 /11 /novembre /2014 12:23

 

clochard-visage.jpg

 

Chantal Dupille lance l'opération " Noël des sdf ",

à relayer pour donner des idées !

 

 

 

Mes ami(e)s,

 

bientôt Noël ! Pas pour tous... et dans ce nouvel ordre mondial si égoïste et inégalitaire, il y en a de plus malheureux que les autres ; ne les oublions pas ! Et ils peuvent être source de nos plus grandes joies ! "Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir...".

 

Or donc, à Noël soit je servais la soupe aux clochards sur une péniche à Pars avec par exemple un Secours Populaire, soit je co-organisais un repas de Noël pour les sdf, vous savez, les sans toit si chers à l'Abbé Pierre... et puis j'ai toujours eu mon sans domicile attitré, auquel je fournissais sourire, vêtements, nourriture ou même de quoi lire.

 

Mais ma plus belle expérience, que j'ai même une fois partagée avec mes enfants pour leur plus grande joie (j'habitais alors Strasbourg), c'était de confectionner des paquets cadeaux avec aussi bien chaussettes chaudes que friandises, et de les porter le soir de Noël à tous ceux qui souffrent de voir les autres faire bombance, ou de voir les vitrines pleines sans jamais rien pour eux. Oui ceux que le monde ne veut pas voir cachent leur misère encore un peu plus les soirs de fête... car ils ont mal, très mal. 

 

Autour de la cathédrale de Strasbourg, quand les cloches sonnent à toute volée, les clochards, les miséreux, les abandonnés se recroquevillent derrière une porte, dans un coin, dans un recoin, dans une fente moins inhospitalière, plus protégée du froid... et ils essaient de dormir le plus vite possible. Alors réveillez-les pour leur offrir un paquet cadeau plein de bonnes choses, et vous aurez une joie que vous n'oublierez jamais ! Quoi, on ne les oublie pas, ils existent ? La fête sera partagée, avec d'un côté les larmes de reconnaissance, et de l'autre une joie indescriptible qu'aucune bombance, avec caviar et champagne, ne pourra donner. Essayez, sortez de votre cocon, improvisez le partage, et alors ce sera le plus beau Noël de votre vie ! Alors oui, tous, toutes, allez-y comme moi, même en famille, pour troquer l'esprit de compétition contre celui de partage, réellement fraternel...

 

Fraternel ? Au fait, n'est-ce pas là la fraternité réellement républicaine, en actes ?

 

Chantal Dupille dite eva R-sistons

 

 

Voici un extrait de mon autobiographie

"Arlequine" (ma Cour des Miracles).

 

 

 

Ce soir, je sers la soupe aux clochards. Comme tous les bénévoles. Comme tous ceux que la misère ne laisse pas indifférents.

Il est dix-sept heures. Les uns debout, les mains dans les poches, les autres assis, le dos rivé au mur, les sans-domicile de la capitale attendent l'ouverture du centre d'accueil La Mie de Pain, situé 54 rue de Bobillot ; la queue ne cesse de s'allonger. Bientôt les portes blindées1vont engloutir la horde des traîne patins et des ventres creux.

On assiste à de mystérieux conciliabules :

T'as pas une vieille paire de chaussette en rab, par hasard ? J'ai des tickets de métro, ça te servira pour pioncer au chaud dans la journée.

Non. Tout ce que je peux te donner, c'est un vieux mouchoir que j'ai trouvé hier sur le trottoir.

T'as pas des mégots, au moins ?

Ça, oui. Tiens. Envoie les tickets.

La porte s'ouvre, laisse passer le gardien, un ancien clochard.

Entrez. Pas tous ensemble.

Poussez pas, derrière. Y a du roulis, ce soir !

Toi, là-bas, tu rêves ou quoi ? Tu penses tout de même pas qu'on va t'héberger avec ton clebs ? Ici, c'est pas un chenil. Bon vent ! Et toi, le Marseillais, tu as de l'embonpoint, ce soir. Montre voir.

Je montre rien du tout.

Montre voir, que je te dis, ou je te fous dehors. Tiens, qu'est-ce que je sens ? Ah ça, par exemple ! C'est ta nouvelle cachette ? L'autre jour, une bouteille dans chaque jambe de pantalon, aujourd'hui tu remets ça avec ta sacrée ficelle ! Tu crois donc qu'une bedaine comme la tienne, ça se remarque pas ? Donne tes bouteilles de vin, je te les rendrai plus tard. C'est le règlement ! Après, vous vous les lancez à la tête. Avance. Toi, laisse ta poussette à l'entrée ; tu la récupéreras demain. Et puis, cesse de te gratter comme ça !

La longue cohorte des pauvres diables pénètre dans le réfectoire. Il y en a de tous les âges, de toutes les nationalités. Certains sont correctement vêtus, d'autres respirent la misère.

Bonjour, Chantal. Ça fait plaisir de te revoir, toi et ton sourire !

Un clochard débonnaire me serre la main. Il m'a reconnue.

Bonjour Monsieur2. Comment allez-vous ?

Je donne une cuiller et une gamelle bien chaude à la main qui se tend. Un petit salut discret, et le clochard s'éloigne.

Tiens, il y a de la soupe au poulet, ce soir !

Pourquoi vous dites ça ? Nous n'avons que de la soupe de légumes à vous proposer.

Je le dis parce que mon voisin porte un imper mastic. Vous ne savez donc pas qu'on envoie des agents en civil

à la Mie de Pain ?

Je l'ignorais.

Le défilé de la misère continue, morne et lent. Chaque soir de l'hiver, quatre cents à huit cents personnes trouvent à la Mie de Pain de la soupe à volonté ainsi qu'un gîte chauffé où, sans avoir à révéler le secret de leur infortune, ils peuvent dormir.

J'ai apporté une boite de conserves, dit un vagabond filiforme. Est-ce qu'on peut me l'ouvrir ? Tiens, mais voilà le mort...

Le mort ?

Oui, répond un clochard barbu et chevelu comme un patriarche. Je suis un mort qui se porte bien. Tu veux voir mon extrait de décès, mignonne ? Je l'ai eu grâce à un copain. Légalement, je suis mort. Comme ça, j'ai la paix.

Le silence retombe. La misère est la même pour tous. Que confier à son voisin qu'il ne sache déjà ?

Encore un peu de soupe, Monsieur ? Il y a pas mal de rab, ce soir.

Soudain, un homme décharné pénètre dans le réfectoire ; ceux qui viennent quêter un deuxième bol de potage s'écartent afin de lui livrer passage ; l'entraide et la solidarité ne sont pas un vain mot dans la cloche. Le nouvel arrivant semble hors de lui ; il hurle sa colère avec des gestes de pantin désarticulé :

Je viens de Clairvaux, j'ai dix-huit années de tôle derrière moi pour le meurtre de ma femme qui m'a plaqué ; c'est cher payé. On m'a fait cadeau de deux ans pour bonne conduite, c'est tout. La prison, vous savez ce que c'est ? Un univers terrible. On vous fout avec des pédés. J'ai connu Bontemps avant de passer trois mois dans une cave noire avec pour seuls aliments de l'eau et du pain. A la sortie, on m'a interdit de séjour. A l'Agence Nationale pour l'Emploi, on nous catalogue comme sans domicile. Je croyais avoir payé ma dette en sortant de prison ; je découvre aujourd'hui qu'on m'a condamné à vie ! Alors, demain je vais commettre un acte désespéré pour signaler mon cas. N'importe quoi. Un cambriolage avec effraction ou assassiner un type. Je passerai devant un tribunal et je pourrai attirer l'attention sur les libérés de prison qui, comme moi, ne trouvent pas de travail.

Cinq cents paires d'yeux las fixent l'homme qui clame sa détresse au milieu du réfectoire. Que peut-on faire ? Je m'assieds à côté de lui pour tenter d'apaiser sa juste colère.

Commettre un crime ne résoudra rien, Monsieur. Le temps travaille pour vous et bientôt, j'espère, la loi adoucira votre sort. En attendant, pourquoi ne pas faire comme William Borst, un ancien clochard réinséré après avoir apposé sous les essuie-glaces des véhicules en stationnement une centaine de S.O.S. dans lesquels il narrait sa vie tragique et sollicitait un emploi ?

C'est curieux, jamais personne ne m'a parlé comme vous.

Un jeune homme se met à pleurer. Alors le libéré de prison, oubliant sa propre colère, serre dans ses bras son voisin de table et lui murmure :

Non, mon frère, pas ça ! Je croyais être le plus malheureux et je m'aperçois que ce n'est pas vrai. Tu as la jeunesse pour toi, au moins. Tu as la vie devant toi. Sèche tes larmes. Raconte-nous ton histoire et calme-toi. On va essayer de t'aider.

Il existe chez les plus déshérités une perméabilité à la souffrance, une générosité que l'on trouve rarement ailleurs. En toutes circonstances, les enfants de l'adversité se sentent solidaires les uns des autres. Non seulement ils partagent leurs derniers sous avec un frère de misère, mais les poches les plus trouées ont des ressources inespérées lorsqu'on organise une collecte pour le colis d'un ami en prison ou quand il s'agit de fleurir la tombe de celui qui a eu la chance d'échapper au bistouri des carabins ou à la fosse commune.

Je voudrais échanger d'autres mots avec le libéré de prison et son voisin ; je voudrais que jamais ne cesse un dialogue dont les deux hommes ont tant besoin pour reprendre un peu espoir. Mais déjà la porte du dortoir aspire leur commune solitude.

Là-haut, trois cents hamacs répartis sur deux rangées sont mis à la disposition des sans-logis ; ceux qui ne peuvent y trouver place couchent par terre. Les premiers arrivés choisissent les hamacs du haut3, au risque de se rompre le cou s'ils ont trop bu. En guise de traversin, les hébergés utilisent des journaux, la musette ou des souliers. La promiscuité révèle l'incommensurable détresse des exclus de la société : les odeurs de vin mal cuvé se combinent avec la sueur rance et les haleines chargées ; toutes les cinq minutes, un pensionnaire se lève afin de satisfaire un besoin pressant, quand il ne se soulage pas sous lui ; au milieu d'un concert de gargouillements, de rots, de toux en cascade, de râles, de ronflements, de soupirs sonores, de soliloques, d'imprécations et d'injures, bienheureux celui qui trouve un sommeil réparateur ! Seuls les plus endurcis parviennent à s'endormir vers minuit. Les autres restent aux prises avec les effluves et les rumeurs innombrables, pour ne pas dire avec les poux, les puces, les punaises.

Pendant ce temps, un clochard repose paisiblement à l'entrée de la Mie de Pain ; il a choisi de coucher dans une poubelle de chaufferie qu'il a soigneusement recouverte de bouts de carton. Ce clochard solitaire et presque heureux, c'est Marcel, un ancien professeur de Lettres qui, chaque soir avant de s'endormir, lit Homère, confortablement installé sur son trône de scories.

Bien que la ville ne soit pas encore sortie de sa torpeur, les hôtes de la Mie de Pain, abrutis de fatigue et de misère, se répandent un peu partout. Mais, invisible et pourtant peut-être plus réelle que jamais, l'armée des va-nu-pieds se terre le jour, ne laissant apercevoir, ça et là, sur un banc, devant un pan de mur lézardé, à l'entrée d'une station de métro ou aux abords d'un marché, que des isolés, des francs-tireurs, véritables fantômes attardés chez les vivants et bientôt balayés par le flot populaire ou la mort.

 

1Ainsi, les retardataires ou ceux qui sont en état d'ébriété ne risquent plus de défoncer la porte d'un coup de pied.

2Rien ne réjouit autant un sans-domicile que de se voir appelé Monsieur, comme n'importe quel individu. Ce mal-aimé de la société, en dépit de la superbe indifférence qu'il affiche volontiers, souffre de se sentir rejeté, misérable, solitaire ; il aspire à retrouver sa dignité d'homme. Mon vouvoiement est de respect.

3Il paraît que l'air y est meilleur.

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Et pourquoi à Noël ne pas offrir un animal de compagnie, celui qui saura jour après jour, fidèlement, combler de joies ? Et il vous fera faire de l'exercice bon pour la santé. Vous travaillez et vous avez peur qu'il aboie ? Alors prenez un chat, ou mettez à votre compagnon un collier anti-aboiements, qui libère de la citronnelle.
Je republie un article sorti sur ce site (chantal)
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.Mercredi 27 juin 2012

JPEG - 75.6 ko

 

 

 

A l'instant, je viens de voir un reportage qui m'a fendu le coeur : Avec la crise, davantage d'abandons ! C'est intolérable ! Alors, je republie ce texte... Chantal

 

 

 

http://classes-presse-2011.ac-rennes.fr/spip.php?article1437

Histoire_de_CHIEN__de_Frenchky












































 
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Un Parson russel terrier

  Le sosie de mon précédent chien 

  (Ce sont mes préférés...)


http://www.spa.asso.fr/

 

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Le cauchemar américain !

Un nonagénaire arrêté pour avoir distribué de la nourriture à des sans-abris

5/11/14 - 00h23
Capture d'écran. © KHON.

vidéo

 

L'homme risque une peine de 60 jours de prison et une amende de 500 dollars.

La consternation. Arnold Abbott, un nonagénaire volontaire dans une association d'aide aux démunis, a été arrêté à Fort Lauderdale (Floride) dimanche pour avoir préparé et servi des repas à un groupe de sans-abris.

Accompagné de deux autres volontaires, le vieil homme est accusé d'avoir violé un décret local de la ville interdisant la distribution de nourriture aux sans abris sur les places publiques. "L'un des policiers s'est approché et m'a demandé de lâcher l'assiette, comme si je portais une arme", a déclaré Abbott au journal local KHON.

En réponse à cette arrestation, le maire de la ville, Jack Seiler, se retranche derrière sa promesse de punir ce genre de comportement. "Nous appliquons la loi ici à Fort Lauderdale", a-t-il répondu avec laconisme. En 1999, le nonagénaire avait déjà été poursuivi pour un délit identique. Il avait gagné son procès  contre la ville.

"Je vais devoir une fois encore me rendre au tribunal pour me défendre face à une ville que j'aime. (Ces gens) n'ont rien, n'ont même pas un toit où s'abriter. Ils sont plus pauvres que pauvres". Homme de foi et de conviction, Abbott a déclaré vouloir poursuivre son action, se préparant à la possibilité d'être une fois encore arrêté.


7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2111400/2014/11/05/Un-nonagenaire-arrete-pour-avoir-distribue-de-la-nourriture-a-des-sans-abris.dhtml


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Dieudonné lance aussi son opération sdf !

 

Dieudonne-sdf.jpg.

 

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commentaires

A
J'ai envoyé l'article, avec le commentaire "HONTE à vous" à l'ambassade américaine de Bruxelles.
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A
Eva...je suis persuadé que si les dirigeants du monde entier,élus ou non ne gaspillaient pas tant d'argent pour acheter des armes ou financer des recherches pour en inventer des de plus en plus<br /> sophistiquées, il n'y aurait plus de pauvres sur la planète. Le lobby des armes est très puissant tant aux Etats-Unis, qu'en Israël, qu'en France, qu'en Russie ou en Chine et en Corée.<br /> Qu'adviendrait - il si un président se mettait en travers du chemin des marchands de mort ?<br /> <br /> Voici un article qui me donne en partie raison .<br /> <br /> <br /> À méditer … Est ce qu’Obama risque d’être assassiné ?<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Alex TERRIEUR<br /> <br /> <br /> <br /> Voici une petite phrase de William Blum qui mérite réflexion : « Si j’étais le président, je pourrais arrêter le terrorisme contre les Etats-Unis en quelques jours. Définitivement. D’abord je<br /> demanderais pardon – très publiquement et très sincèrement – à tous les veuves et orphelins, les victimes de tortures et les pauvres, et les millions et millions d’autres victimes de l’Impérialisme<br /> étasunien. Puis j’annoncerais la fin des interventions des Etats-Unis à travers le monde et j’informerais Israël qu’il n’est plus le 51ème Etat de l’Union mais – bizarrement – un pays étranger. Je<br /> réduirais alors le budget militaire d’au moins 90% et consacrerais les économies réalisées à indemniser nos victimes et à réparer les dégâts provoqués par nos bombardements. Il y aurait<br /> suffisamment d’argent. Savez-vous à combien s’élève le budget militaire pour une année ? Une seule année. A plus de 20 000 dollars par heure depuis la naissance de Jésus Christ. Voilà ce que je<br /> ferais au cours de mes trois premiers jours à la Maison Blanche... Le quatrième jour, je serais assassiné. »<br /> <br /> Éloquent, non ? Et sans aucune illusion sur qui détient le véritable pouvoir aux États-Unis. Alors maintenant, posons nous la question : Est ce qu’Obama risque d’être assassiné ?<br /> <br /> Pour répondre à cette question, reportons-nous aux propos de Dwight Eisenhower, président américain et héros de la Seconde Guerre mondiale, prononcés en 1961 quand il quittait la Maison blanche<br /> dans son discours d’adieu. « Le complexe militaro-industriel est la conjonction d’un immense establishment militaire et d’une vaste industrie de l’armement, qui est une nouveauté dans l’histoire<br /> des États-Unis. L’influence économique, politique et même spirituelle d’une telle conjonction se ressent dans chaque ville, dans chaque État, dans chaque département du gouvernement fédéral. Nous<br /> devons nous prémunir contre son influence illégitime« , avait déclaré Eisenhower. Les années qui ont suivi ont montré que les mises en garde de ce général et président expérimenté n’avaient pas été<br /> entendues. Le complexe militaro-industriel s’est transformé en principale force déterminant aujourd’hui la politique aussi bien nationale qu’étrangère des États-Unis.<br /> <br /> La promesse solennelle du président Obama de réduire considérablement les programmes militaires et la course aux armements, insurmontable pour l’économie américaine, s’en est allé rejoindre les<br /> grandes archives des paroles non tenues par Washington après la forte opposition du congrès américain, contrôlé par les protégés des groupes militaro-industriels. Le résultat est éloquent : les<br /> dépenses militaires des EU dépassent aujourd’hui celles de tous les autres pays du monde réunis. Pour le justifier il fallait inventer des ennemis : Al-Qaïda et Ben Laden ont tenu ce rôle avant de<br /> passer la main à Daech, mais maintenant c’est la Russie qui semble se voir attribuer le rôle principal.<br /> <br /> Combien d’argent, sur l’immense dette publique américaine de 17 000 milliards de dollars, se trouve aujourd’hui sur les comptes de quelques centaines de propriétaires des groupes<br /> militaro-industriels en Amérique ? C’est l’un des secrets les mieux gardés du monde. Mais la vie du 44e président des États-Unis d’Amérique, Barack Hussein Obama n’est pas en danger !<br /> <br /> Alex TERRIEUR avec la complicité de son frère Alain
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A
Eva...je souhaite beaucoup de réussite à ton opération en faveur des plus démunis et j'espère que nos concitoyens qui se joindront à toi ne connaîtront pas le sort de ce vieil américain arrêté pour<br /> avoir donner de la nourriture à des SDF ! La France est mal placée pour donner des leçons à ce grand pays de la démocratie que sont les Etats-Unis . Il y a quelques jours une vieille dame de plus<br /> de 80 ans a été expulsée de son logement par des gendarmes parce qu'elle ne pouvait plus payer son loyer ! Quelle honte ! Cela n'est pas arrivé à Thevenoud ... Ces injustices me révoltent au plus<br /> haut point comme l'intervention de Flamby hier soir ! Pathétique ! Il a encore essayé d'enfumer les français et de repousser l'issue fatale. Il s'accroche au pouvoir avec sa bande qui ont bien été<br /> les seuls à le trouver bon comme notre ministre de la culture ou notre ministre de l'agriculture ! Vas y François ! tiens bon au moins deux ans et demi encore afin qu'on se gave sur le dos de ses<br /> c.... de français ! et qu'on assure notre avenir ! Après nous le déluge ! il me semble que ça va swinguer en cette deuxième partie de quinquennat ! Il n'y a qu'une chose qui m'a réjouit ce jour .<br /> Le projet d'un film sur la vie (non pas d'Adèle) mais de Poutine par le réalisateur américain Oliver Stone ! Celui là au moins il en a où je pense . Mais attention ...un accident est vite arrivé<br /> !<br /> <br /> Le cinéaste américain Oliver Stone, détenteur de trois Oscars, a annoncé jeudi à RIA Novosti vouloir réaliser un documentaire sur le président russe Vladimir Poutine et l’interviewer.<br /> <br /> « J’aimerais faire un documentaire sur lui (…). Nous ne parlons pas d’une fiction sur Poutine, mais j’aimerais l’interviewer pour montrer le point de vue que les Américains ne veulent pas entendre<br /> », a déclaré le cinéaste, qui a rencontré M.Poutine mardi soir dans un théâtre moscovite.<br /> <br /> M.Stone n’a pas précisé si le chef de l’Etat russe avait donné son accord pour une telle interview.<br /> <br /> Fin septembre, Oliver Stone a pris la défense de Vladimir Poutine qui n’a « pas lâché la Crimée », péninsule ukrainienne rattachée à la Russie en mars par Moscou. Il a également estimé que la crise<br /> en Ukraine était le résultat de la stratégie de l’Otan qui cherche à s’approcher des frontières russes au mépris des assurances données par Washington à l’ex-leader soviétique Mikhaïl Gorbatchev,<br /> juste avant l’éclatement de l’URSS fin 1991.<br /> <br /> Le cinéaste vient de réaliser une série documentaire en dix épisodes intitulée « Les Etats-Unis, l’histoire jamais racontée » sur les événements les plus sombres de l’histoire américaine.<br /> <br /> A l’heure actuelle, M.Stone prépare un film sur le fugitif Edward Snowden réfugié en Russie. Cet ancien consultant de l’Agence américaine de sécurité (NSA) risque jusqu’à 30 ans de prison aux<br /> Etats-Unis pour espionnage. Le rôle-titre sera assuré par l’acteur américain Joseph Gordon-Levitt.<br /> <br /> Le réalisateur est connu pour ses films traitant de sujets politiques cuisants et montrant de grandes figures d’histoire contemporaine, dont Richard Nixon, John Kennedy et George Bush.
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